Sortie du film « White Riot » de Rubika Shah

De Rubika Shah
Nationalité Britannique
5 août 2020 / 1h 20min / Documentaire, Musical

Synopsis :
Royaume-Uni, fin des années 70, en pleine explosion punk : face à la montée de l’extrême- droite nationaliste et raciste, un groupe de militants choisit la musique comme arme. C’est l’aventure de Rock Against Racism qui, avec The Clash en première ligne, va réconcilier sur des rythmes punk, rock ou reggae les communautés d’un pays en crise.

« White Riot » a été primé dans la catégorie documentaire lors du dernier BFI London film Festival. Il a également été sélectionné lors de la 70ème Berlinale en 2020.

La presse en parle :

Ouest France par Cédric Page
White Riot ressuscite avec fièvre les rêves et combats d’une jeunesse idéaliste.

Culturebox – France Télévisions par Pierre-Yves Grenu
Ce court et beau documentaire, qui tire son nom de l’hymne des Clash, a la couleur de l’époque, avec ses archives édifiantes, les collages des fanzines, les concerts improvisés et l’envie d’en découdre.

Le Journal du Dimanche par L.P.
Rythmé par une bande-son énergique (Clash, etc.), ce documentaire en détaille la genèse à partir d’archives et de témoignages aussi rares que percutants.

Le Parisien par La Rédaction
Intéressant sur le plan musical, ce document, qui aurait peut-être eu davantage sa place pour une diffusion télé, s’avère passionnant lorsqu’il aborde le contexte politique et social de ces années explosives et tourmentées.

L’Humanité par Michaël Mélinard
Avec force images d’archives, d’extraits de concerts et de témoignages d’acteurs contemporains de l’aventure, Rubika Shah tisse un récit passionnant, découvrant une Grande-Bretagne ouverte.

Libération par Lelo Jimmy Batista
Rapide, nerveux, « White Riot » est avant tout porté par les témoignages d’activistes goguenards jamais avares en répliques cinglantes et des images d’archives gros grain, d’une qualité souvent exceptionnelle, le tout lié par des séquences animées à l’esthétique cut paste.

Télérama par Hugo Cassavetti
En 1978, le mouvement Rock Against Racism, soutenu par les figures de proue du punk, combattait la montée de l’extrême droite au Royaume-Uni. Prenant.

Critikat.com par Thomas Grignon
C’est quand il met en évidence que la force de frappe de « Rock Against Racism » reposait avant tout sur la conjugaison du militantisme et de la séduction que White Riot parvient à convaincre.

La Croix par Céline Rouden
Un documentaire appliqué mais éclairant.

Le Monde par Clarisse Fabre
White Riot évite le tunnel d’interviews dont sont friands nombre de documentaires anglosaxons. Ici, seule une poignée de témoins livrent mille anecdotes sur la création du mouvement.

Le Nouvel Observateur par Nicolas Schaller
« Toute une époque », dirait-on si elle ne faisait tristement écho à la nôtre, ce que ce documentaire a le mérite de nous rappeler.

Les Fiches du Cinéma par Thomas Fouet
Un documentaire nourri de précieuses images d’archives.

Les Inrockuptibles par Thierry Jousse
Une histoire pleine de bruit et de fureur qui résonne étrangement avec l’actualité récente […]. La grande qualité du film, c’est la vivacité permanente de son récit, l’intensité avec laquelle Rubika Shah nous plonge dans cette période où Rock Against Racism prônait la fraternité entre les communautés, une intensité qui va de pair avec le tourbillon d’informations auxquelles il nous donne accès et qui documentent, de manière définitive, cette période.

Paris Match par Yannick Vely
Si la forme du documentaire est de facture classique, c’est le fond qui importe où comment des gens normaux vont s’unir contre le racisme en organisant des concerts de rock.

Première par Frédéric Foubert
Pour une plongée dans l’un des moments les plus électrisants de l’histoire pop anglaise, c’est parfois un peu sage, mais néanmoins bourré d’infos précieuses et de témoignages de première main. Et la musique de The Clash, elle, secoue toujours autant.

Le Figaro par R.C.
Un sujet anecdotique qui aurait gagné à être traité en fiction.