Mardi 4 novembre 2025 T.A.C. (Théâtre Aimé Césaire), FdF 19h30
Texte de Madjanie Leprix
Mise en scène Rita Ravier
Costumes Lowa Gerce
Dramaturgie Alfred Alexandre
Avec Daniely Francisque, Giovany Germany, Fiona Soutif
✨ Un cri poétique, un miroir tendu à la société
« Noukantjè » — mot inventé qui évoque la douleur, le déchirement et l’amertume — donne son nom à cette pièce bouleversante et profondément humaine. À travers l’histoire d’Éna, une femme rongée par la culpabilité et la perte, l’autrice Madjanie Leprix nous plonge dans un récit intime où la souffrance individuelle devient une question collective. Ce que vit Éna pourrait être vécu par n’importe qui : une fracture intime qui révèle les fêlures d’une société toute entière.
Un drame poétique aux résonances universelles
Entre ombre et lumière, « Noukantjè » explore des thématiques qui nous traversent :
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la bienveillance et l’empathie,
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l’homophobie et la question de genre,
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le poids du non-dit, si présent dans les sociétés caribéennes,
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la persévérance, l’amour, l’espoir.
La pièce s’ancre dans un contexte culturel profondément ancré dans la Caraïbe, tout en parlant à l’humanité entière.


Par Thomas Ngijol | Avec Thomas Ngijol, Danilo Melande, Bienvenue Mvoe | 11 juin 2025 en salle | 1h 21min | Policier
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers
Errance au pays des âmes bleues

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Le Modem Martinique, conscient des difficultés engendrées en Jamaïque, une de nos îles sœurs anglophones des Antilles, par le cyclone Melissa, témoigne de sa profonde sympathie à son gouvernement ainsi qu’à toute sa population. 
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L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
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Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —





— Par Hélène Lemoine —
Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Sarha Fauré —
O énigme du mal
— Par Gary Klang —

(Editions 2025 chez Matthes et Seitz (Berlin, Allemagne) Spécialistes de l’Afrique et des Caraïbes
— Par Jean Marie Nol —
Pendant dix-sept ans, le réalisateur new-yorkais (USA) Rico Speight a sillonné le monde – de la Caroline du Nord à Fort-de-France, en passant par l’Algérie – pour réaliser Rediscovering Fanon, un documentaire profond, humaniste et exigeant, qui interroge la persistance du racisme, les fractures postcoloniales et l’actualité brûlante de la pensée fanonienne. Le film était présenté au François en Martinique en juillet 2025 dans le cadre du Centenaire de Frantz Fanon organisé par l’Association Caribéenne de Philosophie (ACP). Rencontre bilingue avec un cinéaste engagé, entre héritage, conscience et transmission.
L’ignorance est, on le sait, l’état naturel de l’homme. Ainsi, tout humain a pour mission dévolue ici-bas de faire reculer l’ignorance selon le petit empan d’apprentissage qu’il a à sa portée. Désapprendre préjugés et réflexes animaux pour transcender l’animal humain par la faculté d’intelligence de l’esprit, est la bonne foi naturelle de l’homme équilibré. Car si l’homme est « le seul animal qui sait qu’il sait » comme le dit Teilhard de Chardin, il est à fortiori, la seule conscience qui sait qu’elle ne sait pas, qui connaît son ignorance et qui, lorsqu’elle est normale assumée selon sa nature de non sachant, cherche à savoir tout en respectant les bonnes balises. La sottise, elle, est de l’insanité agressive et prétentieuse, qui, non seulement refuse d’apprendre, mais aussi brandit ses conneries immondes en les imposant avec autorité comme pour en faire un empire, un ordre, au nom de sceaux institutionnels et de parchemins scolaires ou de structures officielles qui cooptent ça et là des histrions pour jouer au nom du système établi, leur sinistre ouverture cosmopolitique, leur soi disant universalité.
Dans les années 1960, Nicolás Guillén Landrián (1938-2003) devient le premier cinéaste noir de Cuba. Neveu du poète de la négritude Nicolás Guillén, il s’impose rapidement comme une figure singulière du jeune cinéma révolutionnaire. Peintre, poète du réel, documentariste audacieux, Landrián développe un langage cinématographique d’une grande modernité, marqué par la liberté formelle, la force visuelle et la sensibilité sociale.
Avec la chorale « Joie de Chanter » et l’autrice Léa Mormin-Chauvac
— Par Karl Paolo —
Après Haïti, mon pays, Jocelerme Privert publie :
Né parmi les rideaux de soie et les meubles lourds de Port-au-Prince, Jacques Roumain choisit la poussière, choisit le feu, choisit la lutte.
Aide au logement
PSYCHANALYSE
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —

— Collectif —