Ces fonds visent à soutenir les opérateurs et les établissements les plus fragilisés par la crise sanitaire.
L’Assemblée nationale a voté jeudi soir des mesures de soutien pour le secteur culturel, notamment les festivals et le livre, ainsi que la presse, dans le cadre de l’examen du troisième budget rectifié pour 2020 face à la crise du coronavirus. Via un amendement du gouvernement au texte examiné en première lecture, les députés ont voté des ouvertures de crédits de 50 millions d’euros pour la «mission Culture». Ces fonds visent à soutenir les opérateurs et les établissements les plus fragilisés par la crise, ainsi qu’à mettre en place un fonds d’urgence de 10 millions pour les festivals dont les éditions 2020 ont été annulées pour cause de Covid-19.
L’amendement gouvernemental a été adopté sans débat, mais des élus, y compris dans la majorité, à l’instar d’Aurore Bergé (LREM) ont plaidé en vain pour aller plus loin notamment pour soutenir le spectacle vivant. Un autre amendement gouvernemental a été adopté, là aussi sans débat, visant à mettre en place un plan de soutien pour les entreprises des secteurs des médias et de la presse avec 70 millions de crédits supplémentaires.

Peut-on imaginer à l’heure des procréations médicalement assistées, du mariage homosexuel et des nouveaux combats féministes qu’il fut une époque où l’opprobre pesait sur les « filles-mères », ces femmes rejetées et méprisées parce qu’elles avaient conçu un enfant en dehors des liens du mariage ? Mai 68 est passé par là, avec la contraception et la loi sur l’avortement, et progressivement ces « filles-mères » sont devenues des « mères célibataires » si bien que les nouvelles générations ignorent même jusqu’à ce terme.
—Par Francis Marmande Publié le 04 mai 2007 —
Sidonie-Gabrielle Colette, dite Colette, est née le 28 janvier 1873 à Saint-Sauveur-en-Puisaye et morte le 3 août 1954 à Paris. Femme de lettres, elle fut également mime, comédienne, actrice et journaliste, deuxième à être élue membre de l’Académie Goncourt en 1945. Son visage hante à Paris les fenêtres de l’appartement prenant vue sur le Jardin du Palais Royal, où
A la croisée de l’art, de la gastronomie, de la musique mais aussi digital, un concept inédit et éphémère va enchanter les Martiniquais à partir de jeudi 25 juin jusqu’en août 2020.
Genèse du Prix :
Les Martiniquais n’ont pas oublié
Cher José,
Jacques Coursil (1938, Paris – 26 juin 2020, Plombières) est un professeur de linguistique, sémioticien, chercheur en philosophie des mathématiques, compositeur et musicien français de jazz. Son instrument de prédilection est la trompette.

Reprendre enfin le chemin des salles de cinéma, certes… Mais peut-on prétendre que celles-ci soient ouvertes de nouveau au public, quand
— Par Sylvain Merle —
Le Premier Miinistre a confirmé la réouverture ce 22 juin 2020 des cinémas, en France. Après plus de trois mois d’attente, rendez-vous
Le concert sur la toile
Le réalisateur, césarisé en 2018 pour son documentaire, Je ne suis pas votre nègre, estime dans l’hebdomadaire Le 1, que la patrie des droits de l’homme est «à la fin d’un bien trop lourd héritage d’injustice, de déni et de profits, construit sur la misère des autres».
Participant à un stage de formation à l’analyse filmique, alors toute jeune enseignante, il me fut donné de travailler sur ce film… et de partager l’émerveillement purement cinématographique et esthétique, de ressentir l’émotion qui fut celle du formateur nous expliquant, outre le procédé technique, la
Signe de la fin d’un confinement nécessaire mais qui a pu paraître fort long, l’été arrive avec son cortège de bonnes nouvelles côté musées, et côté salles de cinémas où l’on va redécouvrir le plaisir partagé du film sur grand écran ! On apprend aussi ce matin que le parvis de Notre-Dame de Paris est désormais réouvert au public.
Cette pièce prophétique encore aujourd’hui nous interpelle par sa clairvoyance, sa force et sa théâtralité.
CHŒUR VIRTUEL
Les recommandations de la Direction générale de la création artistique pour la réouverture des salles de spectacles ne font pas l’unanimité des responsables de lieux et des producteurs. « Certains hésitent à décaler une troisième fois des tournées déplacées cet automne à début 2021, si les conditions économiques ne sont pas tenables », confie Éric Boistard, directeur de Stereolux, scène de musiques actuelles à Nantes. Les jauges de ses salles passeraient de 1 200 et 400 places à 400 et 100… Pour Thierry Langlois, président d’Uni-T (Thérapie Taxi, Izïa…) : « Si notre horizon est de diviser les jauges des salles, je n’y crois pas. Si l’on redémarre, c’est à pleine capacité. Comment amortir un Zénith aux trois quarts vide ? Je n’appelle pas cela un concert ! » Le directeur général de l’Olympia, Laurent de Cerner, doute aussi : « Rouvrir uniquement dans des conditions normales ou bien redémarrer en mode « dégradé » en ayant conscience que cela aurait de lourdes conséquences sur l’économie de l’ensemble de la filière ? Nous n’avons aucune visibilité quant à la date de reprise et à ses conditions.
Maintenir et prolonger le dispositif d’activité partielle jusqu’au 31 décembre 2021 ; accorder l’exonération des charges sociales patronales du 1er mars 2020 au 31 décembre 2021 ; bénéficier d’une exonération de la contribution économique territoriale pour 2020 et 2021 ; compenser l’absence de taxe fiscale sur les spectacles ; répondre à la problématique des loyers des salles ; renforcer et élargir le crédit d’impôt spectacle vivant ; élargir les aides « petites salles » Fonpeps pour soutenir l’emploi ; accompagner et soutenir la mise en place des mesures liés au nouveau cadre sanitaire, et leurs surcoûts ; adapter les conditions du prêt garanti par l’État aux contraintes économiques ; assurer le refinancement des fonds de soutien du Centre national de la musique et du Fonds de soutien au théâtre privé.