Exégèse d’un scénario inédit, déjà virtuellement écrit, d’un rattachement institutionnel de l’outre-mer à l’Union Européenne.
— Par Jean-Marie Nol —
Le scénario d’un rattachement institutionnel direct de l’outre-mer français à l’Union européenne, encore tabou il y a quelques années, semble aujourd’hui faire son chemin dans les cercles politiques les plus fermés et économiques les plus lucides. Derrière les discours officiels empreints d’attachement républicain et de continuité nationale, se profile en réalité une logique comptable et stratégique : celle d’une France qui, étranglée par sa dette, chercherait à déléguer une partie du fardeau financier que représente la gestion de ses territoires ultramarins à l’Union européenne. Ce basculement, loin d’être une rupture brutale, s’inscrirait dans un continuum historique amorcé depuis le traité de Rome de 1957, qui a progressivement arrimé les Outre-mer à la construction communautaire.
Depuis plus d’un demi-siècle, l’Union européenne a élaboré deux cadres distincts pour organiser sa relation avec ces territoires : les régions ultrapériphériques (RUP), intégrées pleinement dans le marché intérieur, et les pays et territoires d’outre-mer (PTOM), qui jouissent d’un statut d’association plus souple. La France, particularité unique en Europe, cumule les deux régimes.

Un événement indésirable associé aux soins (EIAS) est défini, selon le décret n°2010-1408 du 12 novembre 2010, comme tout incident préjudiciable à un patient, survenu lors d’un acte de prévention, de diagnostic ou de traitement.
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers 

— Par Jean-Bernard Bayard —
— Par Hélène Lemoine —
— Par Camille Loty Malebranche —
Le Modem Martinique, conscient des difficultés engendrées en Jamaïque, une de nos îles sœurs anglophones des Antilles, par le cyclone Melissa, témoigne de sa profonde sympathie à son gouvernement ainsi qu’à toute sa population. 
— Par Sabrina Solar —
L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —



Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Gary Klang —