En début de semaine, le site TMZ annonçait que le rappeur était entre la vie et la mort. Hospitalisé suite à des attaques cérébrales selon le site, le rappeur s’est voulu rassurant, sans se montrer.
Lil Wayne nous la ferait-il à la Chávez ? Il y a quinze jours, le rappeur de la Nouvelle-Orléans annulait ses prochains concerts dans l’Hexagone. Plus de Marseille, pas de Paris et encore moins d’Amnéville, cité de Moselle. Tous ont été reportés à octobre prochain. Lil Wayne assurait que ce contre-temps n’avait rien d’alarmant.
«J’ai décidé de reporter ma tournée européenne pour sortir mon nouvel album le 26 mars 2013. Je ne veux pas que ma tournée ou mon album soient précipités», expliquait le communiqué. Mais ses récents problèmes de santé laissent penser que le petit génie du rap, autoproclamé «meilleur rappeur vivant», n’était déjà pas au top de sa forme.


Deux critiques livrent leur point de vue sur leur métier. 



Il y a fort à parier qu’aussi longtemps que Les femmes s’en mêlent existeront, on ne se lassera jamais de les exalter. Et ce pour une raison simple : chaque année, renouvelé de fond en comble, on s’y rend tout bonnement comme on irait à un Meetic du rock : un rendez-vous vers l’inconnu(e) qui émoustille, le cœur léger, sans, la plupart du temps, savoir sur qui on va tomber, mais avec le net pressentiment qu’on ne regrettera pas la soirée. Quitte à être déçu. Pas grave, puisque telle est la règle du jeu, fondé sur la découverte à tous crins (couettes, chignons, etc.) ; d’autant qu’une fois lancées, les artistes naguère débusquées par le festival deviennent en général trop chères pour qu’il puisse les reprogrammer.
« Le Cahier du retour au pays natal » d’Aimé Césaire paru en 1939, alors que l’auteur âgé de 26 ans, est en plein questionnement identitaire face au racisme européen et états-unien autant que la misère qui sévit dans son pays de Martinique, a été présenté aux Martiniquais hier soir , le 17 mars 2013, par Jacques Martial, à l’habitation Clément dans le cadre de l’année du Centenaire du poète et homme politique considéré comme l’une des plus consciences du 20ème siècle.
L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier représente un recul social majeur. Les soi-disant «nouveaux droits pour les salariés» ne comportent en réalité que des aspects positifs de portée limitée et s’accompagnent de nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures décidées en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet Accord National Interprofessionnel donne pleinement satisfaction aux exigences du patronat en continuant le démantèlement du code du travail. Cet accord faussement présenté comme un moyen de « sécuriser l’emploi » est en réalité une machine de guerre pour licencier plus vite et moins cher, pour baisser les salaires, imposer la mobilité, rallonger le temps de travail, pour subordonner la vie, le salaire, les conditions de travail des salariés aux profits de quelques uns. 
Monsieur le Président,


Pourquoi tant de gens font-ils l’aumône ? Par empathie, pitié, sentiments auxquels se mêlent parfois le souci de se donner bonne conscience ou de se faire bien voir du bon Dieu. Jusque-là rien de surprenant.
Lors d’un entretien au ministère des outre-mers qui devait initialement se dérouler avec le ministre Victorin Lurel & s’est finalement, ce dernier s’étant excusé, déroulé lundi avec plusieurs de ses conseillers, le Cégom a présenté les six chefs de revendication formulés à l’attention du président de la République François Hollande sur la base de son dernier audit des politiques publiques conduites par l’État en direction des Français/es d’outre-mers, en matière de cherté de la vie, de chômage des jeunes, de santé, de culture, de discriminations & de soutien aux associations. Les conseillers de M. Lurel ont apporté des réponses précises à certaines propositions, soulignant l’entrée en vigueur progressive de la loi pour la régulation économique. Ils ont par ailleurs mis en avant un bilan d’étape encore confidentiel des 30 engagements pour les outre-mers présentés le 10 mars 2012 par M. Hollande, indiquant simultanément que les 137 mesures annoncées par l’État au terme des États généraux de l’outre-mer ne feraient pas l’objet d’un suivi par le présent gouvernement. Le Cégom, qui estime que ces 137 mesures engageaient l’État & regretterait un manque de considération pour les milliers de Français/es d’outre-mers – élu/e/s ou personnalités qualifiées – ayant œuvré à leur formulation, a pris acte de ces précisions.
La refondation de l’école, c’est un sujet qui fait réagir. Lorsque nous avons proposé aux lecteurs du Monde.fr de donner leur point de vue sur l’un des points de tension qui a surgi à l’Assemblée nationale lors de
Avec la lucidité provocatrice qui la caractérisait, Dulce Maria Loynaz n´a pas hésité à affirmer que Jardín était un livre hors de propos, bien que la détermination de la date ait été très précise – année, mois, jour et heure -. Ainsi résultait, certainement, l´idée de construire en 1935, l´étape de l’expansion de l´avant-garde, obsédée par le rapide passage des jours et le sauvetage de la portée de la nation, de structurer un roman arrêté en lui, non pas dans le temps et dans un endroit.
— Par un groupe d’intellectuels et de militants* — 
Ils ont des épaules de videurs, des blousons de cuir et des lunettes noires miroirs mais chantent un rap bisounours qui salue les mamans mères courage, « ta meilleure amie ».