Ciné club de Pointe-à-Pitre revient avec la projection de documentaire, à partir du 3 novembre à la salle Georges Tarer
Après une année d’interruption, le ciné club revient à Pointe-à-Pitre grâce à un nouveau partenariat avec l’APCAG, Association pour le développement du cinéma d’art et d’essai en Guadeloupe. Désormais, la ville est affiliée à une fédération nationale de ciné-club. Elle se donne pour but d’offrir une programmation de qualité, avec des films anciens ou récents, mais aussi des objectifs de promotion de l’art cinématographique, d’ouverture aux cultures du monde et de formation du public par le débat. Dorénavant, l’animation du ciné club de Pointe-à-Pitre se fera en liaison avec le réseau des bibliothèques de la ville de Pointe-à-Pitre ; cela dans le but de valoriser les collections documentaires municipales car le public pourra s’y procurer les films programmés.
Les projections seront suivis d’un débat.
Cycle « Guerre et Mémoire » – Centenaire de la Première Guerre Mondiale
La Première Guerre mondiale porte en elle les germes de la seconde. Avec son déchaînement de violence, ses horreurs, elle est souvent perçue à la fois comme une aberration et comme la première guerre moderne.

Le film choisi pour lancer le festival du film documentaire est : Tango Négro. Les origines africaines du Tango, de Dom Pedro, 2013 / 93 mn / VF.


Claude Lelouch et le jury du Festival du film de l’île de la Réunion ont remis leur grand prix à Loin des hommes, un film sur l’Algérie des années 50 déjà présent à l’édition 2014 de la Mostra de Venise.
Pas de programmation prévue en Martinique!
Le rythme de fréquentation des cinémas par les spectateurs français ne cesse d’augmenter depuis vingt ans sous l’impulsion des seniors, population qui génère le plus d’entrées, selon une étude publiée aujourd’hui par le Centre national du cinéma.
Le jeune réalisateur juge la pratique «ostracisante» et a refusé la Queer Palm qui lui avait été décernée pour Laurence Anyways. Quitte à agacer les militants et organisateurs de festivals.
— Par Alexis Campion —
«Sin City: j’ai tué pour elle»
La 71ème Mostra affiche ses couleurs et elles sont américaines. Cinq films hollywoodiens, pas moins, sont cette année en compétition dont Birdman, le film d’ouverture du festival ce mercredi. Dans cette super production signée Alejandro Iñarritu, Michael Keaton joue un ancien acteur déchu qui tente de renouer avec le succès.
DISPARITION – Oscarisé huit fois en 1983 pour son film Gandhi, le cinéaste était un grand ami de Steven Spielberg qui lui donnera le rôle de John Parker Hammond dans le premier volet de Jurassic Park en 1993.
A Madiana
Son regard bleu acier, son élégance légendaire, l’inimitable « tombé » de sa chevelure, son histoire d’amour avec Humphrey Bogart, tout chez celle que l’on surnommait « the look » confinait à la perfection.
Avec son tonitruant “Goooooood morning Vietnam” en 1987 dans le film de de Barry Levinson et son rôle de professeur brillant et anticonformiste en 1989 dans “Le Cercle des poètes disparus” de Peter Weir, Robin Williams avait conquis un large public dans le monde entier.
Malgré le charisme de Scarlett Johansson, le nouveau film du nabab d’Europacorp est un objet informe et trépané.
DOCU
A Madiana
Du FBI géré en micro-entreprise dans “J. Edgar” à la formation hétéroclite des « Four Seasons », débiteurs de tubes sixties à l’honneur dans ce “Jersey Boys”, les récents biopics eastwoodiens racontent surtout la vie d’un groupe et la manière dont il structure et affecte les individus qui le composent. C’est le grand sujet qui transcende cette évocation de la vie de Frankie Valli et de ses boys, petits mafieux de Newark devenus chanteurs à succès aussi synchrones sur scène que minés en coulisses par leur invraisemblable mesquinerie.
Mauvais timing pour Sous les jupes des filles : le premier film
« São Paulo, Sociedade Anônima » : un petit bijou des sixties!