« L’ombre de Staline », un film d’Agnieszka Holland

Vendredi 17 juillet 2020 à 19h 30 Madiana V.O.

Avec James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard
Nationalités Polonais, Britannique, Ukrainien
1h 59 min / Biopic, Drame

Synopsis :
Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Après avoir décroché une interview d’Hitler qui vient tout juste d’accéder au pouvoir, il débarque en 1933 à Moscou, afin d’interviewer Staline sur le fameux miracle soviétique. A son arrivée, il déchante : anesthésiés par la propagande, ses contacts occidentaux se dérobent, il se retrouve surveillé jour et nuit, et son principal intermédiaire disparaît. Une source le convainc alors de s’intéresser à l’Ukraine. Parvenant à fuir, il saute dans un train, en route vers une vérité inimaginable…

La presse en parle :

Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Une leçon d’histoire sombre, un film indispensable.

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Un grand film baroque et original qui, à travers les yeux d’un jeune homme, aussi aventureux que journaliste, raconte l’effondrement qui guettait le monde avant la deuxième grande guerre. Sidérant de beauté et de profondeur.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
La cinéaste signe un film classique, servi par une belle reconstitution des années 1930, sur laquelle repose un récit original bien documenté, écrit par la réalisatrice.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Entre thriller, film d’espionnage et témoignage mémoriel, ce remarquable nouveau film de la réalisatrice chevronnée Agnieszka Holland interroge la manière dont on forge l’histoire.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
La réalisatrice Agnieszka Holland raconte ce crime contre l’humanité et la propagande négationniste de Staline, sous forme d’un polar efficace et glaçant.

Le Figaro par Etienne Sorin
La réalisatrice polonaise en connaît un rayon sur l’imposture du communisme russe et sur le cinéma. La première partie du film est digne des meilleurs films d’espionnage.

Le Nouvel Observateur par Jérôme Garcin
En dénonçant les fake news et les pouvoirs corrompus, ce lanceur d’alerte est d’une troublante modernité. Ce film l’atteste.

Le Parisien par La Rédaction
Inspiré d’une histoire vraie, « l’Ombre de Staline » est un polar ponctué de séquences terrifiantes, mais aussi une réflexion sur la propagande et le totalitarisme.

Marianne par Anne Dastakian
Le héros, Gareth Jones, reporter honnête et courageux, est magnifiquement interprété par James Norton.

Marie Claire par Catherine Durand
« L’Ombre de Staline » est un thriller haletant dont le héros est un lanceur d’alerte avant l’heure.

Ouest France par Gilles Kerdreux
La réalisation insiste parfois trop sur le côté lugubre et rend certains méandres complexes à comprendre. Mais quelle histoire !

Paris Match par Yannick Vely
Par ce film un peu académique mais passionnant, la réalisatrice polonaise Agnieszka Holland rend aussi hommage à sa mère, journaliste.

Télérama par Frédéric Strauss
Au fil de ce polar historique touffu et prenant, le destin du journaliste Gareth Jones, qui se battit pour la vérité, prend toute sa résonance. Ce jeune chevalier de la démocratie est une admirable figure de l’Histoire.

La Croix par Céline Rouden
À l’heure des fake news et de la post-vérité, l’aventure de Gareth Jones a le mérite de sonner comme le rappel de nos aveuglements collectifs. À trop vouloir forcer le trait, le film manque toutefois de subtilité et se perd dans une esthétique un brin surannée.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Baigné dans une atmosphère paranoïaque, ce thriller historique interroge sur la déontologie et le compromis à la veille de la Seconde Guerre mondiale.

Le Monde par Philippe Ridet
Cette histoire est vraie, bien interprétée, bien racontée par Agnieszka Holland.

Les Fiches du Cinéma par Sulamythe Mokounkolo
Un récit historique convaincant.

Les Inrockuptibles par Léo Moser
Le film d’Agnieszka Holland jette sur notre époque falsificatrice, viciée par les fake news et les réalités alternatives, un éclairage ténébreux.

Positif par Bernard Génin
Film démonstratif donc, un peu lourd parfois, mais la leçon d’histoire est salubre, avec des moments très forts […].

Première par Sylvestre Picard
La polonaise Agnieszka Holland signe un film historique qui impressionne, malgré quelques longueurs.