— Par M’A—
L’été. La Corse !.Porto Vecchio. 150 000 touristes et autant d’envahisseurs. Cinq adolescents, quatre garçons une fille. Ils sont Corses, de « souche » comme dirait le borgne, ou issus de l’immigration marocaine, peu importe ils appartiennent à cette île et cette île leur appartient. Le père de l’un d’eux est chargé de l’entretien d’une luxueuse villa. Son fils, Aziz, lui file une coup de main tout en testant les systèmes de sécurité de la maison. Le soir il revient avec ses potes, François-Jo, Hamza, Jo et Maryne. En repartant au petit matin ils emportent, une chaine stéréo démodée, quelques DVD et deux fusils de collection. Quand elle découvre le vol la propriétaire veut porter plainte. Une de ses connaissances, un malfrat, la dissuade : « Les flics ? Si t’as besoin de rien, tu les appelles ». Il se propose de régler ça lui-même. Et c’est le commencement d’une descente minable, incroyablement minable, aux enfers pour les quatre gars de la bande.
Le réalisateur Thierry de Peretti est né à Ajaccio en 1970. Il a été lauréat de la Villa Médicis Hors-les-murs et a obtenu le prix de la révélation théâtrale de la critique en 2001 pour sa mise en scène du « Retour au pays natal de Koltès.

Séance de rattrapage le 02 juillet pour celles et ceux que l’imprévoyance du CMAC lors des Rencontres Cinémas, avait privé de projection du film « Angela Free ».
Huit ans de règne de Mahmoud Ahmadinejad (2005-2013). Huit longues années durant lesquelles la chronique du cinéma iranien aura été nourrie tant par la critique des films, que par le récit des pressions, arrestations et condamnations subies par les réalisateurs. Dans ce pays où les artistes ont coutume de dire « cela ne peut pas être pire qu’avant », chacun se garde de tirer des conclusions hâtives, au lendemain de l’élection d’Hassan Rohani, le 14 juin.
Le rhum, c’est plutôt en douce qu’il le boit, planqué dans une petite bouteille d’eau en plastique quand il est sur les plateaux de cinéma. Car là, il n’est pas le roi, mais « une jeune actrice », comme il dit, un soldat qui s’applique, avec une équipe tout autour, des horaires et un cadre qui ne lui font pas de mal. La dernière affiche annonce bien une montée en puissance, gros plan sur lui à côté de Depardieu – « Pourquoi y a autant de jours de tournage ? », avait-il demandé à son manager. « T’as le premier rôle, banane ! » Mais il n’est pas un roi. Depardieu lui a dit : « Tu sais, tu as de la chance Didier, le ciné, ça rend con. T’as autre chose, toi. »





M Marronnage (18’)
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L’exception culturelle ne fera pas partie des negociations de libre-echange entre l’Union europeenne et les Etats-Unis, a annonce lundi la Commission europeenne, repondant aux objections de la France qui menace de bloquer le projet de partenariat transatlantique.
La Première Délégation Internationale des Femmes Cinéastes Cubaines aux Etats-Unis a parcouru, entre le 6 et le 25 mars, plusieurs villes étasuniennes telles que New York, Los Angeles et Miami, présidé par la cinéaste Marina Ochoa, fondatrice et directrice de la Médiathèque de la Femme Réalisatrice « Sara Gómez ».
