— Florence Santrot —
Yeux qui piquent, nez qui coule, larmoiements, éternuements à répétition… tous ces symptômes caractérisent les allergies aux pollens. La rhinite allergique, causée bien souvent par le pollen mais pas seulement, est aussi surnommée « rhume des foins » ou « pollinose ». Entre avril et mai, cette maladie saisonnière touche les voies respiratoires supérieures. Et, bien que bénigne, est très handicapante pour celles et ceux qui en sont victimes. En cause, les pollens combinés à la pollution et au réchauffement climatique.
Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), ce serait près d’un adulte sur trois (30 %) qui souffrirait d’une allergie au pollen en France. Chez les enfants, la proportion est moindre : 7 à 20 %. Une autre étude épidémiologique, parue en 2008 dans la Revue Française d’Allergologie et d’Immunologie Clinique, faisait état d’une forte recrudescence des cas depuis 25 ans. Elle estimait que « la prévalence de la rhinite pollinique triplé en 25 ans dans la population française ».
Le dérèglement climatique en cause
Pour expliquer cette hausse rapide du nombre de victimes de rhinites allergiques, il faut comprendre le fonctionnement de la reproduction des plantes.

Chaque provocation de Macron
Le 4 x 4 avance cahin-caha sur le chemin cabossé de la commune de Sainte-Anne bordant l’océan Atlantique, dans le sud de la Martinique. Il longe de hauts champs de canne à sucre qui se changeront bientôt, par la fermentation du jus des tiges, en rhum Trois Rivières. C’est ici, près de l’anse Trabaud, sur une parcelle où les plantations sont constamment fouettées par les embruns, que la marque a développé l’un de ses rhums blancs les plus recherchés : la Cuvée de l’océan, vendue dans une bouteille singulière, d’un bleu monochrome. A la dégustation, cet alcool aux légers arômes d’agrumes marque par sa salinité, son
Ahmad Jamal, né Frederick Russell Jones, est un pianiste et un compositeur de jazz américain né le 2 juillet 1930 à Pittsburgh en Pennsylvanie et mort le 16 avril 2023 dans le Massachusetts.
Dans une note, l’UFC-Que Choisir milite pour que le Nutri-Score soit obligatoire en Europe et en donne la raison.
Entre 1854 et 1864, après l’abolition de l’esclavage, plus de 18 500 femmes, hommes et enfants de plusieurs pays d’Afrique sont envoyés aux Antilles pour y travailler la terre. Appelés « Kongos », ces travailleurs étaient pour la plupart des « captifs rachetés » par des recruteurs qui leur imposaient un contrat de travail, dit « engagement », dans des plantations de canne à sucre en Martinique ou en Guadeloupe. Les travailleurs Kongos furent une main-d’œuvre servile, dont les employeurs s’efforçaient à n’être pas accusés d’esclavagisme, dans le contexte abolitionniste de la première moitié du XIXe siècle. Aujourd’hui, en Martinique et en Guadeloupe, leurs descendants retracent cette mémoire méconnue et revendiquent leurs racines africaines.
Prix Fipresci au Festival de Cannes – Un Certain Regard
RÉSEAUX SOCIAUX
Le Maire de la Ville du Lamentin vous invite à la rencontre littéraire autour de l’ouvrage de Rose-Marie Taupin-Pélican « Ces femmes que j’ai rencontrées »
Grand Paris
—Par Armelle Bohineust —
« Mission : retrouve ton cap » est un dispositif de prévention de l’obésité infantile. Ce programme permet aux enfants de 3 à 12 ans en surpoids, ou à risque de le devenir, de bénéficier d’une prise en charge précoce et multiple (diététique, psychologique, activité physique). Cette prise en charge est remboursée à 100 % par l’Assurance Maladie.[On]vous explique de quoi il s’agit.
Loin d’affaiblir le combat contre les plans scélérats du pouvoir macronien, la décision du Conseil Constitutionnel ravive la colère de la population et crée les conditions d’un nouvel essor de la mobilisation.
Bien sur, il faut des règles et des lois pour régenter la vie en société. Évidemment, des institutions doivent être mises en place pour les faire respecter afin de garantir l’harmonie sociale. Une fois cela admis, qui peut ignorer que, dans la société, existent des classes sociales dont les intérêts sont divergents ? Qui ne sait pas que celles qui s’emparent du pouvoir par la violence imposent des lois visant à perpétuer leur domination sur les classes exploitées ? Le coup de force perpétré par le gouvernement Français pour imposer le saccage des retraites nous donne l’occasion de déconstruire la propagande menée par les classes dominantes pour légitimer leurs exactions.
Clichés , faux en écriture des chroniqueurs , falsifications et destructions des archives à des fins politiques et idéologiques surtout sous les révolutions et changement de régimes et des institutions, et stéréotypes racistes , des généralités incontournables qui sont le lot commun lorsque l’on s’imagine l’histoire des pays du monde . Cette loi d’airain n’échappe pas à ces imaginaires collectifs, fruits d’échos et d’illusions qui déforment souvent la réalité bien plus amère de ce pays Guadeloupe qui suscite tant de passions, comme si la Guadeloupe mythique des « luttes contre les discriminations sociales » ou des « mille et un rêves de liberté des esclaves » devait à tout prix assouvir nos chimères et nos fantasmes les plus envoutants. Mais il suffit de regarder à l’ombre du passé pour anéantir la légende des bienfaits de la colonisation : extermination, racisme structurel , pauvreté extrême, insalubrité, persécutions , discrimination ou viols impunis…
Un des géants des Grammacks, Anthony Curvin Serrant, ancien guitariste, auteur, compositeur, arrangeur et chanteur est décéd le 14 avril 2023.
La française Justine Triet fait partie des six réalistrices en lice pour la Palme d’Or lors de la 76e édition du Festival de Cannes.
L’Ensemble Chorégraphique est l’équivalent d’une compagnie professionnelle, mais dont les danseurs et danseuses de haut niveau sont en master d’interprètes au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, qui est une des meilleures écoles au monde.
Cinq lauréates du Grand Prix Martial Sinda de la poésie francographe
Le présent article s’inspire amplement de la lecture du livre « 
Dormez braves gens ! nous ferons DEMAIN le nécessaire et d’un seul coup… pas nous bien sûr, mais… nos enfants, car il faudra bien qu’ils se débrouillent s’ils veulent continuer des vies acceptables ! C’est le message que nous pouvons entendre dans la sournoiserie ambiante dans nos instances.
Le tout dernier ouvrage de l’écrivain martiniquais Jean-François Liénafa se présente comme à la fois un recueil de poèmes en (excellent) créole, et un petit condensé de proverbes, mots et expressions qui eux-aussi disent « l’âme créole ». Il est à noter que les mots créoles que recueille Liénafa sont aussi des prénoms. L’auteur s’intéresse à leur charge poétique (Atansioniz, Nowéliz…) ; il relève aussi des surnoms, parfois explicites, souvent énigmatiques (Agodom-dachin, Blengendenng, Bofio, Granzonng, Lotomangous, Twakadjab…). Le ti-non créole à partir d’un prénom peut être création, comme dans les exemples suivants : Mano (de Emmanuel), Fayo ou encore Afarel (de Raphael), Milo (de Émile), Silot (de Cécile) etc.
Il s’agit d’un sujet brûlant pour les outre-mer, l’aide à la continuité territoriale vise à ne pas isoler les territoires et découle du principe d’égalité entre les citoyens. Par définition, les outre-mer ne peuvent pas disposer d’une offre de services (qu’ils soient sportifs, économiques ou scolaires) équivalente à celle existante en métropole. Identifiée de longue date comme une solution, la continuité territoriale peine de plus en plus à produire les effets attendus. La faute principalement à un manque de budget de l’organisme chargé de faciliter la continuité territoriale, l’Agence de l’outre-mer pour la mobilité (LADOM). Pour les rapporteurs, Catherine Conconne, sénatrice socialiste de la Martinique, et Guillaume Chevrollier, sénateur Les Républicains de la Mayenne, la continuité territoriale est aussi un enjeu d’attractivité et de cohésion des territoires. Un sujet relativement transpartisan selon Stéphane Artano (RDSE), président de la délégation sénatoriale aux outre-mer, conçoit le rapport comme une « prise de pouls des territoires ». Ce dernier pointe la nécessité d’une réforme « systémique », pour « faire en sorte que la continuité territoriale ne soit pas perçue comme un facteur d’isolement ».
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