Nous publions la lettre que vient de remettre au préfet (photo ci-dessus) le Collectif des étudiants étrangers de Mayotte exigeant l’application de l’Etat de droit.
Monsieur le Préfet,
« Nous, le Collectif des étudiants étrangers de Mayotte, vous adressons une requête en urgence en vue de trouver une solution à la situation dramatique qui s’abat sur Mayotte.
Depuis le mois de mars, le bureau de l’immigration et de l’intégration de la Préfecture s’est plié aux pressions d’un groupuscule qui a pris les étrangers pour cible. Depuis fin juillet, le service est totalement fermé si bien que nous pouvons prévoir que dans moins d’une année, toute la population d’origine étrangère vivant sur Mayotte sera en situation irrégulière. Ne pouvant renouveler leur titre de séjour, les étrangers malades ont perdu leur droit à la Sécurité Sociale, les étrangers salariés ont perdu leur travail et sont condamnés à l’emploi dissimulé et à l’exploitation.
Ces personnes sont nos frères, nos sœurs, nos parents. Nous-mêmes, jeunes majeurs et nouveaux bacheliers, nous sommes dans l’incapacité matérielle de finaliser nos dossiers de poursuite d’études malgré les engagements passés.


Organisée par Jik An bout, en partenariat avec Radio Fréquence Atlantique (RFA) et l’association AM4.
Mai, 2018 / 14,0 x 19,0 / 160 pages
Samir Amin est né au Caire d’une mère française et d’un père égyptien, tous deux médecins. Il a passé son enfance et son adolescence à Port-Saïd où il suivit les cours d’une école française et obtint son baccalauréat (de type français), en 1947. De 1947 à 1957, il étudie à Paris où il passe avec succès un second baccalauréat option « mathématiques élémentaire » au lycée Henri IV de Paris puis il décroche un diplôme de sciences politiques à Sciences Po Paris (1952) avant son diplôme en statistique (1956) et en économie (1957). Il est aussi professeur agrégé en sciences économiques. Dans son autobiographie Itinéraire intellectuel (1990), il écrit qu’afin de passer un temps substantiel en « action militante », il ne pouvait consacrer qu’un minimum de travail à la préparation de ses examens universitaires.
Étienne Balibar Pour un droit international de l’hospitalité Le philosophe Etienne Balibar s’insurge contre les violences faites aux migrants,  » que l’histoire jugera sans doute criminelles « . Au nom d’un  » choix de civilisation « , il propose de reconnaître  » l’hospitalité comme un droit fondamental  » s’imposant aux Etats et s’appliquant à ceux qu’il appelle les  » errants « 
Notre comportement réfléchi peut limiter l’impact de nos activités








Il ne faut pas que les Journées des Peuples Autochtones (JPA) soient réduites à de simples fêtes de villages », selon Jean-Philippe Chambrier.

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Appel à cotisations – adhésion/renouvellement d’adhésion 2018


Le président vénézuélien Nicolas Maduro a admis l' »échec » du modèle productif que son gouvernement a mis en application au Venezuela, pays qui fait face à une hyperinflation et quatre ans de récession. « Les modèles productifs que nous avons testés jusqu’à présent ont été un échec et c’est notre responsabilité, la mienne, la tienne », a déclaré lundi soir le chef de l’État socialiste lors du congrès de la formation au pouvoir, le Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV).
— Préface de Marc Laudelout, directeur du Bulletin célinien, du livre de Jean Jour Robert Denoël, un destin, désormais disponible aux éditions Dualpha.