À la Martinique, quelques initiatives heureuses, qui montrent comment la vie culturelle est tenace, comment la vie continue en dépit des obstacles sur le chemin…
Mardi premier décembre, à 17 heures : Orgue et Kora à la Cathédrale de Fort-de-France
Dans le cadre des « Mardis de l’orgue » à la Cathédrale Saint-Louis de Fort-de-France, l’Association pour le rayonnement des orgues en Martinique reçoit Lisette Biron. La musicienne donnera une conférence-concert, de 17 à 19 heures, autour de la kora. L’entrée est gratuite. Toutefois, une libre participation sera la bienvenue.
La kora est un instrument à cordes originaire de l’Afrique de l’Ouest. C’est aussi l’instrument qui accompagne les liturgies à l’abbaye de Keur Moussa au Sénagal. Lisette Biron représente cette abbaye en Europe.
Mardi premier décembre, à 20 heures : Film : Les Orphelins de Sankara, à la télévision
Martinique la 1ère : Ce mardi dans l’émission Mémoire Vive, découvrez une histoire incroyable et méconnue, celle des orphelins de Sankara !
Un communiqué envoyé par « Les Révoltés de l’Histoire-Association Protéa », organisatrice du Festival International du film Documentaire de Martinique, nous avertit également ce jour :
« Nous vous informons que le film Les Orphelins de Sankara, écrit et réalisé par Géraldine Berger (Les Films d’un Jour et Vosges-Télévision) sera diffusé ce soir à 20 heures, sur Martinique la 1ère.

Le célèbre quotidien new-yorkais a établi un classement des 25 acteurs et actrices ayant crevé l’écran ces vingt dernières années. Deux Françaises figurent sur cette liste : Isabelle Huppert et Catherine Deneuve.
Ses pièces ont fait les riches heures des théâtres français. Israël Horovitz, dramaturge auteur de Très chère Mathilde et L’indien cherche le Bronx, vient de mourir à l’âge de 81 ans.
Pour garder le lien avec le public, lors du premier confinement, le Théâtre de la Colline proposait l’opération 

Au Parc de Tivoli, à Fort de France, le
Pour la saison théâtrale 2020-2021, l’association lance un nouvel 
« Aucune des nations colonialistes n’avait une approche humaine ». Que dire alors lorsqu’un homme seul se déclare indûment propriétaire de ce vaste territoire qu’est le Congo ? Qu’il se donne sur les millions d’hommes qui le peuplent droit de vie et de mort ? Mohamed Kacimi et Hassan Kassi Kouyaté ont choisi ce pays d’Afrique, devenu la RDC, République Démocratique du Congo, pour nous parler du sort qui fut celui de tout un continent, lors que se le disputaient les “grandes” puissances européennes ; mais pourquoi le Congo plus spécialement ? Parce qu’il « cristallise toute la barbarie coloniale », esclavage, exploitation, travail forcé, dépouillement des richesses et des identités, négation même du statut d’être humain… que la conquête blanche y fut mythifiée en « mission de bienfaisance ».
Congo Jazz band s’ouvre par le retour d’un voyage mouvementé à Kinshasa d’une troupe de musiciens. À leur retour, les musiciens doivent raconter, à un de leur collègue qui n’avait pu être du voyage, leur séjour mais aussi l’histoire du Congo qu’ils viennent de découvrir. Tout en évoquant l’histoire tragique du pays depuis son acquisition par le roi des Belges jusqu’à l’assassinat de Lumumba, les musiciens font voyager en même temps dans la mémoire musicale du pays.
« L’Oreille est hardie »
Les événements historiques
Vinrent d’abord les manifestations organisées par diverses associations en l’honneur du 150° anniversaire de l’Insurrection du Sud de 1870.
Le Café Littéraire continue son cycle Poésie en Voix, avec le slameur et poète Fabrice Makandja Théodose.
Une nouvelle saison s’annonce
Qui est Gladys ?
Ancien lavoir de la fin du 19ème siècle,
Écoutons le directeur du Festival, Hassane Kassi Kouyaté, dans
— Par Fabienne Darge —
En 2001, ARTE diffusait le « Médée » créé l’été précédent à Avignon par Jacques Lassalle. Pendant cinq soirs, le réalisateur Don Kent a joué dans la cour d’honneur avec le vent, les rires et les larmes, pour restituer en gros plan l’émotion du théâtre.