— par Gladys Dubois —
Qui est Gladys ?
Diplômée en Droit et économie de l’Université Nancy 2 ainsi qu’en Arts du spectacle communication et médias de l’Université Toulouse-Jean Jaurès, Gladys Dubois a travaillé principalement en tant que chargée de communication pour des théâtres et des festivals de musique et de cinéma. Elle aime écrire des articles car elle est amoureuse des mots, surtout lorsqu’ils révèlent, dénoncent ou émeuvent… Sa passion pour la culture, surtout celle de son pays, la Martinique, lui donne envie d’en découvrir toujours plus, et de la faire connaître au plus grand nombre. Elle est correspondante en Martinique pour Kariculture.net, magazine culturel trilingue en ligne de la Caraïbe.
Ce 19 août 2020, alors que depuis le mois de mars nous sommes douloureusement privés de théâtre, Gladys Dubois nous permet de maintenir le lien avec nos artistes, en nous parlant de trois pièces : Cette guerre que nous n’avons pas faite, Le Monologue du Gwo Pwèl et Ladjablès, femme sauvage, trois spectacles que nous avons pu voir, en d’autres temps plus heureux, sur les scènes de Fort-de-France.

Alors que le public tarde à retrouver le chemin des salles obscures, que certaines, faute de public, se sont vues contraintes de refermer leurs portes, quelques festivals de cinéma sont maintenus à l’automne 2020.
Lors de la scène d’ouverture, un homme fume le cigare, à moins que ce ne soit le vent qui le consume. Des vagues s’abattent en gerbes blanchies d’écume sur le Malecon (la jetée) qui protège La Havane. Dans le dernier plan, le même homme fume toujours un cigare incandescent. L’eau monte jusqu’au seuil des maisons. Les vagues sont devenues plus grosses. Est-ce à dire que la situation de Cuba a empiré ? Hubert Sauper ne nous dit rien. Il filme, un peu en retrait de son sujet, comme s’il redoutait d’être pris dans le dispositif spéculaire qu’il dénonce. Difficile de savoir, à la vision de ce documentaire poétique et déambulatoire, ce qu’il pense de la situation de l’île qu’il situe au croisement d’une « fake news » et d’une utopie. S’il regrette l’épopée castriste. S’il applaudit à la réouverture des relations diplomatiques avec les États-Unis.
Avec Dulamjav Enkhtaivan, Aorigeletu, Norovsambuu Batmunkh
La pandemia ha afectado y sigue afectando cada día la vitalidad y el desarrollo del teatro latinoamericano y caribeño y arriesga la supervivencia de valiosas agrupaciones. Funciones y festivales han debido cancelarse y los ensayos se han suspendido. Mientras grupos y artistas generan iniciativas virtuales para sostener la actividad creadora y la comunicación con el público y con sus colegas de todas partes, con eventos, maratones, monólogos, paneles y talleres en línea, como impulso vital para impedir que el teatro muera, muchos gobiernos neoliberales, carentes de políticas culturales humanistas e indiferentes a la necesidad de preservación y afirmación de la identidad de sus pueblos, dan la espalda a la cultura y a sus artistas.
Percussionniste, enseignant en tambour, griot de la tradition, Alfred Varasse poursuit son engagement de militant en faveur de l’instrument et du patrimoine, nous invitant à une relecture de notre histoire, avec le tambour martiniquais au centre du discours, au cœur même du débat. Il revient sur son parcours de musicien et nous témoigne son engagement qui n’a en rien changé, sinon évolué, pour plus de place encore pour ce mythique instrument, au sein de la société martiniquaise et, plus largement, antillaise.
Le premier long-métrage de Maïmouna Doucouré, « Mignonnes », sort le 19 août en salles. (Sacha Maric for Netflix) Marine Langlois
Le Biguine Jazz Festival
Ancien lavoir de la fin du 19ème siècle,

De Rubika Shah
Le mercredi 8 juillet dernier, l’Association pour le Développement du Cinéma d’Art et d’essai en Guadeloupe (APCAG) inaugurait 
Dans ce portrait qui lui est consacré, l’une des figures montantes de la scène des musiques du monde, évoque son parcours mené de luttes contre le déterminisme familial et son émancipation par la créolité.
Du 1er au 30 août, de nombreux concerts gratuits auront lieu dans différents hôtels de la Martinique. Une opération programmée par le Comité Martiniquais du Tourisme afin de soutenir deux secteurs particulièrement impactés par la crise sanitaire : le tourisme et l’événementiel. L’épidémie de Covid-19 sévissant toujours, les normes sanitaires et la limitation du nombre de participants resteront bien évidemment en vigueur. Il faut réserver sa soirée auprès des hôtels concernés.
Baptisée « Demandez à Clara », en référence à Clara Schumann, cette base de données lancée en juin rassemble 4 662 œuvres, de 1618 à 2020.
Jazz à la Pointe redémarre dès le mois Août pour 3 journées de festival à la Pointe Faula, Vauclin, Martinique. 
Robert Régina présente « Le Stage Intensif de DanseS+Atelier Bèlè » (SID+AB) 8ème édition qui se déroulera cette année
Paris – La prolongation des droits d’indemnisation des intermittents du spectacle jusqu’à fin août 2021 a été actée par un arrêté du ministère du Travail publié dimanche au Journal officiel.
À l’origine de certains épisodes de séries télévisées françaises comme Mongeville, Sam, ou Tropiques Criminels, se trouve une jeune femme martiniquaise,
Olivia de Havilland, l’inoubliable Melanie dans « Autant en emporte le vent » décédée dimanche à 104 ans à Paris, où elle résidait, était la doyenne d’Hollywood dont elle incarnait l’âge d’or des années 1930-1940.