Les résultats de cette étude israélienne démontrent « l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19 », assurent les laboratoires Pfizer et BioNTech.
Quelques bonnes nouvelles viennent éclairer le marasme ambiant sur le front de l’épidémie de Covid-19. La dernière est date nous est parvenue jeudi 11 mars par le biais d’une étude réalisée en Israël. Selon elle, le vaccin Pfizer-BioNTech serait efficace à 97 % contre les cas symptomatiques et les formes graves de Covid-19, soit davantage que les données déjà connues sur les propriétés de ce vaccin.
Tirés de données concernant les personnes vaccinées en Israël, « les résultats représentent les preuves concrètes les plus complètes à ce jour démontrant l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19 », selon un communiqué des laboratoires Pfizer et BioNTech et du ministère israélien de la Santé. Selon l’étude basée sur la période du 17 janvier au 6 mars, le vaccin est également efficace « à 94 % » contre les formes asymptomatiques du virus.
Des résultats « importants » pour la communauté internationale
Ces conclusions améliorent les enseignements d’une précédente étude menée en conditions réelles sur les personnes vaccinées en Israël, d’après laquelle le vaccin de Pfizer était efficace à 94 % contre les cas symptomatiques de Covid-19.

Il était une fois un vieil homme et Yogourou, le Renard pâle. Ils étaient de bons amis. Chaque fois qu’ils se rencontraient, Yogourou prédisait l’avenir de quelques personnes du village.
Sao Paulo – Le Brésil a battu mardi son record journalier de décès du Covid-19, avec 1.972 décès officiellement signalés, sans aucun signe de ralentissement de la pandémie dans un pays où le système hospitalier est débordé et où la vaccination progresse lentement.
Il était une fois une femme qui n’avait pas eu de garçon. Dieu ne lui a pas donné de garçon et elle est en quête d’un garçon.
Et le scandale est encore plus grand car la majorité, jusque là silencieuse, ne réagit pas massivement contre un groupuscule dont le travail de sape de notre société se poursuit depuis près de quarante ans afin d’instaurer ses terribles valeurs.
Depuis décembre 2018, notre groupe Ba Peyi-a An chans n’a cessé d’alerter la classe politique et la population sur les dérives de la gouvernance actuellement à la tête de l’Université des Antilles ! Lors d’une conférence de presse, nous pointions déjà du doigt :
Présentation

Suite à une forte crise politique, une petite île vit une rupture systémique avec les PK, grands producteurs et distributeurs alimentaires jusqu’alors détenteurs du monopole économique local. Mais au beau milieu de cette restructuration sociétale et en pleine aire de changement climatique, les populations les plus vulnérables se voient fortement affectées.
Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement2. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que trois ans plus tard, le 15 mars 1832, que Victor Hugo complète son roman par une longue préface qu’il signe de son nom.
Cyrilia, j’ai dit bonjour !
MOI KADHAFI !
Texte original en anglais traduit en français par Adélaïde Pralon
Avec Nguyen Phuong Tra My, Tran Nu Yên Khê, Mai Thu Huong
Bourges – Jean-Jacques Annaud a débuté mardi à Bourges le tournage de son film sur l’incendie de Notre-Dame-de-Paris, survenu le 15 avril 2019. Il a expliqué à l’AFP son ambition de donner aux spectateurs l’envie « de retourner dans une grande salle » pour une histoire « tellement invraisemblable ».
Un jour le lapin se lève pour aller voir l’hippopotame et il lui dit que l’éléphant lui a dit: » Si l’éléphant t’attrape en brousse, il va te tuer».
« SHE » ou les joies d’une Femme
Le problème, c’est que quand on n’est pas d’ici, on ne peut pas comprendre ce qui se passe ici.
En préparation d’un ouvrage sur le jardin des sculptures de la Fondation Clément j’avais proposé à la plupart des créateurs des œuvres du parc une interview, en présentiel, par téléphone, WhatsApp ou par écrit. Catherine Ikam a répondu positivement très vite, mais nous avons eu beaucoup de mal à communiquer : la pionnière de l’art digital en France était souvent en déplacement et utilise peu l’informatique dans sa vie de tous les jours. Je lui ai envoyé par courriel mon questionnaire-type, mais nous avons fini par faire l’interview au téléphone début juillet 2019.