Catégorie : Cinéma

Ciné Jazz 2023: « Nothing but a man » & « Cesária Évora, la diva aux pieds nus »

Lundi 27 novembre 2023 à 18h et à 20h / Tropiques-Atrium

Lundi 27 novembre 2023 / 18h / Tropiques-Atrium
Par Michael Roemer, Robert M. Young
Avec Ivan Dixon, Abbey Lincoln, Julius Harris
Date de reprise 15 mars 2023

Nothing But a Man est un drame américain réalisé par Michael Roemer, sorti en 1964.
Il est considéré comme l’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains.

Nothing but a Man est un film dramatique indépendant américain de 1964 mettant en vedette Ivan Dixon et Abbey Lincoln , et réalisé par Michael Roemer , qui a également co-écrit le film avec Robert M. Young .

Bien qu’il n’ait pas été largement vu lors de sa sortie en raison de difficultés à trouver une distribution, le film est désormais généralement considéré comme un exemple important du cinéma américain néoréaliste . En 1993, il a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».

Synopsis :
Duff Anderson travaille dans une équipe de cheminots de fer près de Birmingham, en Alabama , gagnant un bon salaire et menant une vie itinérante avec ses collègues noirs.

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« Nothing but a man », un film de Michael Roemer

Lundi 27 novembre 2023 / 18h / Tropiques-Atrium
Par Michael Roemer, Robert M. Young
Avec Ivan Dixon, Abbey Lincoln, Julius Harris
Date de reprise 15 mars 2023

Nothing But a Man est un drame américain réalisé par Michael Roemer, sorti en 1964.
Il est considéré comme l’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains.

Nothing but a Man est un film dramatique indépendant américain de 1964 mettant en vedette Ivan Dixon et Abbey Lincoln , et réalisé par Michael Roemer, qui a également co-écrit le film avec Robert M. Young .

Bien qu’il n’ait pas été largement vu lors de sa sortie en raison de difficultés à trouver une distribution, le film est désormais généralement considéré comme un exemple important du cinéma américain néoréaliste. En 1993, il a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».

Synopsis :
Duff Anderson travaille dans une équipe de cheminots près de Birmingham, en Alabama , gagnant un bon salaire et menant une vie itinérante avec ses collègues noirs.

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« Cesária Évora, la diva aux pieds nus », un film d’Ana Sofia Fonseca

Lundi 27 novembre 2023 à 20h / Tropiques-Atrium
Par Ana Sofia Fonseca
Avec Cesária Évora
Titre original Cesária Évora
29 novembre 2023 en salle / 1h 34min / Documentaire, Musical

Synopsis :
Cesária Évora chante son titre Sodade en 1992, la faisant reconnaître internationalement à 51 ans. Longtemps simple chanteuse de bar au Cap-Vert, la légende que l’on connaît n’a pas toujours connu la gloire sinon la pauvreté. Femme profondément libre, généreuse et bien entourée, la “Diva aux pieds nus” a su finalement faire briller sa musique à travers le monde tout en restant fidèle à son Cap-Vert, la consacrant reine de la Morna et reine des coeurs.

La presse en parle :
Sud-Ouest :
Comment Cesaria Evora, chanteuse mélancolique, alcoolique et dépressive, est-elle sortie de l’ornière pour devenir une star mondiale ? Le film documentaire « Cesaria Evora, la diva aux pieds nus », réalisé et produit par Ana Sofia Fonseca, une ancienne journaliste portugaise, suit la chanteuse au quotidien en dehors de la scène et aborde toutes les périodes d’une vie mouvementée qui s’est terminée en décembre 2011.

Le Figaro :
Ana Sofia Fonseca fait des allers-retours dans l’espace et le temps, replace son parcours dans son contexte historique et social, pour tenter de le comprendre.

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« Les 18 fugitives », un film d’Amer Shomali et Paul Cowan

Mardi 21 novembre dès 18h30 au Teyat Otonom Mawon à Fort de France
La séance commence à 19h00
Film d’animation et documentaire expérimental, 1h12
Canada-Palestine
Le film est accessible à tous les âges
Les 18 Fugitives (The Wanted 18) est un film documentaire d’animation canado-palestinien de 2014 co-réalisé par l’artiste visuel et réalisateur palestinien Amer Shomali et le cinéaste canadien Paul Cowan. Le film combine des interviews des personnes impliquées dans les événements, des images d’archives, des dessins, des animations en stop-motion en noir et blanc ainsi que des reconstitutions.
Le film est sélectionné comme entrée palestinienne pour l’Oscar du meilleur film en langue étrangère à la 88e cérémonie des Oscars qui s’est déroulée en 2016.
Synopsis :
L’œuvre présente les efforts des Palestiniens habitant la ville et la région de Beit Sahour, en Cisjordanie, pour démarrer une petite industrie laitière locale au cours de la première Intifada, en cachant un troupeau de dix-huit vaches laitières aux forces de sécurité israéliennes qui considérait la production de laitages comme une menace pour la sécurité nationale d’Israël.
Dans les années 1980, dans l’optique de boycotter la taxation et la dépendance des matières premières israéliennes, les Palestiniens habitant Beit Sahour décident, dans une quête pour une plus grande autosuffisance, de former un collectif et de ne plus acheter du lait aux sociétés israéliennes.

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 » Les feuilles mortes », film de Aki Kaurismäki

Mardi 21 novembre / 19h / Madiana / Unique séance

Avec Alma Pöysti, Jussi Vatanen, Janne Hyytiäinen
Titre original Kuolleet lehdet
20 septembre 2023 en salle / 1h 21min / Drame, Comédie, Romance
Synopsis :Deux personnes solitaires se rencontrent par hasard une nuit à Helsinki et chacun tente de trouver en l’autre son premier, unique et dernier amour. Mais la vie a tendance à mettre des obstacles sur la route de ceux qui cherchent le bonheur.
La presse en parle :
Bande à part par Anne-Claire Cieutat
C’est un film que l’on reçoit comme un cri du cœur doublé d’un sursaut d’espoir. L’œuvre d’un homme las, qui, alors qu’il menaçait d’abdiquer et d’arrêter de tourner des films, a pourtant écrit une histoire d’amour aux faux airs de miracle.

Cahiers du Cinéma par Marcos Uzal
Il n’y a pas ici d’inconscient à analyser ou d’interprétation à déplier, et, outre des généralités sur le geste de Kaurismäki, on ne peut aller que dans les détails pour comprendre où se niche l’émotion. Et qu’y voyons-nous ? Que tout relève d’une forme de résistance : une phrase qui fait mouche, l’élégance d’un geste, la probité d’une posture s’opposent à la bêtise, à la vulgarité et à l’injustice.

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Kréyol International Film Festival, deuxième partie

Les 15, 16, 20 novembre au Christine Cinéma Club, 23 rue des écoles, 75005 Paris

L’association les Ponts de l’Espoir (Hope & Bridges), organisatrice du Kréyol International Film Festival, est fière d’annoncer que le week-end d’ouverture du KIFF qui s’est tenu du 8 au 10 septembre 2023, au cinéma Lincoln de Paris, a rencontré un bien joli succès auprès du public et des professionnels du cinéma.

En effet, cette première partie du festival, qui a mis en lumière la diversité et le talent du cinéma créole, a obtenu des retombées positives qui vont bien au-delà de nos espérances. Les cinéphiles et le public ont été au rendez-vous, témoignant ainsi, à la fois, de l’importance croissante d’un cinéma en langue créole sur la scène internationale et de l’engouement qu’il suscite.

Une aventure pas encore terminée

Nous sommes heureux de vous convier à la seconde partie du festival qui se tiendra à Paris aux dates des 15, 16, 20 novembre 2023 au Christine cinéma club.

Deux jurys d’exception sont au coeur de cette première édition du KIFF qui reflète notre engagement envers la promotion de la nouvelle garde d’un cinéma créole qui a soixante quinze ans de retard à rattraper.

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Euzhan Palcy : Pionnière de l’égalité au cinéma et porte-étendard de la diversité

Le Centre Pompidou projette les grands films et documentaires d’Euzhan Palcy lors d’une rétrospective événement

Dans le monde du cinéma, Euzhan Palcy se distingue comme une pionnière déterminée de l’égalité. Originaire de la Martinique, cette cinéaste exceptionnelle a consacré sa carrière à briser les barrières et à donner une voix aux minorités sous-représentées dans l’industrie cinématographique.

Le parcours impressionnant d’Euzhan Palcy commence par ses débuts modestes aux côtés d’autres talents émergents. Dès ses premiers pas dans l’industrie cinématographique, elle a fait preuve d’une vision audacieuse et novatrice. Sa détermination à raconter des histoires authentiques et à explorer des perspectives diverses a rapidement attiré l’attention du public et de ses pairs.

Au fil des années, Euzhan Palcy a acquis une réputation mondiale grâce à son engagement inébranlable en faveur de l’égalité au cinéma. Elle a défié les normes établies et a ouvert la voie à de nouveaux horizons, montrant qu’il est possible de transcender les stéréotypes et de créer des œuvres qui reflètent la richesse de la diversité humaine.

La Martiniquaise revient sur sa longue et remarquable carrière avec une modestie qui contraste avec l’impact considérable de son travail.

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« Le garçon et le héron », un film de Hayao Miyazaki

À Madiana Dimanche 12  en VF  👿 à 16h30, Mardi 14  VO 19h, Mercredi 15 VO 14h
Avec Gavril Dartevelle, Soma Santoki, Padrig Vion
Titre original Kimi-tachi wa Dō Ikiru ka
1 novembre 2023 en salle / 2h 03min / Animation, Drame, Aventure

Synopsis :
Après la disparition de sa mère dans un incendie, Mahito, un jeune garçon de 11 ans, doit quitter Tokyo pour partir vivre à la campagne dans le village où elle a grandi. Il s’installe avec son père dans un vieux manoir situé sur un immense domaine où il rencontre un héron cendré qui devient petit à petit son guide et l’aide au fil de ses découvertes et questionnements à comprendre le monde qui l’entoure et percer les mystères de la vie.

Le presse en parle :
Culturopoing.com par Michaël Delavaud
Arborescence narrative d’une complexité épatante aboutissant dans son dernier geste à la plus pure simplicité […], Le Garçon et le héron éblouit par la vitalité créatrice de son auteur octogénaire […], et se trouve être la synthèse complète d’un art animé toujours surprenant et profondément bouleversant.

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« Le Consentement », un film de Vanessa Filho

À Madiana
Avec Jean-Paul Rouve, Kim Higelin, Laetitia Casta
11 octobre 2023 en salle / 1h 58min / Drame, Biopic
Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement

Synopsis :
Paris, 1985. Vanessa a treize ans lorsqu’elle rencontre Gabriel Matzneff, écrivain quinquagénaire de renom. La jeune adolescente devient l’amante et la muse de cet homme célébré par le monde culturel et politique. Se perdant dans la relation, elle subit de plus en plus violemment l’emprise destructrice que ce prédateur exerce sur elle.

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
Vanessa Filho, la réalisatrice de Gueule d’ange, offre à l’ancien Robin des bois un rôle implacable face à la jeune Kim Higelin, bouleversante en adolescente séduite, puis brisée.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Dans les rôles difficiles de cette histoire violente, les acteurs jouent avec une puissance dramatique stupéfiante.

Franceinfo Culture par Sabine Gorny
Vanessa Filho réussit […] le pari d’une adaptation fidèle, grâce à la performance incroyable de Jean Paul Rouve, terrifiant en manipulateur pervers. Un film fort et glaçant qui devrait replacer encore un peu plus le principe du consentement au centre des discussions.

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Le Conte des Trois Diamants (Drame, 1995) Film de Michel Khleifi

Mardi 14 novembre à 19h Teyat Otonom Mayon, Croix-mission, Fort-de-France
Film en Arabe sous-titré Français

Synopsis :
Youssef, 12 ans, vit dans un camp de réfugiés de la bande de Gaza, dans le cadre morose de la première Intifada et de l’occupation israélienne : père en prison, frère combattant recherché par l’armée israélienne.
Lors d’une promenade, Youssef rencontre Aida, une jeune gitane, excellente conteuse, dont il s’éprend. Elle lui dit qu’elle l’épousera s’il retrouve les trois diamants perdus d’un collier acquis jadis en Amérique du Sud par sa grand-mère.
Dès lors, Youssef cherche à sortir par tous les moyens de la bande de Gaza sur la piste de diamants…
Nous entendons beaucoup parler de la Palestine ces jours-ci. Derrière les chiffres il a des vies, des histoires, des rêves, et des projets d’avenir. À travers cette initiative nous rejoignons un mouvement mondial de diffusions de film en honneur de la Palestine, le @filmlabpalestine. Nous avons hâte de vous présenter une narrative humaine et artistique sur la Palestine.
Cinéclub Palestine
Entrée gratuite

Conte des trois diamants
Hikayatul jawahiri thalath
de Michel Khleifi

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« L’enlèvement », un film de Marco Bellocchio

Lundi 20 novembre à 19h

Par Marco Bellocchio, Susanna Nicchiarelli
Avec Enea Sala, Leonardo Maltese, Paolo Pierobon
Titre original Rapito
1 novembre 2023 en salle / 2h 15min / Drame

Synopsis :
En 1858, dans le quartier juif de Bologne, les soldats du Pape font irruption chez la famille Mortara. Sur ordre du cardinal, ils sont venus prendre Edgardo, leur fils de sept ans. L’enfant aurait été baptisé en secret par sa nourrice étant bébé et la loi pontificale est indiscutable : il doit recevoir une éducation catholique. Les parents d’Edgardo, bouleversés, vont tout faire pour récupérer leur fils. Soutenus par l’opinion publique de l’Italie libérale et la communauté juive internationale, le combat des Mortara prend vite une dimension politique. Mais l’Église et le Pape refusent de rendre l’enfant, pour asseoir un pouvoir de plus en plus vacillant…

La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens vivants, signe un chef-d’œuvre pamphlétaire contre l’obscurantisme, dans une mise en scène magistrale, au classicisme sublime.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Faussement classique, cette fresque intimiste se révèle parsemée de séquences opératiques et bouleversantes, filmées dans un clair-obscur qui leur donne parfois une tonalité baroque.

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Capitalisme américain. Le culte de la richesse

Mardi 7 novembre 2023 sur Arte à 20h55
En trois épisodes, cette série documentaire retrace les grandes étapes du capitalisme américain. De Rockefeller aux ploutocrates Elon Musk, Jeff Bezos ou Steve Jobs, en passant par le krach de 1929 et la crise des subprimes de 2007, retour sur l’histoire d’une mythologie nationale.
Le premier épisode est disponible ici=> jusqu’au 12/05/2024

Comment, aux États-Unis, la République frugale des pères fondateurs s’est-elle transformée en gouvernement de riches pour les riches ? En trois épisodes, cette série documentaire retrace les grandes étapes du capitalisme américain.

À la fin du XIXe siècle, un club de millionnaires – John D. Rockefeller et son monopole du pétrole, le roi de l’acier et philanthrope Andrew Carnegie ou le banquier J. P. Morgan qui, de Wall Street, finance la révolution industrielle – s’empare de l’Amérique, où les immigrés fournissent une main-d’œuvre corvéable à merci. Le pacte scellé entre mondes des affaires et de la politique accélère la course au profit de la libre entreprise et la mise en place d’un capitalisme impitoyable. Mais un courant progressiste dénonce l’exploitation, la détresse sociale et la puissance corruptrice des grandes fortunes : à la veille de la Première Guerre mondiale, le travail des enfants est interdit et un impôt est institué sur le revenu des plus riches.

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Jean-Michel Basquiat : La Rage Créative – le parcours d’une comète artistique

Disponible en replay

— Par M’A —

Le documentaire de David Shulman, « Basquiat : La Rage Créative » (2017), plonge profondément dans la vie et l’art du légendaire artiste Jean-Michel Basquiat, décédé prématurément à l’âge de 27 ans en 1988. Le film explore en détail le parcours de Basquiat, de ses débuts dans les rues de New York à sa montée fulgurante dans le monde de l’art contemporain.

Le documentaire commence par un événement marquant de l’enfance de Basquiat : un accident à l’âge de 7 ans où il est renversé par une voiture à Brooklyn. Alors qu’il est alité à l’hôpital, sa mère lui offre une copie de « Gray’s Anatomy, » un ouvrage d’anatomie humaine publié en 1858. Cette expérience s’avère déterminante pour le jeune Basquiat, influençant son obsession pour l’anatomie et sa manière de représenter le corps humain dans son art.

Le film explore également la période où Basquiat a commencé à peindre des graffitis dans les rues de Downtown Manhattan aux côtés de son ami Al Diaz, en utilisant le pseudonyme « Samo » pour « Same Old Shit. 

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« ZornI / II / III », la trilogie John Zorn filmée par Mathieu Amalric, au cinéma!

Synopsis :
Depuis 2010, Mathieu Amalric filme seul, avec sa caméra et ses micros, le musicien new-yorkais John Zorn.
Saxophoniste, compositeur, improvisateur, explorateur indéfinissable, du jazz au quatuor à cordes, du noise au klezmer, de l’easy listening à l’orgue d’église, cartoon, oud électrique, soprano d’opéra ou chœur de femmes, Zorn nous embarque dans un voyage musical sans fin… (un Zorn IV est en route). Trois films, aux prismes volontairement différents, avec leurs constellations de musiciens, d’amitiés, de travail et d’énergies sonores. Mat
C’est la première fois qu’ils sont projetés ensemble, au cinéma, en dehors des concerts de Zorn.
ZORN I (2010-2016)
Projeté la première fois à la Philharmonie de Paris, le vendredi 31 mars 2017 lors du « Week-end Zorn by Zorn ».
ZORN II (2016-2018)
Projeté la première fois à Fundacão Gulbenkian de Lisbonne, le dimanche 29 juillet 2018 lors de la « John Zorn Special Edition » du festival Jazz Em Agosto.
ZORN III (2018-2022)
Projeté la première fois à la Elbphilharmonie de Hambourg, le samedi 19 mars 2022 lors du « Reflektor John Zorn »

LISTE TECHNIQUE
Caméra et prise de son : Mathieu AMALRIC
Montage : Caroline DETOURNAY
Montage son : Sylvain MALBRANT
Mixage : Stéphane THIÉBAUT, Victor PRAUD, Olivier GOINARD
Etalonnage : Paulina PISAREK
Post-production : Magnolias Films
Producteur : Mathieu AMALRIC
Production : Film(s)
Distribution France : Les Films de l’Atalante
Partenaire : France Musique
https://www.radiofrance.fr/francemusique

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« Envoyé spécial » : Les plages de l’embarquement, un reportage de Julien Goudichaud

Jeudi 2 novembre à 21h10 qur France 2

L’année dernière, 45 000 hommes, femmes et enfants, ont rejoint clandestinement les côtes anglaises depuis les plages du Nord-Pas-de-Calais. On ignore combien sont morts en tentant la traversée. Pour comprendre ce scandale et dénoncer le juteux business qui en découle, le réalisateur Julien Goudichaud a vécu, auprès des réfugiés et des passeurs, sur ce qu’il nomme les « plages de l’embarquement ». Partageant le quotidien des migrants pendant sept ans, il a fini par embarquer sur un de ces canots de fortune pour raconter, de l’intérieur, l’épopée de ces traversées souvent meurtrières. À bord, il vit avec les passagers l’angoisse du départ de nuit, de la mer qui grossit, des super tankers qui secouent l’esquif et le remplissent d’eau. Avec eux, il écope et espère l’arrivée des secours. En tournant ce document exceptionnel, Julien Goudichaud a pu rencontrer les « passeurs ». Petites mains qui organisent la vie quotidienne dans les camps de la « jungle » de Calais ou chefs de réseaux qui s’enrichissent en gérant à distance ce trafic d’êtres humains.

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« Flo », un film de Géraldine Damon

À partir du vendredi 3 novembre à Madiana

De Géraldine Danon
Par Géraldine Danon, Yann Queffélec
Avec Stéphane Caillard, Alison Wheeler, Alexis Michalik
1 novembre 2023 en salle / 2h 05min / Biopic, Drame
Synopsis :
Connue comme « la petite fiancée de l’Atlantique », Florence Arthaud fut surtout une grande navigatrice. Son palmarès exceptionnel, et unique dans cet univers masculin, connut son apogée avec sa victoire de la Route du Rhum en 1990.
Au-delà de ces exploits, FLO raconte l’incroyable destin d’une femme farouchement libre qui – après un accident de la route ayant failli lui coûter la vie – décide de rejeter son milieu bourgeois et la vie qui lui avait été tracée, pour vivre pleinement ses rêves.

Florence Arthaud était un grand marin. Son palmarès exceptionnel, et unique dans cet univers si masculin, connut son apogée avec sa magnifique victoire dans la Route du Rhum 1990, avec le record de l’épreuve, le record de la traversée de l’Atlantique Nord en solitaire notamment. C’est un accident qui lui ôtera la vie en 2015, sur le tournage de l’émission d’aventures « Dropped » pour TF1.

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« Moby Dick » un film de John Huston

Lundi 30 octobre / 20h55 / Arte
Avec Orson Welles en curé et Gregory Peck en capitaine Achab obsédé par un cachalot géant. Si les effets spéciaux datent un peu, la réflexion psychologique reste intemporelle
Moby Dick est un film américano-anglais, réalisé par John Huston d’après le roman homonyme d’Herman Melville, sorti sur les écrans en 1956.

Synopsis :
Ismael, jeune marin qui rêve d’aventure, s’embarque à bord du Péquod, un baleinier. Ce navire est commandé par le capitaine Achab qui est mû par une unique obsession : il veut absolument tuer Moby Dick, un cachalot blanc, qui lui a fait perdre sa jambe. Achab entraînera ainsi son équipage à le suivre à travers toutes les mers, à la poursuite du monstre mais aussi de son propre destin.
Autour du film
John Huston a dit à propos des difficultés rencontrées lors du tournage : « Le film, comme le livre, est donc un blasphème, et on peut admettre que Dieu se soit défendu en déchaînant contre nous ces ouragans et ces vagues énormes ».

On peut voir le folkloriste Bert Lloyd entonner un chant de marin lors de l’appareillage du Pequod.

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L’éphéméride du 27 octobre

 Naissance, le 27 octobre 1811, aux États-Uni,s d’Isaac Singer qui perfectionna la machine à coudre

L’Américain Elias Howe, l’Allemand Balthasar Krems , l’Anglais Thomas Saint et l’Autrichien Josef Madersperger) sont les pionniers de la machine à coudre.

La première machine à coudre véritablement pratique est attribuée à un tailleur français originaire de la région lyonnaise, installé rue des Forges à Saint-Étienne, Barthélemy Thimonnier. Il dépose en 1830 le premier brevet d’une « mécanique à coudre » (ou « métier à coudre ») construite en bois, à un fil continu, en point de chaînette, cousant 200 points à la minute. Il en fabrique 80 exemplaires pour honorer une commande d’uniformes de l’armée. Beaucoup d’inventeurs de cette époque misent sur la reproduction du mouvement de la main, ce qui limite la couture à une simple aiguille (Madesperger notamment dont la machine s’appelait « la main qui coud »).

En 1834, l’Américain Walter Hunt est le premier à utiliser une canette, et donc à utiliser deux fils. Cette idée est reprise et améliorée par Elias Howe qui dépose un brevet en 1846 mais n’obtient aucun succès et part en Angleterre pour tenter de l’exploiter.

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La mort brutale de Patrice Aboulikam, plus connu sous le nom de Radix Corporation

Le monde de l’audiovisuel et de la musique en Martinique est en deuil suite au décès soudain de Patrice Aboulicam, plus connu sous le nom de Radix Corporation, à l’âge de 37 ans. L’annonce de sa disparition a provoqué un choc parmi ses collègues, amis et la communauté artistique. Radix était un talent de la vidéo, un producteur, réalisateur et manager, qui avait collaboré avec de nombreux artistes de renom tels que JmaX, Loy Sonjah, Kalash, et bien d’autres.

Les hommages qui affluent sur les réseaux sociaux soulignent sa gentillesse, son professionnalisme, son engagement pour la Martinique et sa passion pour la musique. En plus de promouvoir les talents locaux, Radix avait réalisé des clips et des films abordant des questions de société, y compris des campagnes de sensibilisation. Il était également reconnu pour sa bienveillance et son humanité, et beaucoup le décrivent comme un « ange » et un « formidable grand frère ». Cependant, les circonstances exactes de sa mort demeurent floues, bien qu’il ait souffert de la dengue ces derniers jours.

Le décès de Radix laisse un vide dans le monde de l’audiovisuel et de la culture en Martinique, et de nombreux artistes et amis pleurent la perte de ce talentueux réalisateur et être humain chaleureux.

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« Les mules invisibles », un film de Christophe Agelan

Le cinéma antillais à l’honneur

À partir du 20 octobre à Madiana

Réalié par Christophe Agelan
Écrit par Nènèb et Christophe Agelan
D’après un idée originale de Jean-Michel Loutoby
Avec : Galiam Bruno Henry, Wilfried Lamart, Jann Beaudry, Guillaume Ruffin-Bayardin, Doraline Garcia, Valérie Barn, Patrick Hierso, Anne-Lyse
Marie-Guicheron

Synopsis:
À Noël, Joshua, un trafiquant de cocaïne antillais, est de retour en Martinique après avoir organisé l’approvisionnement de la filière en Amérique du Sud. Tikou, son partenaire et ami d’enfance, lui avoue alors sa lassitude et sa volonté de se consacrer à son mariage.
Les ambitions de Karl, le chimiste, compromettent la régularité des rotations Fort-de-France/ Paris et la qualité du transport. Sous la pression de Papa et Maman, chefs parisiens du réseau, Joshua doit recruter.
Énélia, jeune mule fascinée par l’argent, entraîne son amie Morgane, une chimiste sérieuse et responsable. Si Morgane croule sous les dettes de son père et soutient seule sa famille, Énélia quant à elle délaisse son père, Paul, atteint de la maladie d’Alzheimer. Sa belle-mère Karine, journaliste déterminée, est préoccupée par la santé déclinante de Paul et son enquête sur le réseau local de trafiquants de drogues.

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Assassinat de Dariush Mehrjui : le destin tragique du cinéaste iranien et de son épouse Vahideh Mohammadifar

L’Iran est en deuil suite au double assassinat du célèbre cinéaste Dariush Mehrjui et de son épouse, Vahideh Mohammadifar, dans leur domicile de Karaj, près de Téhéran. Cette tragédie a plongé le pays dans la perplexité, alimentant les spéculations sur les circonstances entourant leur mort. L’enquête est toujours en cours, mais les signes d’un possible meurtre politique ne peuvent être ignorés.

La vie et la carrière de Dariush Mehrjui

Dariush Mehrjui était une icône du cinéma iranien, reconnu pour ses réalisations en tant que cinéaste, producteur et scénariste, s’étalant sur six décennies. Né à Téhéran en 1939, il a étudié la philosophie aux États-Unis avant de retourner en Iran, où il a lancé une revue littéraire et a réalisé son premier film, « Diamant 33 », en 1966, une parodie des films de James Bond. Cependant, c’est « La Vache », en 1969, qui le propulsa sur la scène internationale. Ce film, pionnier de la Nouvelle Vague iranienne, remporta le prix du jury à la Mostra de Venise en 1971.

L’œuvre de Mehrjui a souvent été marquée par une forte dimension sociale, abordant des thèmes tels que la vie des villageois iraniens (« La Vache »), les problèmes sociaux (« Monsieur le naïf », « Le Cycle », « Les Locataires »), et des portraits de femmes (« Sara », « Pari », « Leila »).

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« Killers of the flower moon » un film de Martin Scorsese

Quand le cinéma révèle les plaies de l’histoire amérindienne

26 octobre à 15h  19h30 (!), 28 octobre à 14h45, 29 octobre à 10h30 à Madiana :

Le réalisateur légendaire Martin Scorsese fait son grand retour sur le grand écran avec « Killers of the Flower Moon », un film qui transcende les frontières du temps pour mettre en lumière une tragédie longtemps oubliée. Le film, en salle cette semaine, se penche sur l’histoire des Amérindiens, en particulier la tribu Osage, et les atrocités qu’ils ont endurées après la colonisation de l’Amérique par les Européens. Pour Scorsese, le sort des Amérindiens « reste une plaie à soigner » pour l’Amérique, et ce film est une façon de rappeler au monde ces injustices passées et présentes.

L’histoire du film se déroule dans les années 1920 dans l’Oklahoma, un État où un des plus grands gisements de pétrole des États-Unis a été découvert sur les terres des Osage. Les membres de cette tribu avaient des titres d’exploitation exclusifs sur cette manne, mais cela suscita la convoitise des pionniers blancs.

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La 18ème édition du « cinémartinique festival » du 13 au 21 octobre

Programmes des 19 & 20 octobre

La 18e édition du Cinémartinique Festival, organisée par Tropiques Atrium, se déroulera du vendredi 13 au samedi 21 octobre, offrant une semaine riche en événements cinématographiques.

Au programme, une variété de catégories, notamment des longs métrages, des films pour le jeune public, des documentaires en compétition, des courts-métrages en compétition et hors compétition, ainsi que la semaine de la critique. De plus, le festival soutiendra les jeunes réalisateurs caribéens en remettant une bourse.

Présence de deux invités aujourd’hui, mercredi 18 octobre, dans le cadre des rencontres du Cinémartinique festival, la 18e édition.

18 heures à Tropiques Atrium : rencontre avec la réalisatrice Bouchera Azzouz (gratuit) 20h30 à Madiana : projection du film « La fille de son père », en présence de l’acteur Nahuel Perez Biscayart. Le film a été présenté à la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 2023 et en a fait la clôture > Contact : 0596 707 929


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L’éphéméride du 13 octobre

Naissance à Kiffa, en Mauritanie, d’Abderrahmane Sissako le 13 octobre 1961

Abderrahmane Sissako (également crédité sous le nom de Dramane Sissako) est un cinéaste et producteur mauritanien, né le 13 octobre 1961 à Kiffa.

Le thème principal de son œuvre est l’exil, le déplacement. Il peint l’Afrique avec des touches autobiographiques. En 2015, il devient le premier cinéaste africain à obtenir le César du meilleur réalisateur pour Timbuktu.

Il fait partie, avec Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambety, Souleymane Cissé, Idrissa Ouedraogo et Alain Gomis, des rares cinéastes d’Afrique subsaharienne à avoir obtenu une notoriété internationale.

Biographie
Peu de temps après sa naissance, sa famille émigre au Mali son pays d’origine, où il suit une partie de ses études primaires et secondaires. Après un court retour en 1980 en Mauritanie, il part en Union Soviétique, à Moscou, où il étudie le cinéma au VGIK (Institut fédéral d’État du cinéma) de 1983 à 1989.

Au début des années 1990, Abderrahmane Sissako s’installe en France. En 1994, il obtient, lors du 4e Festival du cinéma africain de Milan, le Prix du meilleur court métrage pour son film Octobre.

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L’éphéméride du 6 octobre

Le premier film parlant, Le Chanteur de jazz, est présenté aux USA le 6 octobre 1927.

Le Chanteur de jazz (The Jazz Singer) est un film musical américain réalisé par Alan Crosland, sorti en 1927.

Il est communément considéré comme le premier film parlant, plusieurs scènes chantées et un monologue étant insérés au milieu des scènes muettes (qui restent cependant les plus nombreuses). Mais c’est un film sonore.

Synopsis :
Le chanteur Rabinowitz furieux a trouvé son fils Jakie en train de chanter dans un bar, et l’a chassé du foyer familial.
Quelques années plus tard, Jakie est chanteur de jazz dans un night-club et se fait appeler Jack Robin. Il est remarqué par l’actrice Mary Dale, qui se propose de l’aider à faire carrière.
Et en effet, Jakie est propulsé sur les scènes de Broadway pour y faire un nouveau spectacle, un spectacle qui ferait de lui à coup sûr la nouvelle vedette de la chanson sous les traits d’un blackface. Mais le concert tombe le soir de Yom Kippour, et le père de Jakie, très malade, est incapable de chanter à la synagogue.

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