— Par AFP —
«J’accuse Frigide Barjot d’avoir libéré des pulsions violentes». Mise en cause, la porte-parole de la « Manif pour tous » a rejeté tout amalgame, tout en soulignant qu’il ne « fallait pas s’étonner ».
Des représentants de la Manif pour tous, mis en cause notamment via les réseaux sociaux, ont rejeté jeudi tout lien avec les agresseurs de Clément Méric, jeune militant d’extrême gauche dans un état désespéré après une bagarre avec des skinheads mercredi à Paris. « La violence vient de deux groupuscules d’extrême gauche et d’extrême droite », a réagi Frigide Barjot, ex-chef de file de la Manif pour tous, interrogée par l’AFP. Les agresseurs « n’étaient pas dans les manifs », a-t-elle assuré, ajoutant que celles-ci étaient composées de « familles à poussettes ».
« La violence vient d’abord de la loi Taubira, a-t-elle fustigé, ça a levé un combat idéologique. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait des répercussions mortifères. Je le déplore totalement », a ajouté Frigide Barjot, exprimant sa « compassion » pour les proches du jeune homme.















« J’appartiens à la race blanche, vous appartenez à la race noire. » Ainsi Eric Zemmour traçait-il, en novembre 2008, sur Arte, une ligne de démarcation entre lui et son interlocutrice, la militante antiraciste Rokhaya Diallo. L’écrivaine Nancy Huston et le biologiste Michel Raymond (CNRS) viennent aimablement d’offrir au polémiste, cinq ans plus tard, une formidable caution scientifique et intellectuelle.





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