Samedi 12 juin 2021 à 19h Tropiques-Atrium Scène nationale
Ne boudons pas notre plaisir mais il aura fallu attendre près de 4 ans après sa création pour que nous puissions voir en Martinique ce travail étourdissant. Ci-après une reprise de l’article paru sur Madinin’Art le 12 janvier 2018.
« J’habite une blessure sacrée.. » deuxième élément d’un diptyque de Max Diakok
— Par Roland Sabra —
Max Diakok poursuit son travail sur la quête du sens dans un balancement permanent entre polarités opposées et néanmoins complémentaires. Dans le très réussi « Depwofondis » il proposait d’emprunter le chemin qui va du social à l’individu, invitant à se défaire de défroques uniformisantes et oppressantes pour retrouver la primeur d’une saveur humaine enfouie sous les couches successives de la fonction civilisatrice. Dans « J’habite une blessure sacrée.. » le voyage proposé prétend faire le même chemin dans le sens inverse. De l’individu vers le social. Comment « la quête intérieure dialogue avec le besoin de solidarité humaine » nous dit-il dans la note d’intention qui présente son travail. Le parcours est en réalité fait d’aller et retour entre ces deux exigences autour d’un mécanisme qui relève d’un même procès.

Saint-Sébastien (Espagne) – D’un côté, un quatuor de puissants qui délimite le périmètre. De l’autre, une quinzaine de danseurs à l’étroit. Sinfonia, le dernier ballet de Thierry Malandain, directeur du Centre chorégraphique national de Biarritz, présenté samedi à Saint-Sébastien en Espagne, raconte la noirceur du confinement et les corps corsetés.
Paris – On se croirait en pleine séance de travail d’un ballet, si ce n’est l’homme aux côtés de la danseuse de l’Opéra de Paris n’est pas un répétiteur, mais Cédric Klapisch qui boucle son dernier film, petit « miracle » tourné en pleine pandémie.

— Par Elisabeth Franck-Dumas —
« SHE » ou les joies d’une Femme
Paris – Sa première barre a été dans un studio du Caire, entouré de filles. Malgré une formation tardive et les préjugés, Luca Abdel-Nour est devenu le premier Egyptien primé à un prestigieux concours de ballet à Lausanne et aimerait inspirer d’autres garçons du Moyen-Orient.
L’ancien danseur étoile et juré de l’émission « Danse avec les stars » est mort vendredi des suites d’une « maladie foudroyante ». Il avait 61 ans.
Au bout du souffle… : Explorer, par la danse, l’engagement total et son effet sur les corps.
« À l’Univers entier, le dernier cri de l’innocence et du désespoir » Louis Delgrès
Le danseur et chorégraphe argentin, Juan Carlos Copes, légende du tango, est décédé ce samedi 16 janvier à 89 ans des suites de complications liées au Covid-19, a annoncé sa famille.
Écho des divinités est un spectacle musical novateur qui confronte trois univers, trois arts : visuels, récit et musique. Il entend faire résonner l’écho des voix des divinités afro-descentes et retracer leurs parcours à travers d’un récit, d’un univers sonore et lumineux. Dans une démarche de création éminemment artistique engagée sur la place du féminin sacré dans les sociétés modernes, le projet pose une interrogation sur le contexte de naissance du syncrétisme dans les religions afro-caribéenne. Il propose de montrer comment l’effigie de la vierge Marie est utilisée comme subterfuge pour prier et interpeller les divinités.
Le chorégraphe âgé d’une quarantaine d’années est décédé dans la nuit du samedi au dimanche 27 décembre.
Fabrice di Falco, chanteur lyrique martiniquais, est amoureux de la ville de Saint-Pierre depuis sa tendre enfance. Il organise depuis 2017 des évènements culturels dans l’Hexagone pour faire connaître cette ville d’art et d’histoire à son public, comme à ses amis musiciens, comédiens ou journalistes. Il a créé le spectacle «
Cette quatrième édition (29 oct-28 nov) axée sur l’écologie et les luttes sociales s’est vue tronquée, covid oblige, de représentations, gardant avec l’évolution des mesures, tables rondes et ateliers.
Ce ballet choral ouvre une saison résolument tournée vers l’Afrique. Akzak réunit douze jeunes danseurs formés dans leurs pays respectifs – Tunisie, Burkina Faso, France, Maroc – par les pionniers de la danse contemporaine africaine. Après de nombreuses années de relations artistiques dans ces pays, Héla Fattoumi et Eric Lamoureux décident de créer un ballet avec cette jeunesse passionnée de danse. Le groove traduit parfaitement la vitalité de la jeunesse et son impatience à ouvrir un nouvel horizon de fraternité et d’universalité. Une grande fête joyeuse présentée pour la première fois en Île-de-France et qui depuis voyage.
Mitsangana (« lève-toi! » ou « se tenir debout en Malgache »), est une création de danse qui explore le processus de se tenir debout ainsi que les connotations que ce geste porte. Cette création fait partie d’un projet de recherche mené au printemps 2019 à l’église St Mark’s à New York City en collaboration avec TISCH NYU et Danspace Project. Elle adresse les questions de comment continuer à rester debout lorsque les structures de pouvoir sont faites pour annihiler, immobiliser les corps, et réduire les gestes de certaines minorités en particulier.
Robert Régina présente « Le Stage Intensif de DanseS+Atelier Bèlè » (SID+AB) 8ème édition qui se déroulera cette année
Culture et Patrimoine, avec La Fondation Clément, le Mémorial de la catastrophe de 1902 / Musée Frank A. Perret, l’Habitation Clément
Pour que la vie continue, la culture de chez nous entre chez nous, généreusement offerte par ses divers acteurs, par ses diverses structures…
En l’an 2000, quatre jeunes musiciens passionnés par le Tango Nuevo d’Astor Piazzolla forment le Quatuor Caliente. Très vite, le groupe donne ses premiers concerts en France et à l’étranger (Brésil Italie, Belgique, Suisse…). Il élargit alors son répertoire avec des pièces d’Horacio Salgan, Juan José Mosalini, Pablo Ziegler et Gustavo Beytelmann, qui compose à son intention Otras Voces, créée à l’Abbaye de l’Epau avec le vibraphoniste Vincent Maillard.
Bruit de couloir