Au-delà des 72 heures de rétention, le préfet pourra prononcer une suspension de permis pouvant aller jusqu’à six mois et même un an.
Les automobilistes qui commettent une infraction routière avec leur téléphone à la main verront désormais leur permis de conduire immédiatement retenu et encourront une suspension pouvant aller jusqu’à un an, a annoncé la Sécurité routière.
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Les infractions concernées sont par exemple le défaut de clignotant, le franchissement d’une ligne continue, les excès de vitesse, les refus de priorité aux piétons ou les dépassements dangereux. Au-delà des 72 heures de rétention, le préfet pourra prononcer une suspension de permis pouvant aller jusqu’à six mois et même un an en cas d’accident, de conduite en état d’alcoolémie ou après usage de stupéfiant.
Selon la Sécurité routière, le téléphone au volant est responsable d’un accident corporel sur 10 et multiplie les risques d’accident par trois.
Fin de l’éthylotest obligatoire dans le véhicule
D’autres mesures, qui avaient été prises lors d’un conseil interministériel de la Sécurité routière en janvier 2018, entrent également en vigueur vendredi après publication la veille du décret d’application au Journal officiel.

Quatre cas ont été détectés dans la commune de Saint-Georges de l’Oyapock, proche du Brésil, fortement touché par l’épidémie de Covid-19
Le 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, J-1 de la sortie du confinement profond, et première étape du combat mené en France contre une pandémie qui nous a montré comment, en quelques semaines, les bases du système-monde qu’on admettait comme plus solides que nous, même si on les critiquait, pouvaient être ébranlées. Le 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, est le moment idéal pour interroger cette économie mondialisée : car elle n’est pas simplement née de l’essor du capitalisme industriel au XIXe siècle, elle prend ses racines dans l’expansion européenne vers le Nouveau Monde et, surtout, dans la mise en place du XVIe siècle jusqu’au beau mitan du XIXe siècle du premier système-monde, l’esclavage colonial. Comment aujourd’hui ne pas inclure cette donne historique dans la réflexion qui doit nous inviter à « réinventer » la France, alors qu’elle est là, négligée, sauf dans la Caraïbe, en Guyane, à la Réunion ?
L’autorisation va « du lever du soleil à 11 heures puis de 16 heures à 18h30, pour les activités sportives individuelles »
Quelle est la couleur de la Vie ?
Vidéo. Alors que les collégiens des départements verts ont repris le chemin des cours, certains enseignants sont dubitatifs devant l’organisation de cette reprise.
Une annonce qu’il faut prendre avec « beaucoup de prudence », comme le dit elle-même Marlène Schiappa. Selon la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes, « il y aurait eu moins de
Dans le cadre des commémoration de l’abolition de l’esclavage, Patriculture vous invite à participer à une conférence virtuelle qui se déroulera le
Depuis des décennies, révoltes, incendies de plantations, marronnage des esclaves révoltés se multipliaient
Ce jeudi 21 mai, le comité diocésain « Mémoire et réconciliation Cap 170 » propose aux Martiniquais de commémorer l’abolition de l’esclavage, chez eux, par un temps de partage et de méditation. Le père Jean-Michel Monconthour, curé de la cathédrale et coordinateur de l’équipe, rappelle l’intérêt de faire mémoire et de ne pas tourner la page trop rapidement.
Avant la crise du coronavirus , je m’inquiétais du niveau de l’endettement qui s’abattait sur le monde . Il ne s’est pas calmé. Au moment du déconfinement, les voix se multiplient contre l’endettement des états, des entreprises, des collectivités locales et des ménages.
La mise en garde à vue au commissariat de Fort de France dans la journée du mardi 20 mai de l’auteur d’une vidéo sur les violences policières de la dernière période dans notre pays constitue un précédent d’une extrême gravité.
France Antilles Junior : 
Le livre « Debout les damnés de l’Uber » de Charline Vanhoenacker est sorti en librairie le 11 mai dernier, l’occasion de parler capitalisme et humour confiné avec la chroniqueuse de France Inter
Le peuple indigène brésilien Awa Guaja, qui vit isolé au cœur de l’Amazonie, est en train de «subir un génocide», a affirmé mercredi le collectif des Gardiens de la forêt.
On sait que, sous le régime féodal, le roi et les seigneurs avaient droit de vie et de morts sur « leurs sujets ». Aucune autorité autre que la leur n’était habilitée à juger du bien-fondé de leurs décisions. Ils étaient intimement convaincus que l’aliénation dans laquelle les superstitions et la propagande religieuse maintenaient les manants et autres roturiers ne permettrait jamais que cet ordre des choses puisse changer.
Des personnalités, en majorité d’outre-mer, interpellent le président de la République dans une tribune, « sur les conséquences de la crise sanitaire qui pourraient être dramatiques » pour les territoires d’outre-mer, « sous la menace d’une crise économique, sociale, morale et politique sans précédents ».
À partir du 1er juillet, il sera possible de voyager dans les îles tropicales d’Outre-Mer. Une destination opportune pour l’été, assure Gilbert Cisnero, président fondateur du tour-opérateur Exotismes, spécialiste de la destination.
La Martinique compte un citoyen français de plus et pas n’importe lequel : l’Artaban qui préside aux destinées du Parti (prétendument )Progressiste Martiniquais.
— Propos recueillis par
— Par Aurélien Rouquet, Neoma Business School —
Pucelle, sorti le 15 mai, est déjà salué comme la meilleure BD de ce début d’année. Cet album raconte la découverte de la sexualité chez une jeune fille qui grandit dans une famille très stricte.