« La montagne », un film de Thomas Salvador

Lundi 27 mars à 19h/ Madiana
Par Thomas Salvador, Naïla Guiguet
Avec Thomas Salvador, Louise Bourgoin, Martine Chevallier
1 février 2023 en salle / 1h 52min / Drame, Fantastique
Synopsis :
Pierre, ingénieur parisien, se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré par les montagnes, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre. Là-haut, il fait la rencontre de Léa et découvre de mystérieuses lueurs.

La presse en parle :
Bande à part par Anne-Claire Cieutat
Après Vincent n’a pas d’écailles, comédie aquatico-burlesque, Thomas Salvador signe avec La Montagne une fable écologiste doublée d’une histoire d’amour. Une expérience organique et sensuelle à vivre en salle absolument.

Libération par Elisabeth Franck-Dumas
Voilà bien longtemps qu’une telle incandescente magie ne nous avait autant émerveillée au cinéma.

Mad Movies par Gilles Esposito
Ce film déploie l’envoûtement induit par l’atmosphère des sommets jusqu’à toucher des images visionnaires qui engendrent une rare sensation de réel émerveillement.

Marianne par Thomas Bravo-Maza
Le cinéaste Thomas Salvador signe un film qui ne ressemble à aucun autre, transfigurant un voyage initiatique alpin en conte fantastique. Il nous offre une puissante allégorie de l’effondrement et du retour à la vie, un sommet d’audace et de sensibilité.

20 Minutes par Caroline Vié
Le réalisateur de « Vincent n’a d’écailles » signe un film contemplatif et paisiblement beau.

Cahiers du Cinéma par Vincent Malausa
Cette façon qu’a le film de s’écrire sur une grande étendue blanche et d’avancer selon d’enfantins principes de lubie et d’obsession, ce minimalisme tout en lignes épurées et trajectoires nettes tracées à même le cristal et la glace pourraient virer au simplisme ou à une vague poésie d’illuminé (…) si Salvador n’en revenait constamment à cette obscure mathématique de la matière et à cette pure métaphysique des corps et des éléments qui travaillent sa mise en scène.

CinemaTeaser par Alex Masson
Ode à la douceur pour se reconstruire. La montagne atteint un sommet de pureté..

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Thomas Salvador lui-même rejoue le héros de ce film aux paysages superbes, jetant ainsi des ponts avec Vincent n’a pas d’écailles.

Ecran Large par Mathieu Jaborska
Thomas Salvador mélange adroitement les genres pour trouver une place dans le monde. Un film minimaliste, humble, qui soulève pourtant des montagnes.

Elle par Françoise Delbecq
Une dinguerie qui atteint des sommets d’originalité dans un flux d’images plus sublimes les unes que les autres.

L’Obs par Xavier Leherpeur
Sept ans après l’enthousiasmant « Vincent n’a pas d’écailles », le cinéaste Thomas Salvador − qui tient ici le rôle principal de cette fable hypnotique − confirme son talent pour injecter de l’irrationnel dans le quotidien.

La Septième Obsession par Thomas Aïdan
Le film n’est pas pour autant un manifeste sociologique, mais une véritable odyssée minimaliste au sublime assumé.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Pour être de ce voyage hermétique surnaturel, pour avoir accès à cette œuvre métaphysique, qui a aussi quelque chose à voir avec le mysticisme et la magie, il faut partager l’idée qu’il existe dans la nature quelque chose qui dépasse l’homme, une transcendance.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Pour son deuxième long métrage, le cinéaste propose une expérience sensorielle unique, reposant sur l’économie de dialogues et la contemplation. Dans le paysage grandiose du massif du Mont-Blanc, il convoque le merveilleux et donne le vertige, à travers la crise existentielle d’un héros en perdition.

Le Monde par Mathieu Macheret
Les jours passant, l’homme marche, grimpe, explore, éprouvant ce paysage abrupt et reculé, dont la nature se dévoile. Rien que cela pourrait suffire à la beauté du film, qui trouve toute sa poésie dans cet appel des hauteurs.