Agé de 91 ans, le réalisateur Alain Resnais est mort samedi soir à Paris « entouré de sa famille », a annoncé à l’AFP le producteur de ses derniers films, Jean-Louis Livi.
D’Hiroshima mon amour (1959) à Aimer, boire et chanter (2014), en passant par On connaît la chanson (1997). Alain Resnais, c’est 60 ans de cinéma. Le réalisateur français est décédé samedi soir à l’âge de 91 ans. « Sa mort est intervenue hier soir (samedi, Ndlr) entouré de sa famille et de ses proches à Paris », a indiqué à l’AFP le producteur Jean-Louis Livi. « Il était en train de préparer, avec moi, un autre film dont il avait écrit le premier scénario », a encore indiqué celui qui avait produit les trois derniers films d’Alain Resnais.
Récemment Alain Resnais avait été mis à l’honneur lors de la 64e édition du Festival du film de Berlin pour son dernier long métrage. Au cours de sa carrière, il a reçu un grand nombre de récompenses pour son oeuvre, avec plusieurs César.

Les intermittents du spectacle bénéficient-ils d’un régime « privilégié » d’indemnisation du chômage ? On connaît la rhétorique des contempteurs de ce régime : alors qu’ils ne représentent que 3,5 % des allocataires, les intermittents seraient responsables d’un quart du déficit de l’assurance-chômage.
Peu de films relatent la seconde guerre mondiale guerre du point de vue de la population allemande, voûtée sous les bombardements, toute à la fois soumise au régime nazi et soutien du pouvoir hitlérien. « La voleuse de livres », le film du Britannique Brian Percival adapté du roman best-seller de l’Australien Markus Zusak est donc une exception. Et ce à plus d’un titre.
En 2010, le virtuose confiait au JDD jouer chaque spectacle comme si c’était « peut être le dernier ». « Alors, tu laisses ta peau dans le show et un peu de ta santé chaque soir qui passe », ajoutait-il. A 66 ans, fatigué par des années de scène, Paco de Lucía a été victime d’une crise cardiaque. 
Pelléas et Mélisande de Claude Debussy rentre au bercail dans une production fastueuse, un orchestre fougueux et transparent. Créée le 30 avril 1902 dans cette même salle de l’Opéra Comique, l’unique pièce lyrique de Claude Debussy (1862-1918) y revient, jouée par l’orchestre des Champs-Elysées sous la direction du talentueux chef Louis Langrée.
One Africa, nouvelle chanson du ministre-chanteur Youssou Ndour en duo avec la chanteuse centrafricaine Idylle Mamba, est un cri pour la paix entre chrétiens et musulmans en Centrafrique.
Monsieur le Président,
C’est avec regret qu’il faut l’écrire mais les bonnes intentions ne font pas forcément les très bons films. Dénoncer l’assassinat totalement gratuit d’un jeune noir de 22 ans sur le quai d’une station de métro à Oakland par un policier blanc qui l’avait arrêté et qui le maintenait plaqué au sol est tout à fait justifié. Cette scène filmée avec les téléphones par des passagers de la rame, visible sur Internet est à l’ouverture du film. Comme dans les tragédies raciniennes l’issue est connue et annoncée, il s’agira dès lors de nous y conduire ou mieux de nous faire comprendre le pourquoi et le comment du chemin qui y mène. Et c’est là que pèche le film de Ryan Coogler. A trop vouloir épouser la cause honorable qu’il défend, la dénonciation des injustices et des haines raciales qui labourent la société étasunienne il ne fait vibrer qu’une seule corde celle de l’émotion et verse dans une accumulation de scènes mélodramatiques, tout en faisant l’impasse sur une véritable analyse d’une société dans laquelle le meurtre de sang froid d’un nègre coûte onze mois de prison, une société dans laquelle, comme le montre
Ça repart ? Avec vous, je peux redémarrer ! On essaye ?
La salle Aimé Césaire pleine à craquer a vibré de plaisirs samedi soir et dimanche après midi aux mélodies créoles interprétées par la nouvelle génération de musiciens formés dans les ateliers du maestro.
Dans le cadre de la « Journée Mondiale du Conte »,Jeudi 20 mars 2014, VIRGUL’ en partenariat avec le Conseil Général de la Martinique,
Lors de la saison 2012/2013, Roger Bernat nous a fait danser Le Sacre du Printemps sur la grande scène du Théâtre. Cette saison, il propose de voter pour plonger de manière ludique dans les méandres de la démocratie.
(Photo de J. Alpha)
Une femme revient dans son pays. Elle a donné rendez-vous à des amis pour un pique-nique sur la plage de leur enfance , « Le rivage du monde ». Quand elle arrive, ses amis ne sont pas encore là. Elle trouve un homme, qui lui dit que cette plage est privée, que son accès est désormais interdit. Il lui demande de s’en aller. Elle insiste. Elle ne veut pas comprendre. Il finit par lui dire qu’il ne supporte pas sa couleur de peau, que celle-ci est porteuse d’une mémoire qui n’a pas sa place sur le rivage du monde, qu’elle s’en aille !
Au théâtre de l’Aquarium, Pascale Henry propose À demain, plongée dans l’univers de la souffrance à visage humain.
(c) P. Lebruman
Un dimanche, le soleil au zénith. Une femme qui se réjouit à l’idée de retrouver sa plage de prédilection. Le rivage du monde, connu dans son enfance et lieu de rendez-vous avec des amis qu’elle doit rejoindre. Ses amis sont en retard. Là, un homme prétextant que la plage est à présent privée, lui en interdit l’accès. La femme ne capitule pas. S’ensuit un dialogue de sourds, cadre d’une joute physique et mentale, où l’intensité dramatique ira crescendo jusqu’au dénouement.