L’autre événement du 22 mai, à Fort-de-France
— par Janine Bailly —
Depuis le déconfinement, et le retour à une vie presque normale, les affiches et publicités qui évoquent la nécessité de se tenir à un mètre minimum de quiconque se multiplient. Et si elle prétendent nous aider à tenir la maladie en respect, elles se voient pourtant reçues avec plus ou moins de bonheur.
Ainsi, ce vendredi 22 mai, la préfecture de Martinique avait publié sur les réseaux sociaux un message appelant ses habitants à respecter cette distance entre chacun. Un visuel légendé « 1 m ou 5 ananas », sur lequel la séparation était donc symbolisée par… cinq ananas posés entre deux personnages, l’un noir et l’autre blanc, bien pourvus de masques. Un dessin censé illustrer l’importance de cette distanciation physique, nécessaire pendant l’épidémie de coronavirus. Une affiche qui a paru enjoindre les Martiniquais à compter non en mètres, mais en ananas… Une utilisation du fruit exotique qui n’a pas été du goût de tous !
Suivre l’exemple ? En effet, le 10 avril dernier, la municipalité de Rapa Nui, sur l’île de Pâques, avait la première utilisé cette comparaison pour rappeler l’importance de ce geste-barrière à appliquer contre le coronavirus.

Plusieurs personnes se sont indignées de cette affiche publiée vendredi, qui représente deux hommes, un Blanc et un Noir, séparés par des ananas.
Quatre cas ont été détectés dans la commune de Saint-Georges de l’Oyapock, proche du Brésil, fortement touché par l’épidémie de Covid-19
L’autorisation va « du lever du soleil à 11 heures puis de 16 heures à 18h30, pour les activités sportives individuelles »
France Antilles Junior : 
Le peuple indigène brésilien Awa Guaja, qui vit isolé au cœur de l’Amazonie, est en train de «subir un génocide», a affirmé mercredi le collectif des Gardiens de la forêt.
— Par Aurélien Rouquet, Neoma Business School —
— Par Ingrid Feuerstein —
Jacques Toubon, a demandé, jeudi 14 mai 2020, une « intervention » du ministère de l’éducation nationale afin que cesse une « différence de traitement » qui « stigmatise » dans plusieurs écoles maternelles et primaires des enfants des personnels soignants.
Les populations du bassin amazonien sont largement démunies face à la pandémie de Covid-19 qui frappe actuellement le monde entier. Face aux alertes qui se multiplient, plusieurs initatives bilatérales ont été lancées, respectivement par le Brésil et Colombie, puis par le Pérou et de nouveau la Colombie.
« Il est urgent de maîtriser nos peurs et d’aller de l’avant pour le bien des enfants. » Dans une tribune cosignée* par les responsables de sociétés de spécialités pédiatriques, le Pr Christophe Delacourt, président de la Société française de pédiatrie, regrette certaines mesures de protection excessives liées à « des craintes souvent non basées sur des faits » et plaide pour « une réouverture pragmatique » des écoles primaires et maternelles.
Le coronavirus responsable du Covid-19 pourrait devenir endémique et ne jamais disparaître totalement, a prévenu mercredi l’OMS, alors que le bilan des décès approche des 300 000 morts dans le monde.
De nombreux équipements de protection seraient trop grands pour les femmes, car conçus pour des visages masculins, expliqu
Emmanuel Demarcy-Mota et la troupe du Théâtre de la Ville sont restés très actifs pendant ces dernières semaines, et comptent bien le rester dans les mois à venir. Voici quelques extraits de La Tribune publiée le 15 mai 2020, dans « Scenweb, l’actualité du spectacle vivant ».
Qui est André Lucrèce ? (Quelques extraits de l’article de Wikipédia, à lui consacré).
« Même s’il est nécessaire, le port du masque brouille énormément les relations sociales » : pourquoi ne plus voir les visages n’a rien d’une évidence
Ghada Hatem-Gantzer est gynécologue à l’hôpital de Saint-Denis et médecin-chef de la Maison des Femmes. Elle intervient dans les formations des équipes mobiles franciliennes et leur apprend à se débarrasser de leurs biais culturels pour mieux « faire alliance thérapeutique » avec les patients.
— Par Thomas Jolly, directeur du Quai, centre dramatique national à Angers
Pour soutenir les foyers démunis ou modestes face aux difficultés financières liées à la crise sanitaire causée par l’épidémie de covid-19, une aide exceptionnelle de solidarité leur sera versée le 15 mai 2020. Celle-ci est proportionnelle au nombre d’enfants. Les bénéficiaires et les montants ont été définis dans le décret n° 2020-519 publié au Journal Officiel du 6 mai 2020.
Des études aux États-Unis et au Royaume-Uni, où la collecte des statistiques ethniques est autorisée, montrent que les minorités afro-américaines ou asiatiques ont jusqu’à quatre fois plus de risques de mourir du Covid-19 que la population blanche. Une inégalité ethnique encore mal comprise.
À chacun ses soucis… Certes, la relance du tourisme fait partie des nécessités économiques, que l’on ne peut nier. Le secteur du tourisme représente en effet 7,4% du PIB en 2019, et emploie environ 2 millions de personnes. Cependant, force est de constater que certains peuvent songer déjà à leurs vacances d’été, quand d’autres doivent d’abord assurer leur existence, au jour le jour ; ou chercher comment assurer un avenir compromis par la crise sanitaire actuelle.
Alors que le gouvernement va débloquer 475 millions d’euros pour verser une prime aux personnels des Ehpad, rien n’a été annoncé pour le secteur des services à domicile.
Le SNUEP-FSU Martinique a tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises, sur les conditions du retour des Personnels dans les établissements scolaires.
Patrick Domergue est Délégué diocésain à la Charité, et Secrétaire général du Comité Diocésain de la Solidarité et de la Charité (CDSC).