Dans un texte précédent faisant suite à l’aggravation de la pandémie du Covid19 en Martinique lors de la troisième vague () nous avons développé – sans doute trop succinctement -sur un enchâssement de paradoxes témoignant, comme nous l’écrivions, d’une « faible inclination à l’effort pour le bien commun » : des prétendus « patriotes »essaimant le virus, s’en prenant ainsi à leur propre peuple ; un préfet vilipendé alors même qu’il s’employait à la protection de la population ;des politiciens demandeurs de responsabilité locale murés, à deux ou trois exception près, dans un silence assourdissant tandis que la prolifération du virus s’intensifiait et que la prise en charge hospitalière était à saturation.
En ce commencement d’une quatrième vague qui s’annonce encore plus dangereuse, on pourrait penser que l’histoire se répète si l’on s’en tient uniquement aux réactions de quelques-uns et à la légèreté de nos politiciens face à la menace. Mais la configuration et la problématique ne sont plus tout à fait les mêmes. Ce qu’on observe aujourd’hui c’est, d’une part, une tentative en sous-main de coagulation improbable de mécontentements corporatistes ; d’autre part, une reprise de la dynamique de vaccination.

Le 14 juillet dernier, la France, pays des droits de l’homme, a commémoré l’événement majeur qui initierait notre république. Lors du concert qui a précédé le feu d’artifice, la cantatrice sud-africaine, Pretty Yendi a chanté les plus célèbres airs d’opéra. Au même moment, pillages et émeutes faisant des victimes – plus de 117 à ce jour – se propageaient en Afrique du Sud mettant à mal une paix bien fragile, cette paix que Nelson Mandela, aimait à encourager en disant : ‘‘Together we stand, divided we fall’’, et réussi à construire sur les décombres d’un passé ensanglanté par les violences de l’apartheid.
Première exposition de l’auteure Simone Lagrand accueillie à la Station Culturelle, nouvel espace dédié à l’art contemporain de la capitale.
Avignon
Avignon
Longs Métrages
Aujourd’hui, on se désole partout à travers le monde, de ce que l’économie soit une des principales victimes collatérales de la pandémie actuelle.
L’assassinat du président Jovenel Moïse a donné une résonance particulière au superbe premier long-métrage de la réalisatrice haïtienne Gessica Généus, « Freda », projeté en avant-première au Festival de Cannes. Auprès de France 24, elle revient sur le message qu’elle a souhaité transmettre, sur la situation politique dans le pays mais aussi sur la joie de voir un film haïtien sur la Croisette.
Citant une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), le ministre de la santé Olivier Véran a affirmé jeudi 15 juillet que 96 % des Français qui ont contracté le Covid-19 avec des symptômes la semaine dernière n’étaient pas vaccinés.
Lundi 12 juillet, lors de son allocution télévisée, Emmanuel Macron a fait des annonces pour gérer la crise sanitaire persistante. Il s’est aussi exprimé sur des mesures économiques et sociales qui ont été presqu’occultées.
— Par Sébastien Dumoulin —
— Par Gladys Marivat (Collaboratrice du « Monde des livres ») —

La Havane – Un homme est mort et plus d’une centaine de personnes restaient détenues mardi à Cuba, où le réseau internet mobile est coupé deux jours après des manifestations contre le gouvernement communiste qui nie une « explosion sociale » sous les critiques de Washington.
La Sélection Suisse en Avignon nous a habitués à assister aux meilleurs spectacles, champions du spectacle vivant. Cette année encore, ils reviennent pour nous proposer le meilleur!
« Vive le sujet » relève de « l’indiscipline », ainsi nommée parce qu’il s’agit de performances qui outrepasssent les cadres des différentes disciplines, théâtre, arts visuels, danse, chant etc. mais aussi parce que ces spectacles témoignent d’un esprit créatif et novateur, faisant volontiers un pied-de-nez aux conventions de genre.
Kitan tan ka ni tan fè otan tan




— Par Daphné Gastaldi et Mathieux Martinière —