Samedi 12 novembre à Saint-Joseph
La Compagnie Kaméléonite est heureuse de vous convier à la représentation des Chroniques agricoles, danse et art de la parole :
samedi 12 novembre à 19h30
Centre culturel Marcé à Saint-Joseph
Accès : N4 – Quartier Belle Etoile 97212 Saint-Joseph
Accès libre sur réservation au 0596 57 60 06.
Deux petites formes seront présentées : Jardin créole (création 2020) 23’ et Terres au féminin (création 2022) 30’.
Dans le cadre de sa résidence d’implantation à Saint-Pierre, la compagnie Kaméléonite a créé en 2021, deux petites formes hybrides – danse et art de la parole – sous l’intitulé Chroniques agricoles. Ce travail a été élaboré à partir de rencontres et de collectages de paroles des agriculteurs, jardiniers, retraités, amoureux de la terre sur le territoire.
Le succès des deux premières Chroniques agricoles, initiative d’écriture artistique à partir de notre actualité agricole, nous inspire à nouveau cette année pour parler de la place frontale des femmes dans le champ agricole, qu’il soit traditionnel ou innovant.
Après trois résidences de création (Saint-Pierre, Le Lorrain, Saint-Joseph) Terres au féminin sera présentée pour la première fois au public dans sa forme de 30 ‘.

Tori et Lokita
« Bonsoir tout le monde, et bienvenue au Théâtre de la Bastille. Vous venez de voir le prologue de
Avec leurs affiches artisanales, elles ont contribué à sensibiliser sur les violences dont les femmes sont victimes, telles que les féminicides. Leur lutte est au cœur d’un documentaire qui sortira en salles mercredi 9 novembre.
Synopsis
« Les Théâtrales de Novembre” sont une manifestation littéraire axée sur les écritures théâtrales contemporaines. La manifestation permet au public de mieux connaître le corpus théâtral contemporain, d’échanger avec les auteurs et autrices invité.e.s, de se familiariser avec leurs textes lus par des comédiens et des comédiennes professionnel.Ie.s, de se procurer et de se faire dédicacer leurs œuvres.
Guitariste et chanteur, Kenny Sinapayen est de retour avec l’album Voyage
Jerry Lee Lewis, né le 29 septembre 1935 à Ferriday (Louisiane) et mort le 28 octobre 2022 dans le comté de DeSoto (Mississippi), est un chanteur-pianiste américain de rock ‘n’ roll, rockabilly, gospel, honky tonk, blues et de country.
Texte : Marius Gottin
La saison culturelle de la
— Présentation par Emmanuelle Choin, Directrice du FIFAC —
Six théâtres ont obtenu vendredi du ministère de la Culture le label «Centres nationaux de la Marionnette» (CNMa), une reconnaissance de cet art populaire parfois incompris malgré sa profonde transformation ces dernières décennies. Cette labellisation inédite concerne le plus célèbre théâtre à Paris dédié à la marionnette, Le Mouffetard, mais également l’Espace Jéliote d’Oloron-Sainte-Marie (Nouvelle-Aquitaine), L’Hectare – Territoires Vendômois (Centre-Val de Loire), le Théâtre de Laval (Pays de la Loire), Le Sablier à Ifs et Dives-sur-Mer (Normandie) et le Théâtre à la Coque à Hennebont (Bretagne). Les nouveaux CNMa «auront pour mission de soutenir la création, notamment à la mise en place d’ateliers de fabrication et à l’accueil renforcé de compagnies en résidence, d’assurer une diffusion régulière de spectacles sur l’ensemble de leur territoire» et «d’accompagner la nouvelle génération de marionnettistes», a indiqué un communiqué du ministère.
Spectacle total alliant projection vidéo, danse et création musicale. Dès 6 ans du CP au CM2
Baisse du chauffage, réduction de l’éclairage, gestes vertueux, rénovations… Les salles de spectacle s’activent afin de diminuer de 10% leur consommation énergétique.
Cette seizième édition du Festival International « Contes et Musique dans la Cité » sera belle comme un souffle nouveau de Paroles culturelles de la Martinique avec nous AMI. Cette année, le directeur artistique Valer’EGOUY met à l’honneur une des conteuses – la doyenne – de l’Atelier Pratique du Conte : Marie-Georges GIBOYAU, originaire de Saint-Joseph. Elle porte la Parole de Papa Fofo…
Sacheen Littlefeather
Si Christiane Jatahy reprenait l’expression au singulier en transposant au théâtre le « Dogville » de Lars von Trier, Berekia Yergeau la pluralise en construisant une suite de tableaux abstraits autour de quatre espaces dramaturgiques dont elle brise la continuité linéaire du récit pour interroger sous diverses facettes notre rapport à la violence. Le prologue dans une brume envahissante évoque des chemins de vies qui, solitudes dans la multitude, se meuvent, se croisent, se décroisent sans jamais faire rencontre, noyés dans l’anonymat qui les mine et qui les cerne et dont ils ne sortiront, de façon hégélienne qu’en s’opposant. Certes, par ce non qui les constitue, qui leur permet de se donner un nom, ils se découvriront sujets, mais sujets assujettis dans le processus de reconnaissance de l’autre. Le pouvoir (et sa « violence légitime ») est à la fois créateur et oppresseur du sujet, comme l’explique si bien Judith Butler. 