Devant le succès, « Up Sapiens sublimer le recyclage », la nouvelle exposition du PABE se prolonge jusqu’au 25 janvier 2024 au Créole Arts Café de Saint-Pierre.

Célébrer l’art dans ses multiples facettes créatrices : tel est le leitmotiv de cette exposition collective, articulée autour de la question centrale du recyclage des matériaux. Le recyclage des matériaux qui s’impose comme une urgence au regard des dérèglements auxquels l’humanité est confrontée. Élément capital de cette exposition : montrer que le recyclage n’est pas uniquement une action à entreprendre en réaction aux phénomènes qui nous menacent. Il est aussi – et peut-être surtout – un art en lui-même ; susceptible de dégager et révéler la beauté et la quintessence inhérentes aux choses, aux objets dont nous ne voyons plus l’usage… choses et objets qui se réinscrivent donc dans une dynamique vitale… et salutaire.
L’art devient ainsi le modèle, la métaphore d’un art de vivre où chaque réalisation, chaque objet est individualisé, personnalisé ; cela, à l’encontre de la production de masse standardisée. Ce n’est pas seulement la nostalgie des temps anciens, où artistes et artisans étaient réunis chez un même concepteur.

La ville de Saint-Pierre accueille le festival Filao pour une semaine artistique avec des artistes de renoms sous la direction artistique de Fabrice di Falco.
Le 13 décembre 2023, le Parlement européen a décerné à titre posthume le « Prix Sakharov pour la liberté de l’esprit » à Mahsa Amini, une militante iranienne des droits des femmes décédée en 2022 à l’âge de 22 ans. Ce prestigieux prix, institué en 1988, est remis annuellement à des individus ou des organisations qui luttent contre l’oppression, l’intolérance et l’injustice. Mahsa Amini, une jeune Kurde iranienne, était devenue un symbole emblématique de la résistance contre l’obligation du port du voile en Iran.
Arrêté il y a 42 ans,
Dans un texte célèbre,
Le film a remporté de nombreux prix, dont sept César en 2022 et, parmi ceux-ci, celui du meilleur film.
Jacques vient de mourir et Angie, sa petite fille, est désemparée. Elle imagine qu’il s’est réincarné. Garance, sa mère, s’inquiète pour elle et se réfugie sur Facebook. Si l’on pouvait enrayer la mort, quel soulagement ce serait…
Les innovations technologiques et d’usage, accompagnées d’un phénomène de déconstruction de notre économie à la fois individualiste et communautaire, imposent une remise à plat de l’organisation de la société au niveau national et local, ainsi que la réinvention d’un nouveau modèle économique et social en Guadeloupe. En effet, l’accélération des transformations induites par le digital et l’intelligence artificielle bouleverse profondément de façon souterraine la société et les modèles économiques établis. Bientôt plus aucun pan de la vie, aucune activité économique ne semble pouvoir échapper à la nouvelle économie façonnée par la 4 ème révolution industrielle du numérique, de la robotisation, et de l’intelligence artificielle qui se dessine déjà sous nos yeux. La faculté de ce nouveau paradigme semble de nature à nous desiller les yeux hors des moules de l’idéalisme passéiste des intellectuels contemporains et de l’inertie des élus coupables de cécité. Peut être que cela peut nous aider à comprendre non pas l’utopie de la décroissance, pour l’heure elle a quasiment disparu, mais l’indestructible attrait pour les nouvelles technologies ( Chat GPT entre autres ), et la propension à l’enfermement de ce pays créole-du tout monde qu’est la Guadeloupe qui pourtant se prépare sans doute à une nouvelle mue.
Voilà donc, présentée sous un angle inattendu, une réflexion à propos de la controverse entourant l’interview de Jordan BARDELLA, le président du Rassemblement national, par une journaliste de Guadeloupe, Barbara ZANDRONIS, dont le patronyme est connu de longue date dans l’espace médiatique guadeloupéen, voire martiniquais. Cette jeune journaliste qui vient, à l’occasion, de se faire un prénom est connue des Martiniquais pour avoir présenté le JT de ViàATV pendant quelques mois.
La poésie n’est pas forcément du vers et des rimes (…). Un poème est une tentative de nous ouvrir les yeux pour voir ce qu’on ne regarde plus. Jean Cocteau
La République d’Haïti traverse actuellement l’une des crises humanitaires les plus dévastatrices de son histoire, comme l’a exposé en détail Ulrika Richardson, Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général au Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH). À l’issue d’une semaine de plaidoyer en Europe, avec des étapes à Bruxelles, Berlin et Genève, Mme Richardson a présenté un tableau alarmant de la situation haïtienne qui requiert une action internationale immédiate et concertée.
Foodwatch (de l’anglais food : aliment et watch : garde) est une organisation non gouvernementale de défense des consommateurs. L’organisation milite pour le droit des consommateurs de se voir proposer des aliments de qualité, sans risques pour la santé et comportant un étiquetage fiable et transparent. Elle joue un rôle de lanceur d’alerte.
Le Petit Fugitif (Little Fugitive) est un film américain réalisé par Raymond Abrashkin, Ruth Orkin et Morris Engel, sorti en 1953. Il raconte l’errance d’un enfant seul au milieu de la foule et des attractions de Coney Island. Il fut présenté à la Mostra de Venise en 1953.
À la mémoire de
Le 9 décembre dernier, un événement politique majeur a secoué la Guadeloupe lorsque Barbara Olivier-Zandronis, une journaliste de la radio RCI Guadeloupe, a été écartée de l’antenne après une interview tendue avec le président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Cette décision a déclenché une réaction en chaîne de la part de plusieurs personnalités politiques et a ravivé le débat sur la liberté de la presse.
Dans le monde vibrant de la musique haïtienne, une triste nouvelle a ébranlé les cœurs mélomanes : Jean-Michel Saint-Victor, connu sous le surnom affectueux de « Zouzoul », a tiré sa révérence. Cette icône du Compas direct, d’abord célèbre avec les Shleu-Shleu puis au sein du Skah-Shah d’Haïti, a fermé les yeux chez lui en Floride, aux États-Unis, le dimanche 10 décembre 2023.
La militante iranienne Narges Mohammadi, emprisonnée depuis 2021 dans son pays, a été récompensée du prix Nobel de la paix 2023, dimanche 10 décembre, à Oslo. Détenue dans la prison d’Evin à Téhéran, elle n’a pu assister à la cérémonie, mais ses enfants, Kiana et Ali Rahmani, ont lu son discours où elle a dénoncé le « régime religieux tyrannique et misogyne » en Iran.
La Conférence des Parties sur le climat, la COP28 à Dubai, a été le théâtre de révélations accablantes concernant deux géants de la distribution française, Carrefour et Casino. L’ONG Mighty Earth a mis en lumière les pratiques controversées de ces entreprises, les accusant de vendre des produits issus de la déforestation en Amazonie, engendrant une zone déboisée de plus de 500 000 hectares au Brésil.
Un film de Ruben Fleischer
Le mardi 14 novembre 2023, la CTM a invité au Palais des Congrès de Madiana, les socio-professionnels à découvrir ses grands projets. Le monde du BTP largement représenté est très en attente de l’ouverture de ces projets, dont la visibilité nous a largement fait défaut ces dernières années ; Dans le même temps il était très remonté contre l’élu en charge des travaux d’infrastructures, ce qu’il faut retenir, pour intervenir dans ce type de rencontre, c’est que ceux qui interpellent n’ont plus rien à perdre. Au vu de l’importance du sujet, nous vous avions informés de notre contribution en plusieurs volets.
/ Animation, Policier
La France, l’Islande, la Norvège, la Suisse et le Royaume-Uni ont connu une forte augmentation de la pauvreté infantile entre 2014 et 2021, tandis que la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et la Slovénie ont enregistré les réductions les plus importantes, selon le dernier rapport de l’UNICEF.
Françoise Ega (née Françoise Marcelle Modock le 11 novembre 1920 au Morne-Rouge et morte le 8 mars 1976 à Marseille) est une ouvrière, écrivaine et activiste sociale martiniquaise. Elle est connue pour son rôle de meneuse dans sa communauté et pour sa défense des personnes migrantes des Caraïbes en France. Depuis sa mort, ses écrits, qui explorent les thèmes de l’aliénation, de l’exploitation et du nationalisme, sont reconnus comme une voix importante pour les femmes antillaises françaises dans la période entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la fin de la colonisation.