Compétition Court Métrage
Les lauréats
Prix Révélation Court-Métrage :
« Mal Nonm » de Yannis Sainte-Rose (Martinique)
Prix du Public Court-Métrage :
« Dorlis» d’Enricka MH (Martinique)
Prix du Meilleur Court-Métrage Antilles-Guyane :
« Ecoutez le battement de nos images » d’Audrey et Maxime Jean-Baptiste (Guyane)
Prix du Jury Court-Métrage :
« Tjenbé Red » de Chloé Léonil (Martinique)
Mention Spéciale du Jury Court-Métrage :
« Twa Fey » de Séphora Monteau et Eléanore Coyette (Haïti/France)
16ème édition Compétition Documentaire
Les lauréats :
Prix du Meilleur Documentaire Antilles-Guyane :
« René Maran, le premier goncourt noir » de Fabrice Gardel et Mathieu Weschler (France)
Prix du Jury Documentaire :
« La Opcion Cero» de Marcel Beltran (Haiti)
Mention Spéciale du Jury Documentaire :
« Monchoachi, la parole sovaj» d’Arlette Pacquit (Martinique)
La Bourse du Festival
Le lauréat
« Zwazo Paradi » de Bénédicte Dubuisson

Le jury salue un film qui
Qu’est-ce qu’être Noir en France ? Dans un très beau documentaire diffusé mardi sur France 2 et visible en replay durant une semaine, la réalisatrice Aurelia Perreau et l’écrivain Alain Mabanckou donnent la parole à des personnes noires de tous âges et de tous horizons, tout en éclairant en contrepoint la fabrique des préjugés grâce à des images d’archives.
Ce mois de janvier 2022 a permis d’ouvrir au bénéfice du public martiniquais quelques « Fenêtres sur Haïti », selon le titre choisi pour cet ensemble de manifestations : cinéma, théâtre, musique, expositions. Si Haïti est en très mauvais état (et ce n’est, hélas, pas d’hier, on pourra consulter au premier étage de l’Atrium des panneaux sur lesquels sont rappelées quelques-unes des atrocités commises par François Duvalier), sa créativité est intacte. Ainsi ces diverses manifestations ont-elles fait souffler un peu d’air frais sur une Martinique trop longtemps privée d’événements culturels.
Los Angeles – « The Power of the Dog » et « West Side Story » ont remporté dimanche les principaux prix lors d’une cérémonie des Golden Globes largement ignorée par Hollywood, et dont les lauréats ont été révélés en ligne, sans retransmission télévisée, ni tapis rouge.
Deux documentaires à propos de personnages haïtiens ce samedi 8 janvier 2022 à Tropiques-Atrium : René Depestre et Ymelda. Deux portraits que presque tout oppose. A tout seigneur tout honneur, d’abord Depestre. Il fallait pour un tel monument un cinéaste à la hauteur du sujet. Qui d’autre qu’Arnold Antonin pouvait y prétendre ? Le cinéaste haïtien, couvert de récompenses internationales, de distinctions pour l’ensemble de son œuvre, auteur en 1974 du célèbre «Haïti, le chemin de la liberté » retrace en deux heures une biographie passionnante d’un amoureux éperdu de la vie. Écrivain, il a reçu le prix Renaudot pour son roman «
« C’est jusqu’à 20 % de nos recettes» : le Covid met fin au pop-corn au cinéma
/ 2h 37min / Romance, Musical, Drame
Une étude du magazine américain « Variety » montre que depuis le début de la crise du Covid-19, les minorités, et en particulier les personnages noirs et non-binaires, sont plus présentes à l’écran
Le collectif 50/50 dévoile une étude selon laquelle les personnages non-blancs sont sous-représentés dans le cinéma français, et restent cantonnés à un certain type de rôles.
« Animal » de Cyril Dion, en salles le 1er décembre, suit le parcours initiatique de deux jeunes activistes écologistes. Avec eux, le film enquête sur les causes de la 6e extinction de masse, propose des solutions. Et, surtout, conduit à s’interroger sur une question fondamentale : quelle est la place des humains dans le monde vivant ?
1h 52min / Biopic, Musical
— Par Mathieu Macheret —
Avec Néhémie Bastien, Fabiola Remy, Djanaïna François


Par Aïssa Maïga


Au Fespaco, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, les projections officielles ont débuté ce dimanche. Plusieurs catégories existent : longs métrages, mais aussi documentaires. En sélection, « En route pour le milliard » du Congolais Dieudo Hamadi revient sur la guerre des Six Jours dans la ville de Kisangani, guerre entre les armées rwandaises et congolaises.
Au Palais des sports de Ouagadougou, Serge Aimé Coulibaly fait les derniers réglages pour le spectacle d’ouverture du Fespaco qui aura lieu samedi 16 octobre. Pour cette 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, au Burkina Faso, le chorégraphe, ses 80 danseurs, acrobates et comédiens, ont décidé de rendre hommage à la femme, à travers le spectacle « Yennenga Leguessi » ou l’hymne à la résilience.