Exposition éphémère, proposée par l’association « Conquérantes Intemporelles »
Vendredi 31 janvier 2020 à 18h30 à la bibliothèque Schoelcher
« Fondre de plaisir ! »
6 FEMMES et 1 CONCEPT : FAIRE SENS AUTOUR DES MOTS :
Les « Conquérantes Intemporelles » proposent depuis décembre 2016, dans un propos intellectuel et artistique, une alternative au mode d’expression lié à la nécessité de compétition, de comparaison de nos sociétés. « Dans cette formule six femmes placent l’expression de leur féminité, de leurs attentes, de leurs interrogations intimes, de celles qui fondent leur rapport au monde dans une expérience artistique inédite où les arts font sens. Conquérir mais conquérir quoi et pourquoi, pour qui, avec qui et comment ? Comment ? Mais dans l’empathie. L’empathie absolue, érigée en principe, en principe fondateur, en principe moteur… Nous sommes vraiment dans un enchevêtrement et une continuité, une chronique annoncée de ce qui doit venir. Métaphore filée du sens qu’on peut donner à nos vies, à travers l’art. »
Autour des mots de la poétesse Françoise FOUTOU : une musicienne : Giliane COQUILLE et quatre plasticiennes : Roseline EMONIDES, Nathalie MILIA, Jade AMORY et Nadia BURNER présentent, l’espace d’une soirée, leur vision du monde.

L’aménagement du créole dans le système éducatif haïtien a retenu depuis nombre d’années l’attention de plusieurs spécialistes auteurs de « plans » et de « programmes » ou celle de diverses « commissions », et il a été timidement abordé dans des projets de « réforme » et dans des « directives ministérielles » visant le secteur de l’éducation. Ainsi, le Groupe de travail sur l’éducation et la formation, le GTEF, a produit en 2010 des analyses et recommandations qu’il importe de rappeler :
Six décennies après sa mort, l’héritage laissé derrière lui par Albert Camus demeure intact. Ses écrits et ses déclarations continuent d’inspirer, et servent encore de support aux mouvements de lutte pour la liberté, des Printemps arabes, il y a dix ans, aux manifestations prodémocratie actuelles à Hong Kong.
Ta vie n’en fut pas un !
Bònané toulong an Démilven…
L’année nouvelle est là !
Révéyaj lézòm a katrèd-maten
Le Prix Littéraire Fetkann! Maryse Condé, dans la catégorie Mémoire, a été décerné à Christiane Taubira, pour son dernier ouvrage Nuit d’épine. À cette occasion, une pétition a été lancée pour son élection à l’Académie française. Outre le symbole qu’elle y représenterait, c’est la force de son engagement, la puissance de son éloquence et la richesse de sa langue qui motive cette initiative.
Plusieurs observateurs intéressés par la problématique linguistique haïtienne ont été interloqués à la lecture du bilan quinquennal (2014-2019) de l’Académie du créole haïtien (Akademi kreyòl ayisyen, AKA) paru à Port-au-Prince dans Le Nouvelliste du 4 décembre 2019 sous le titre « 

Le prix littéraire « Fetkann! Maryse-Condé » récompense depuis seize éditions la création littéraire des pays du sud. Créé par José Pentoscrope, Président du CIFORDOM, il intervient dans le cadre de l’application de la loi Taubira du 10 mai 2001 qui reconnaît la Traite négrière et l’Esclavage comme crimes contre l’Humanité. Texte de loi Il met l’accent sur les principes républicains « Liberté, Égalité, Fraternité » et favorise le travail de Mémoire des pays du Sud et de l’Humanité toute entière. Ce concours récompense les ouvrages, recueils, travaux de recherche et essais qui mettent l’accent sur l’affirmation des droits de l’homme et favorisent le travail de Mémoire des pays du Sud et de l’Humanité toute entière.
« La beauté devant moi fasse que je marche »
— Par Daniel M. Berté —
Ce festival se tient tous les deux ans. La 6e édition a débuté, ce jeudi 14 novembre 2019 à Trinité et ce jusqu’à ce week-end. Pour l’occasion, une vingtaine d’auteurs, venus de France, d’Espagne, d’Haïti, de la Guadeloupe et de chez nous en Martinique vont présenter leurs albums de BD.
« Ma rue raconte l’histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s’appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans ».
Avec l’attribution du Wepler à Lucie Taïeb et de sa mention à Bruno Remaury, les jurys des prix d’automne ont presque tous rendu leur verdict. Premier bilan de la cuvée 2019.
— Tribune. —