Jeudi 10 Novembre 2022 – 19h30 Tropiques-Atrium

Texte : Alfred Alexandre
Mise en scène : Ewlyne Guillaume
Avec : Serge Abatucci, Philippe Calodat
Crédit photo : Ronan Lietar
Création 2022
Ils sont au chômage après avoir exercé le métier de « dogues » : hommes de main d’un parti politique. Deux frères de sang, deux « frères de couleur », deux dogues, deux chiens errants, chiens parmi les chiens… Chiens sans maîtres : voilà le malheur !
Frantz, est « l’éternel serviteur ». Collé à son île, il est inscrit dans la punition, la privation. Il choisit la vie à petit prix.
Quant à Georges, tout indique sa fragilité vitale, il est incapable de s’émanciper de sa souffrance, il est « otage de sa propre douleur ».
La pièce au-delà du « drame de la jalousie fraternelle » se termine par le meurtre de Georges tué par son frère… Dans une société au bord du précipice, il ne nous resterait donc plus qu’à nous entre dévorer ? Ou bien, s’agirait-il ici, de la venue annoncée des quatre cavaliers de l’apocalypse : vecteurs de bouleversements féconds ?

Présenté par Mareva Galanter et Juan Massenya
La Compagnie Kaméléonite est heureuse de vous convier à la représentation des Chroniques agricoles, danse et art de la parole :
Tori et Lokita
« Bonsoir tout le monde, et bienvenue au Théâtre de la Bastille. Vous venez de voir le prologue de
Avec leurs affiches artisanales, elles ont contribué à sensibiliser sur les violences dont les femmes sont victimes, telles que les féminicides. Leur lutte est au cœur d’un documentaire qui sortira en salles mercredi 9 novembre.
Synopsis
« Les Théâtrales de Novembre” sont une manifestation littéraire axée sur les écritures théâtrales contemporaines. La manifestation permet au public de mieux connaître le corpus théâtral contemporain, d’échanger avec les auteurs et autrices invité.e.s, de se familiariser avec leurs textes lus par des comédiens et des comédiennes professionnel.Ie.s, de se procurer et de se faire dédicacer leurs œuvres.
Guitariste et chanteur, Kenny Sinapayen est de retour avec l’album Voyage
Jerry Lee Lewis, né le 29 septembre 1935 à Ferriday (Louisiane) et mort le 28 octobre 2022 dans le comté de DeSoto (Mississippi), est un chanteur-pianiste américain de rock ‘n’ roll, rockabilly, gospel, honky tonk, blues et de country.
Texte : Marius Gottin
La saison culturelle de la
— Présentation par Emmanuelle Choin, Directrice du FIFAC —
Six théâtres ont obtenu vendredi du ministère de la Culture le label «Centres nationaux de la Marionnette» (CNMa), une reconnaissance de cet art populaire parfois incompris malgré sa profonde transformation ces dernières décennies. Cette labellisation inédite concerne le plus célèbre théâtre à Paris dédié à la marionnette, Le Mouffetard, mais également l’Espace Jéliote d’Oloron-Sainte-Marie (Nouvelle-Aquitaine), L’Hectare – Territoires Vendômois (Centre-Val de Loire), le Théâtre de Laval (Pays de la Loire), Le Sablier à Ifs et Dives-sur-Mer (Normandie) et le Théâtre à la Coque à Hennebont (Bretagne). Les nouveaux CNMa «auront pour mission de soutenir la création, notamment à la mise en place d’ateliers de fabrication et à l’accueil renforcé de compagnies en résidence, d’assurer une diffusion régulière de spectacles sur l’ensemble de leur territoire» et «d’accompagner la nouvelle génération de marionnettistes», a indiqué un communiqué du ministère.
Spectacle total alliant projection vidéo, danse et création musicale. Dès 6 ans du CP au CM2
Baisse du chauffage, réduction de l’éclairage, gestes vertueux, rénovations… Les salles de spectacle s’activent afin de diminuer de 10% leur consommation énergétique.
Cette seizième édition du Festival International « Contes et Musique dans la Cité » sera belle comme un souffle nouveau de Paroles culturelles de la Martinique avec nous AMI. Cette année, le directeur artistique Valer’EGOUY met à l’honneur une des conteuses – la doyenne – de l’Atelier Pratique du Conte : Marie-Georges GIBOYAU, originaire de Saint-Joseph. Elle porte la Parole de Papa Fofo…
Sacheen Littlefeather
Si Christiane Jatahy reprenait l’expression au singulier en transposant au théâtre le « Dogville » de Lars von Trier, Berekia Yergeau la pluralise en construisant une suite de tableaux abstraits autour de quatre espaces dramaturgiques dont elle brise la continuité linéaire du récit pour interroger sous diverses facettes notre rapport à la violence. Le prologue dans une brume envahissante évoque des chemins de vies qui, solitudes dans la multitude, se meuvent, se croisent, se décroisent sans jamais faire rencontre, noyés dans l’anonymat qui les mine et qui les cerne et dont ils ne sortiront, de façon hégélienne qu’en s’opposant. Certes, par ce non qui les constitue, qui leur permet de se donner un nom, ils se découvriront sujets, mais sujets assujettis dans le processus de reconnaissance de l’autre. Le pouvoir (et sa « violence légitime ») est à la fois créateur et oppresseur du sujet, comme l’explique si bien Judith Butler.