« Rocks » un film de Sarah Gavron

Lundi 25 janvier 2021 – 20h30  — Mardi 26 janvier 2021 – 18h30 — Salle Frantz Fanon 

Avec Bukky Bakray, Kosar Ali, D’angelou Osei Kissiedu
Nationalité britannique
9 septembre 2020 / 1h 33min / Drame

Synopsis :
Rocks, 15 ans, vit à Londres avec sa mère et son petit frère. Quand du jour au lendemain leur mère disparait, une nouvelle vie s’organise avec l’aide de ses meilleures amies. Rocks va devoir tout mettre en oeuvre pour échapper aux services sociaux.

La presse en parle :
Télé Loisirs par Claire Picard
Un regard rare sur l’Angleterre populaire et multiculturelle.

20 Minutes par Caroline Vié
Le naturel prodigieux des jeunes actrices amatrices est l’atout majeur du film.

BIBA par Mélanie Klein
Avec son thème social, on n’est jamais très loin de Ken Loach mais la vivacité et l’aura de ses actrices lui ajoutent une touche kechichienne.

CNews par La rédaction
[Les] actrices non professionnelles apportent une bonne dose d’insouciance, de gaieté et de légèreté à ce récit poignant.

Culturopoing.com par Marjorie Rivière
Malgré son sujet grave et son contexte, jamais le long-métrage ne se laisse enfermer dans les cases. Ni film de banlieue, ni drame social et familial fataliste, il adopte un ton nuancé, à l’image du parcours de la jeune femme, oscillant entre deux univers qui s’opposent.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Quelque part entre Kes de Ken Loach et Bande de Filles de Céline Sciamma, cousinant lointainement aussi avec Nobody knows d’Hirokazu Kore-eda, ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.

Elle par E.R.
Cette bande de copines fait sourire – une larme à l’oeil.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.

Le Parisien par Catherine Balle
Un drame britannique émouvant.

Ouest France par Thierry Chèze
Rocks se vit dans l’énergie de son épatante interprète.

Paris Match par Yannick Vely
Ce qui est beau, aussi, dans le film de Sarah Gavron, c’est qu’il est une ode à une Angleterre multi-raciale et culturelle, un United Colors of Britannia qui doit se serrer les coudes dans l’adversité, un message très politique en plein Brexit.

Positif par Vincent Thabourey
Photographié par Hélène Louvart, ce film à la réalisation discrète mais soignée s’inscrit bien dans la tradition anglaise des films sociaux, efficaces sans jamais être asphyxiants.

Rolling Stone par Xavier Bonnet
« UN KEN LOACH AU FÉMININ », annonce l’affiche. (…) Sarah Gavron, dont c’est là le troisième film et qui en a vu d’autres – ne serait-ce qu’en dirigeant Carey Mulligan, Helena Bonham Carter et Meryl Streep sur le précédent, Suffragette – devra donc se débrouiller avec ça. Elle n’aura après tout qu’à s’inspirer de ce qu’elle fait endurer ici à son personnage principal, cette “Rocks” pas encore sortie de l’adolescence, livrée à elle-même.