« Epicentro » : Hubert Sauper signe un documentaire poétique, sans se prononcer sur la situation de l’île
Lors de la scène d’ouverture, un homme fume le cigare, à moins que ce ne soit le vent qui le consume. Des vagues s’abattent en gerbes blanchies d’écume sur le Malecon (la jetée) qui protège La Havane. Dans le dernier plan, le même homme fume toujours un cigare incandescent. L’eau monte jusqu’au seuil des maisons. Les vagues sont devenues plus grosses. Est-ce à dire que la situation de Cuba a empiré ? Hubert Sauper ne nous dit rien. Il filme, un peu en retrait de son sujet, comme s’il redoutait d’être pris dans le dispositif spéculaire qu’il dénonce. Difficile de savoir, à la vision de ce documentaire poétique et déambulatoire, ce qu’il pense de la situation de l’île qu’il situe au croisement d’une « fake news » et d’une utopie. S’il regrette l’épopée castriste. S’il applaudit à la réouverture des relations diplomatiques avec les États-Unis.
S’il méprise les touristes qui envahissent la ville avec leurs appareils photo comme lui avec sa caméra. Des vaches qui paissent dans l’enceinte d’une raffinerie sucrière abandonnée rappelant la rigueur du boycott.

Avec Dulamjav Enkhtaivan, Aorigeletu, Norovsambuu Batmunkh
Le premier long-métrage de Maïmouna Doucouré, « Mignonnes », sort le 19 août en salles. (Sacha Maric for Netflix) Marine Langlois

De Rubika Shah
Le mercredi 8 juillet dernier, l’Association pour le Développement du Cinéma d’Art et d’essai en Guadeloupe (APCAG) inaugurait 
À l’origine de certains épisodes de séries télévisées françaises comme Mongeville, Sam, ou Tropiques Criminels, se trouve une jeune femme martiniquaise,
Olivia de Havilland, l’inoubliable Melanie dans « Autant en emporte le vent » décédée dimanche à 104 ans à Paris, où elle résidait, était la doyenne d’Hollywood dont elle incarnait l’âge d’or des années 1930-1940.
/ 0h 59min / Documentaire
Avec Jeon Do-Yeon, Woo-Sung Jung, Seong-woo Bae
Le cinéma reprend des couleurs ! En dépit de nos visages par obligation masqués, et malgré la nécessité de laisser vide un siège entre les autres et nous-même, lentement mais sûrement nous retrouvons le chemin des salles obscures, et le bonheur du grand format à partager entre spectateurs ! Oh, le plaisir d’échanger au sortir d’une projection, de confronter avec passion nos accords et nos désaccords !
ne sélection issue des Courts métrages de la Semaine de la critique 2019 : les horaires ne nous sont connus que depuis 13h ce jour.
Critique. France 3 diffuse en prime-time lundi 20 juillet un documentaire sur le judoka Teddy Riner, intitulé « Teddy ». Ce film, réalisé par deux journalistes du service des Sports de France Télévisions, Benoit Durand et Brice Baubit et co-produit avec le réalisateur Laurent Lefebvre, offre une plongée au cœur du quotidien du judoka le plus titré de l’histoire. Entre reprise de l’entraînement, compétitions et moments en famille, ce documentaire vous ouvre les portes de l’univers de Teddy Riner.
Avec Bartosz Bielenia, Eliza Rycembel, Aleksandra Konieczna
Lorcan Finnegan – Irlande, Belgique, USA – 2020 – 1h38
Japon – animation – 2019 – 1h48 – couleur – VF
Avec James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard
De Melina León
Cinq mois après une crise inédite dans le cinéma français et la démission collective de ses dirigeants, l’Académie des Césars a annoncé jeudi l’adoption d’une large réforme de ses statuts,
Mehdi M. Barsaoui – Tunisie, Quatar, Liban, France – 2020
— Par Nebia Bendjebbour —
« Tout simplement noir » sort aujourd’hui sur les écrans de Madiana, au même temps que sur ceux de France. Voici quelques exemples de critiques, qui nous incitent vivement à découvrir cet ovni cinématographique !
Ces vacances partez à la découverte de nouvelles émotions caribéennes !