17 juillet à 19h Un Oeuf/ Maison des artistes, 17 rue Garnier Pagès Fort-de-France
— Association Culture et Egalité —
De François Luciani
Avec Anouk Grinberg, Sandrine Bonnaire, Juliette Lamboley
Genre Drame
Nationalité français
Synopsis:
Une évocation de l’affaire aujourd’hui connue sous le nom de « procès de Bobigny ». En 1972, une jeune fille mineure, Léa, décide d’avorter avec l’aide de sa mère, suite à un viol. Dénoncées, elles se retrouvent au cœur d’un procès qui devient politique, avec pour enjeux le statut de l’avortement en France et les injustices de la condition féminine. Pour les défendre, une avocate, Gisèle Halimi…
Il n’est pas rare que des procès fassent avancer le droit. Quelques-uns font même avancer la société. Le procès de Bobigny, à l’automne 1972, fut l’un d’eux : il marqua une étape essentielle dans la lutte des femmes pour le droit à l’avortement. Les débats autour de cette affaire, fortement médiatisés, cristallisèrent le moment où l’opinion bascula en faveur de l’avortement, ouvrant ainsi la voie à la loi Veil qui serait votée deux ans plus tard, en novembre 1974.

Festival d’Avignon 2017, 8 => 14/07
Festival d’Avignon 2017, cour d’honneur du palais des Papes
Dans cette adaptation du texte de Shakespeare, l’amour se joue sur un fond socio-historique complexe, dans un monde en passe de renouveau. 1848, la France abolit l’esclavage des nègres dans les colonies.
Lieu: Marché couvert
Tiago Rodrigues
de Philippe Dorin,
On fête au quatorze juillet
A la Martinique aujourd’hui, l’intérêt pour la politique est anémique. Rien n’intéresse plus les Martiniquais que le tour cycliste de la Martinique, le tournoi de la gold cup, les grandes vacances et les mini-grèves qui ponctuent leur existence. Le souci est tout autre pour ceux qui s’attardent sur l’histoire actuelle, amputée, falsifiée, orientée et tourmentée dans ce pays merveilleux, mais ô combien souffreteux ! Ceux-là ont pour mission de faire que la France, celle de Macron-Jupiter réalise le tournant capital de la transition vers une économie dépolluée, conforme à ses engagements internationaux et au profond désir des Français de souche, comme ceux qui se considèrent comme tels.
Samuel Beckett, M.E.S. Jacques Osinski
D’après Voltaire, M.E.S. Alexis Armengol
Texte de Boris Le Roy, M.E.S. Emilie Capliez
Avec les assises de l’outre-mer envisagées par le gouvernement , s’achemine -t-on vers un nouveau type de modèle économique et social de développement ?
Il est de plus en plus évident que l’école ne constitue plus le lieu unique de la référence culturelle. Car la culture, ce sont des connaissances, certes, mais ce sont aussi les réseaux capables d’organiser celles-ci, de les intégrer dans un système donné de références. Les réseaux conceptuels donnent à ces connaissances une structure. C’est pourquoi on peut avancer qu’un homme cultivé est un homme intégrateur, un homme qui intègre donc à un réseau consistant, préexistant en lui, les éléments nouveaux, que lui apporte l’expérience.
Il est salutaire que la presse relève la défaillance incontestable qui a conduit à l’abandon d’archives scolaires dans les locaux à détruire du Lycée Schoelcher. Mais il n’est pas normal qu’elle laisse dire ou suggérer que la Collectivité territoriale de Martinique puisse en porter la responsabilité. En effet, il est impossible à tout esprit averti d’ignorer que les auteurs d’une telle faute ne peuvent être recherchés qu’au sein de l’administration du lycée. Même si la Martinique était indépendante c’est cette administration qui serait responsable.
— Par Aïnos —
De Stanislas Cotton

L’association Culture Egalité est très inquiète de la situation dans laquelle se trouve le CPIOF (Centre de planification d’information et d’orientation familiales (CPIOF) ex Association Martiniquaise pour l’Information et l’Orientation Familiale (Amiof)) et affirme sa
L’avion d’Air France pour lequel l’enregistrement initial été prévu vendredi 7 juillet à 17h30 au plus tard a finalement vu son départ repoussé pour la fin de soirée, puis la toute fin de soirée et finalement annulé.
Panorama de la création contemporaine d’Haïti et de sa diaspora l’exposition (In)visibilité Ostentatoire, en référence aux silences assourdissants de l’Histoire, présente le travail d’une dizaine d’artistes qui explorent les non-dits sur des faits d’hier et d’aujourd’hui ou des événements que la mémoire a oublié ou choisi d’oublier. En relatant certains faits historiques passés sous silence à leur époque, elle évoque les mécanismes à l’oeuvre, les amnésies collectives ou les tabous sociaux qui influencent nos choix et nos silences. (In)visibilité Ostentatoire donne aussi à voir le travail de certains artistes qui puisent leur inspiration dans le monde Invisible, celui des «mistè» (esprits) qui semblent tirer les ficelles de la réalité haïtienne. Ce monde invisible et son cohorte de croyances populaires est, pour nombre d’entre eux, une source d’inspiration. L’exposition explore « l’invisibilité ostentatoire » d’Haïti lors des grands rendez-vous internationaux, en insistant sur la visibilité de ce qui aurait dû être évident.
« Crisis Management of Chronic Pollution: Contaminated Soil and Human Health,CRC-Press 2016 »
En ouverture du spectacle… et parce que la cour ne dort pas… une relance à la parole dite : parole à vivre en l’intime précision du jeu des corps et des rythmes… Le saxo de John Mathieu Antoine, prenant le relais du yééééééééééé krik, impose une exceptionnelle qualité d’écoute… laquelle se maintient tout au long de la soirée en la complicité de Léandre SERRALINE (Ti bwa, chant lead), Daniel VALLEJO et Maurice JUSTAND (Tanbou bèlè, percussions et chant), Hugh CHARLEC (guitare, chant lead).