Victor DIXEN auteur de la saga best-seller Phobos !
Un don du ciel…
Roxane, dix-huit ans, a plongé dans la délinquance quand ses parents ont perdu leur emploi, remplacés par des robots. Sa dernière chance de décrocher le Brevet d’Accès aux Corporations : un stage de programmation neuronale, une nouvelle technologie promettant de transformer n’importe qui en génie.
…ou un pacte avec le diable ?
Pour les vacances de printemps, Roxane s’envole pour les îles Fortunées, un archipel tropical futuriste entièrement dédié au cyber-bachotage. Mais cette méthode expérimentale qui utilise l’intelligence artificielle pour « améliorer » la substance même de l’esprit humain est-elle vraiment sûre ? En offrant son cerveau à la science, Roxane a-t-elle vendu son âme au diable ?
Demain, l’intelligence artificielle envahira toutes les strates de la société.
L’ultime frontière sera notre cerveau.

Le bestseller mondial enfin traduit en français ! Une fantasy unique et époustouflante : un univers africain original, des personnages à couper le souffle, un rythme trépidant et une écriture visuelle. A paraître en librairie dès le 02 mai.
Touw-dé-yol sé bel jé
Une des qualités du festival d’Almada, et non des moindres, est de faire se rencontrer, sans avoir aucunement à craindre la comparaison, le théâtre lusophone dans sa contemporanéité et les théâtres différents venus d’autres pays, théâtres émergés d’autres continents, certains nous disant être pour la première fois invités hors de leur pays d’origine. Ainsi la proposition « Do que é que somos feitos ?!, De quoi sommes-nous faits ?! », nous est offerte par la « Compagnie 1ER Temps » originaire de Dakar et jointe à la « Compagnie ABC » de Paris. Une création riche de sens, et qui comme tout bon spectacle, ne se donne pas dans l’instant à comprendre tout entière.
Rèfren (x2)
— Par Fortenel THELUSMA, enseignant-chercheur —
Médecin et militant, l’homme avait rejoint les rangs des indépendantistes pendant la guerre d’Algérie.
— Par Patrick Chamoiseau —
Un plan de lutte contre l’excision, pratique de mutilation sexuelle féminine illégale en France, sera présenté ce vendredi, a annoncé mercredi la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Marlène Schiappa
Notre histoire se déroule dans les années soixante. La tête dans les nuages et les yeux braqués vers les étoiles, un adolescent martiniquais nourrit les chimères les plus folles. Un matin, au cours d’une randonnée en forêt tropicale, notre héros, alors sexagénaire, réalise enfin ses espoirs de jeunesse…
Après « Cent ans de poésie en Guadeloupe » en 2017, les Éditions Long Cours viennent de publier un nouvel ouvrage dédié cette fois à la Martinique. Un parcours novateur à travers un long siècle de poésie en Martinique. Cent-treize poèmes ou extraits, en français et en créole, de vingt-six poètes : Drasta Houel, Victor Duquesnay, Daniel Thaly, René Maran, Gilbert Gratiant, Marie-Magdeleine Carbet, Étienne Léro, AImé Césaire, Joseph Zobel, Georges Desportes, Édouard Glissant, Alfred Melon-Degras, Daniel Boukman, Joseph Polius, José Le Moigne, Roger Parsemain, Joby Bernabé, Serge Goudin-Thébia, Joël Beuze, Monchoachi, Suzanne Dracius, Éliane Marquès-Larade, Éric Pézo, Nicole Cage, Hanétha Vété-Congolo, Jean-Marc Rosier. Ces auteurs sont réunis ici pour la première fois. Chacun est présenté dans une notice bio-bibliographique. Les poèmes offrent ensuite une véritable approche de leur travail. En complément : un appareil critique composé de notes sur les faits historiques, les personnages cités, etc, d’un glossaire des termes rares ou créoles, d’une carte de la Martinique pour situer les lieux mentionnés.L’ouvrage comprend un avant-propos de Roger Little, professeur émérite à Trinity College (Dublin), suivi de 113 textes de 26 poètes.
Mantjé tonbé sé bel pa
Chouvalbwa Mèt Lifou
En Haïti, les urgences les plus criantes se bousculent aux portiques de l’État. De la navrante saga de la formation d’un nouveau gouvernement en passant par l’amplitude tentaculaire de l’insécurité accompagnant le caractère criminogène du pouvoir politique, l’on assiste à l’accélération de la faillite d’un État incapable de faire face aux urgences sociétales connues de tous. En dépit de cela, et contre le délitement de l’État, les institutions des droits humains poursuivent leur nécessaire et si laborieux plaidoyer pour l’établissement d’un État de droit post-duvaliériste au pays. Dans ce contexte, une question mérite à nouveau d’être posée : ces institutions, qui gèrent dans l’urgence leurs mandats spécifiques, sont-elles concernées par l’aménagement linguistique en Haïti ? Est-il indiqué et légitime de plaider pour que les institutions des droits humains s’impliquent dans l’aménagement linguistique en Haïti ?
21 août 1849, Victor Hugo appelle à la création des « Etats-Unis d’Europe »
Léonidas, un homme multidimensionnel
Dé chien a lapo nwè toujou pré o konba