« The Fabelmans », un film de Steven Spielberg

Vendredi 24 février à 14h & dimanche 26 février à 11h en V.O.

Par Steven Spielberg, Tony Kushner
Avec Gabriel LaBelle, Michelle Williams, Paul Dano
Sortie : 22 février 2023 en salle / 2h 31min / Biopic, Drame

Synopsis :

Portrait profondément intime d’une enfance américaine au XXème siècle, The Fabelmans de Steven Spielberg nous plonge dans l’histoire familiale du cinéaste qui a façonné sa vie personnelle et professionnelle. À partir du récit initiatique d’un jeune homme solitaire qui aspire à réaliser ses rêves, le film explore les relations amoureuses, l’ambition artistique, le sacrifice et les moments de lucidité qui nous permettent d’avoir un regard sincère et tendre sur nous-mêmes et nos parents.

Passionné de cinéma, Sammy Fabelman passe son temps à filmer sa famille. S’il est encouragé dans cette voie par sa mère Mitzi, dotée d’un tempérament artistique, son père Burt, scientifique accompli, considère que sa passion est surtout un passe-temps. Au fil des années, Sammy, à force de pointer sa caméra sur ses parents et ses sœurs, est devenu le documentariste de l’histoire familiale ! Il réalise même de petits films amateurs de plus en plus sophistiqués, interprétés par ses amis et ses sœurs. Mais lorsque ses parents décident de déménager dans l’ouest du pays, il découvre une réalité bouleversante sur sa mère qui bouscule ses rapports avec elle et fait basculer son avenir et celui de ses proches.

La presse en parle :

20 Minutes par Caroline Vié

Quel film ! On pourrait croire qu’à 76 printemps, Steven Spielberg aurait tout dit et tout montré. The Fabelmans prouve qu’il en a encore sous le capot et pas qu’un peu.

Bande à part par Anne-Claire Cieutat

Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.

CNews par La rédaction

Fable universelle qui évoque le rêve américain à travers le récit initiatique de ce jeune Sammy, « The Fabelmans » reste un magnifique hommage au cinéma et une sublime déclaration d’amour de Steven Spielberg à son art. Avec toute la tendresse et la bienveillance que l’on retrouve dans la filmographie de l’Américain.

Cahiers du Cinéma par Jérôme Momcilovic

Il y a plus d’une raison d’être ému aux larmes devant The Fabelmans, qui n’est pourtant pas plus un mélo qu’il n’est suspect de chantage à l’émotion (…) Au soir de sa carrière, Spielberg, comme beaucoup de ses personnages avant lui, rentre à la maison.

CinemaTeaser par Aurélien Allin

Un très grand film.

Closer par J.B.

Explorant à la fois des enjeux intimes, la poursuite du rêve américain et le Nouvel Hollywood, le réalisateur d’E.T. filme sur la corde sensible entre émerveillement, nostalgie et créativité.

Critikat.com par Josué Morel

De ses souvenirs d’enfance, Spielberg tire un film à la fois lumineux et d’une brutalité feutrée, quasi étouffée.

Culturopoing.com par Jean-François Dickeli

Un long-métrage intimiste et sublime, qui fuit l’enfermement égotique au profit de l’universel.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet

Spielberg n’aurait pas été Spielberg sans Leah Adler. Elle est son « porte-bonheur ». Dans l’une des scènes les plus fortes de The Fabelmans Mitzi embarque ses enfants en voiture à la poursuite d’une tornade.

Elle par Françoise Delbecq

Ce trente-cinquième film est déjà inoubliable.

Filmsactu par La Rédaction

Magistral, bouleversant mais aussi drôle. Du très très grand Spielberg.

GQ par Adam Sanchez

À des kilomètres de l’exercice nombriliste d’un artiste regardant dans le rétro les raisons de sa légende, The Fabelmans ressemble davantage à un exercice réflexif, et parfois douloureux, sur les manières dont l’artiste peut fédérer, diviser, bouleverser la perception de soi et des autres au travers d’un mouvement de caméra a priori insignifiant et d’images collées les unes derrière les autres.

L’Humanité par Cyprien Caddeo

The Fabelmans n’est pas tant une œuvre- testament qu’un film matriciel, une autobiographie intime et sensible où Steven Spielberg raconte sa famille, son enfance ballottée de l’Ohio à l’Arizona puis en Californie.

La Voix du Nord par Christophe Caron

Le réalisateur star évoque frontalement son enfance, ses parents, sa passion pour le cinéma. Une vraie mise à nu, inédite. Ce faisant, il signe un film universel et bouleversant sur une dislocation familiale. Et sur la puissance révélatrice des images. Magistral.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet

Steven Spielberg rend aussi un hommage formidable à John Ford, grand réalisateur de l’âge d’or de Hollywood, figure légendaire du western, rencontré dans sa jeunesse.

Le Figaro par Eric Neuhoff

Le trente-quatrième long-métrage du cinéaste américain est l’un de ses plus beaux. Le plus personnel aussi, puisqu’il y retrace son enfance, sa découverte du cinéma et la séparation de ses parents.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche

Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence, composant des plans sublimes pour déclarer son amour à sa famille et dire la nécessité de croire en ses rêves.

Le Journal du Geek par Allan Blanvillain

Le réalisateur, le vrai, filme ces vies avec une immense tendresse, offrant à chacun un bel écrin où la moindre subtilité leur permet de briller.

Le Monde par Mathieu Macheret

Cette matière intime, Spielberg l’enrobe chaleureusement dans les termes d’un classicisme magnifique, avec un sens du détail saillant et une sensibilité tragi-comique.