Vendredi 31 octobre à 18h30 ex école de Debriand à FDF
Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame
Synopsis
Tout public
Melrick a 13 ans. Il passe ses vacances d’été chez sa grand-mère Nicole à Cayenne, en Guyane et apprend à jouer du tambour. Mais sa présence fait soudain resurgir le spectre de son oncle, ancien tambouyé tué dans des conditions tragiques. Confronté au deuil qui hante toute la communauté, Melrick cherche sa propre voie vers le pardon.
La presse en parle :
Cahiers du Cinéma par Romain Lefebvre
L’économie modeste et la durée ramassée de Kouté vwa ne sont pas sans rapport avec l’impression de justesse qu’il dégage. Premier long métrage, il ne cherche pas pour autant à en imposer.
Culturopoing.com par Alexandre Lebrac
Hymne à la paix et au pardon, Kouté vwa s’impose comme la déclaration d’amour enflammée d’un cinéaste à sa famille mais également à la Guyane dont il donne à voir la beauté tout en distillant un message, humaniste mais sans naïveté, d’amour universel.

A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.

L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —





— Par Hélène Lemoine —
Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Sarha Fauré —
O énigme du mal
— Par Gary Klang —

(Editions 2025 chez Matthes et Seitz (Berlin, Allemagne) Spécialistes de l’Afrique et des Caraïbes
— Par Jean Marie Nol —
Pendant dix-sept ans, le réalisateur new-yorkais (USA) Rico Speight a sillonné le monde – de la Caroline du Nord à Fort-de-France, en passant par l’Algérie – pour réaliser Rediscovering Fanon, un documentaire profond, humaniste et exigeant, qui interroge la persistance du racisme, les fractures postcoloniales et l’actualité brûlante de la pensée fanonienne. Le film était présenté au François en Martinique en juillet 2025 dans le cadre du Centenaire de Frantz Fanon organisé par l’Association Caribéenne de Philosophie (ACP). Rencontre bilingue avec un cinéaste engagé, entre héritage, conscience et transmission.
L’ignorance est, on le sait, l’état naturel de l’homme. Ainsi, tout humain a pour mission dévolue ici-bas de faire reculer l’ignorance selon le petit empan d’apprentissage qu’il a à sa portée. Désapprendre préjugés et réflexes animaux pour transcender l’animal humain par la faculté d’intelligence de l’esprit, est la bonne foi naturelle de l’homme équilibré. Car si l’homme est « le seul animal qui sait qu’il sait » comme le dit Teilhard de Chardin, il est à fortiori, la seule conscience qui sait qu’elle ne sait pas, qui connaît son ignorance et qui, lorsqu’elle est normale assumée selon sa nature de non sachant, cherche à savoir tout en respectant les bonnes balises. La sottise, elle, est de l’insanité agressive et prétentieuse, qui, non seulement refuse d’apprendre, mais aussi brandit ses conneries immondes en les imposant avec autorité comme pour en faire un empire, un ordre, au nom de sceaux institutionnels et de parchemins scolaires ou de structures officielles qui cooptent ça et là des histrions pour jouer au nom du système établi, leur sinistre ouverture cosmopolitique, leur soi disant universalité.
Dans les années 1960, Nicolás Guillén Landrián (1938-2003) devient le premier cinéaste noir de Cuba. Neveu du poète de la négritude Nicolás Guillén, il s’impose rapidement comme une figure singulière du jeune cinéma révolutionnaire. Peintre, poète du réel, documentariste audacieux, Landrián développe un langage cinématographique d’une grande modernité, marqué par la liberté formelle, la force visuelle et la sensibilité sociale.
Avec la chorale « Joie de Chanter » et l’autrice Léa Mormin-Chauvac
— Par Karl Paolo —
Après Haïti, mon pays, Jocelerme Privert publie :
Né parmi les rideaux de soie et les meubles lourds de Port-au-Prince, Jacques Roumain choisit la poussière, choisit le feu, choisit la lutte.
Aide au logement
PSYCHANALYSE
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —

— Collectif —
— Par Robert Berrouët-Oriol(*) —
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
—
— Par Daniel M. Berté —
Créé en 2013 par Véronique Thomassin, ancienne cheffe de chœur des Petits Chanteurs à la Croix de Bois, le chœur des Petits Chanteurs de France réunit des garçons âgés de 8 à 18 ans, passionnés de chant choral. La formation se distingue par son exigence artistique et sa vocation éducative, alliant musique, voyages et ouverture culturelle.


️ Un film d’Angèle Marrey – Documentaire, 52 min
Un carrefour mondial de la culture créole
Coup de rabot sur le budget de l’outre-mer : pourquoi autant de manque de discernement des intellectuels et d’aveuglement de nos élus ?
Mais qui sont les coupables et responsables des maux et de la dérive de la société antillaise ?

Du 1er au 30 novembre 2025, la 10ᵉ édition de Mois sans tabac mobilise toute la France autour d’un défi solidaire : arrêter de fumer pendant 30 jours, avec à la clé des chances de réussite multipliées par cinq. Porté par le ministère de la Santé, Santé publique France et l’Assurance Maladie, ce grand rendez-vous de santé publique s’enrichit cette année d’une dynamique encore plus inclusive et accessible.
— Par Jean-Marie Nol —
— par Selim Lander