Jafar Panahi, l’un des cinéastes iraniens les plus primés, a été arrêté le 11 juillet. Michèle Halberstadt, dont la société distribue les films du réalisateur, estime que davantage d’actions pourraient être menées pour tenter de lui venir en aide.
Michèle Halberstadt, productrice, dont la société ARP Sélection distribue les films de Jafar Panahi, se dit « inquiète » jeudi 2 février sur franceinfo. Le cinéaste iranien est en prison à Téhéran, depuis le 11 juillet dernier et il a entamé une grève de la faim pour protester. Ce qui inquiète particulièrement la productrice, ce n’est pas seulement qu’il ait arrêté de se nourrir, ce qui lui fait le plus « peur », c’est « le ton qui accompagne cette décision. Les mots qu’il emploie. C’est quelqu’un qui a toujours recours à la sagesse, à l’humour. Là, je sens une absence totale d’esprit, de légèreté et une absence totale d’espoir et de vision d’avenir. »
Michèle Halberstadt a tout de même quelques nouvelles via la femme du cinéaste : « On a vraiment cru pendant trois mois qu’il allait sortir parce qu’on s’est aperçus que la condamnation prononcée en 2010 n’est plus valable puisqu’en Iran si vous n’avez pas purgé votre peine, au bout de 10 ans elle est caduque », explique la productrice.



Le nombre de personnes sans domicile en France a plus que doublé en dix ans, selon la Fondation Abbé Pierre, qui évalue leur nombre à environ 330 000 dans son rapport annuel présenté mercredi. Sans abri, en hébergement d’urgence ou en centre pour demandeurs d’asile, les personnes sans domicile ont vu leur nombre augmenter de près de 130 % depuis 2012, date de la dernière étude de l’Insee à ce sujet, estime la fondation.
Dans un livre référence, le chercheur Denis Cogneau démonte certaines idées reçues sur l’héritage économique de la colonisation française. Il affirme que l’empire constitué en Afrique et en Asie a relativement peu coûté à la France, que les ressources engrangées n’ont que peu profité aux pays colonisés, et que la page de la Françafrique n’est pas totalement refermée. Entretien.

Hausse des livrets d’épargne réglementés ; hausse des tarifs de l’électricité limitée à 15 % ; demande de l’indemnité carburant de 100 € avant le 28 février ; augmentation des tarifs d’autoroutes et des taxis ; ouverture de la vaccination contre la Covid-19 aux enfants de moins de 5 ans à risque de forme grave ; dates des vacances d’hiver…
Mardi 31 janvier
Réformer les régimes des retraites n’est pas une mauvaise chose, s’il s’agit de rendre le système plus juste. Voici les six grands principes à prendre en compte pour atteindre cet objectif. L’analyse de Noam Leandri et Louis Maurin, de l’Observatoire des inégalités.
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— Par Alexandra Schwartzbrod —
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— Communiqué de presse, relayé par l’UFM —
Quel supplément si vous réservez un taxi ? Quel tarif minimum peut-on vous demander ? Quel est le forfait pour vous rendre dans un aéroport ? Les tarifs des courses de taxi qui entrent en vigueur au plus tard le 1
Concept en perpétuelle évolution, l’économie circulaire est appelée à prendre une grande place dans nos vies dans les prochaines décennies. Mais elle ne doit pas être une alternative à la sobriété.
3100 personnes dans les rues de
Le calcul des droits à la retraite, s’appuie sur un système qui dépend de plusieurs données
À l’occasion de la journée mondiale de l’éducation, ce 24 janvier, plusieurs ONG rappellent à quel point les inégalités entre les filles et les garçons persistent dans l’accès à l’apprentissage. Au sein des régions en situation d’urgence, le constat est sans appel : les filles demeurent toujours les premières mises à l’écart de la scolarité.
L’émissaire des Nations unies en Haïti a décrit mardi, devant le Conseil de sécurité, des violences liées aux gangs dans ce pays qui ont atteint « des niveaux jamais vus depuis des décennies », avec notamment 1 359 kidnappings en 2022, soit une moyenne de 4 par jour.
La hausse de l’âge légal de départ dès septembre, mesure phare de la réforme des retraites présentée par le gouvernement, « pourrait conduire 50 000 personnes à décaler leur départ » cette année, a estimé le Haut conseil des finances publiques (HCFP).
Le gouvernement canadien a annoncé samedi un accord avec 325 communautés autochtones pour les dédommager à hauteur de 2,8 milliards de dollars canadiens (environ 1,9 milliard d’euros) pour les sévices subis entre la fin du 19e siècle et les années 1990.
Parmi les signataires de la tribune, figurent la chercheuse franco-iranienne Fariba Adelkhah et la fille de l’ancien président Hashemi Rafsandjani.