Lundi 25 novembre 2019 à 22.40 sur France Ô
Ce film documentaire raconte la formidable aventure humaine de jeunes des Outre-mer, qui réalisent progressivement leur rêve de devenir comédiens. Pour rétablir l’égalité des chances, une classe préparatoire intégrée d’art dramatique de L’Académie de l’Union, près de Limoges, est dédiée aux Outre-mer. Tous les deux ans, elle accueille des élèves comédiens ultra-marins afin de favoriser leur accès aux concours des écoles nationales d’art dramatique où ils sont traditionnellement sous-représentés.
Pour rétablir l’égalité des chances, une classe préparatoire intégrée d’art dramatique de L’Académie de l’Union, près de Limoges, est dédiée aux Outre-mer. Tous les deux ans, elle accueille des élèves comédiens ultra-marins afin de favoriser leur accès aux concours des écoles nationales d’art dramatique où ils sont traditionnellement sous-représentés.
Auditionnés dans leur région, 10 jeunes ultramarins sont sélectionnés pour entrer en classe préparatoire. Une formation rigoureuse qui leur permettra en fin d’année de passer les concours des écoles nationales. Certains d’entre eux n’ont jamais pris l’avion et découvrent l’hexagone et les rigueurs de l’hiver pour la 1ère fois…De cultures et de tempéraments différents, ces étudiants en théâtre expérimentent la vie collective et développent une incroyable solidarité.


Passionnant – Vibrant – Haletant
Colloque International Pluridisciplinaire
« Boule de suif – Tribute to Maupassant ». Pourquoi « tribute to » et non pas plus simplement « Hommage » ? La précédente utilisation de l’anglicisme dans un titre de pièce de théâtre de pièce de théâtre concernait «
Après Camus et son Caligula, c’était au tour de Gombrowicz de nous balader du coté de l’absurde avec sa princesse de Bourgogne prénommée Yvonne. Mais si Camus emprunte les chemins de la philosophie, de la rationalité et de la dramaturgie conventionnelle l’auteur polonais, lui s’aventure du coté de Beckett ou de Ionesco quand bien même il réfutait cette comparaison. On retrouve chez lui la réduction des personnages au rôle de pantin et la disparition de toute logique sociale dans les comportements. La seule préoccupation de Gombrowicz semble être le Moi de ses personnages qu’il fragmente, brise, névrotise à l’image d’une perception de la réalité confondue avec la fiction. Fidèle à Buffon il reprend à son compte l’aphorisme « Le style c’est l’homme même » quand il déclare : « « Ce n’est pas de ce mystérieux « talent » que part l’écrivain pour écrire, mais de lui-même. »
L’attente était grande. Elle était partagée comme en atteste la foule qui se pressait à l’entrée de la salle Frantz Fanon de Tropiques-Atrium. Pensez-donc ! Une pièce de Camus et pas n’importe laquelle : celle qu’il commence à écrire en 1938 et dont il ne donne la version définitive qu’en 1958 et qui est la pièce de l’auteur la plus jouée. Elle est le troisième élément de la « trilogie du négatif » après « L’étranger » ( roman), « Le Mythe de Sisyphe » ( essai philosophique). Pièce philosophique par excellence elle en porte les saveurs et les contradictions. Les saveurs des débats autour des thèmes camusiens de l’étrangeté et de l’ ennui, de l’absurde et du désespoir, du suicide et du meurtre comme issues possibles allaient-elles se trouver affadies ou rehaussées par leur théâtralisation ? Francis Crémieux dès 1946 posait la question en ces termes : « Au lever du rideau, quand les lumières de la salle s’éteignent et que le spectateur a refermé son programme, il doit choisir entre ce qu’il a lu et ce qu’il va voir.
Création
Les vendredis 15 et 22 novembre 2019 à 20h30

— Par Gérald Rossi —
Spectacle présenté en public à Montsinery le 12 octobre en GUYANE
1961, École Normale de filles. Nos seize ans vont perdre ce matin-là leur
— Par Jean-Pierre Léonardini —
— Par Marina Da Silva —
— Dossier de presse —
Les 3M ( Le Monde, Mediapart, Marianne ) ont encensé la mise en scène de Pauline Bayle pour le dytpique l’ »Iliade & Odyssée » présenté sur la scène nationale de Fort-de-France comme deuxième pièce de théâtre de la saison à la suite de «
Arnaud Churin espérait frapper fort en invitant sur le plateau une troupe de comédiens noirs, mais cela ne suffit pas pour donner à la pièce de Shakespeare la dynamique que l’on pouvait imaginer.
« Alors les yeux de tous deux s’ouvrirent ; ils reconnurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu ensemble des feuilles de figuiers, ils en firent des ceintures. »
D’un côté les Grecs, de l’autre les Troyens et une guerre qui dure depuis 9 ans. Parce qu’Agamemnon l’a humilié devant ses compagnons, Achille décide de se retirer du combat. Privés de leur meilleur guerrier, les Grecs vacillent tandis que les Troyens gagnent du terrain… Comment faire pour gagner la guerre sans Achille ?
Dans le cadre du Festival Le Mois Kréyol #2, la Cie Moun San Mélé présentera sa version théâtrale du Discours sur le Colonialisme d’Aimé Césaire.