« Lucky Strike », un film de Yong-hoon Kim

Jeudi 23 juillet 2020 à 22h Madiana V.O. 😀 

Avec Jeon Do-Yeon, Woo-Sung Jung, Seong-woo Bae
Nationalité Sud-Coréen

Synopsis :
Interdit aux moins de 12 ans
Un corps retrouvé sur une plage, un employé de sauna, un douanier peu scrupuleux, un prêteur sur gage et une hôtesse de bar qui n’auraient jamais dû se croiser. Mais le sort en a décidé autrement en plaçant sur leur route un sac rempli de billets, qui bouleversera leur destin. Arnaques, trahisons et meurtres : tous les coups sont permis pour qui rêve de nouveaux départs…

La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Polar poisseux, sombre, sanglant, à la maîtrise scénaristique imparable, sans formalisme écrasant, « Lucky Strike » oscille entre film noir, satire sociale et farce grand-guignol, dans un registre cocasse et absurde.

Ouest France par Thierry Chèze
Avec un puzzle scénaristique ludique et emballant, voici une nouvelle pépite du polar coréen signé Kim Yong-hoon. Un premier film incontournable.

aVoir-aLire.com par Virginie Morisson
Une vision sud-coréenne de l’adage « Bien mal acquis ne profite jamais », à la fois jubilatoire et grinçante.

CNews par La rédaction
Le premier long-métrage Yong-hoon Kim est plus que prometteur, et détonne par son histoire à tiroirs à l’atmosphère oppressante, son humour noir et son traitement original non chronologique.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Premier film de Yong-hoon Kim, « Lucky Strike » reflète une belle maîtrise de la réalisation, une originalité de ton décomplexé et un humour réjouissant.

La Voix du Nord par Christophe Caron
[…] un bijou d’humour noir et de formalisme sophistiqué.

Le Figaro par R.C.
Mensonge, trahison et meurtres sont au programme de ce film à tiroirs qui rappelle le Guy Ritchie des débuts.

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Si l’intrigue paraît d’abord nébuleuse avec la multiplication des personnages, des actions et des temporalités, le film, déjanté, ne lésine pas sur l’ironie et le gore pour amuser la galerie.

Le Parisien par La rédaction
Au bout d’une heure, le spectateur comprend néanmoins où on veut l’emmener. C’est alors avec une certaine jubilation qu’on assiste à l’accélération de l’histoire et à quelques coups de théâtre, jusqu’au dénouement un rien tiré par les cheveux.

Le Point par François Rieux
Ce thriller jouissif désenclave pour de bon le cinéma du pays du matin calme de sa niche pour initiés. Merci « Parasite » ! Et aussi un peu Tarantino.

Les Fiches du Cinéma par Simon Hoarau
Avec ce premier film, Kim Yong-hoon signe un polar aussi roublard que divertissant, où la maîtrise formelle et les rebondissements machiavéliques règnent en maîtres.

Mad Movies par Laurent Duroche
[Kim Yong-hoon] aligne sans en avoir l’air un trombinoscope de victimes de l’individualisme et du capitalisme, engluées dans leur quotidien pour avoir aimé la mauvaise personne, misé sur le mauvais business… À défaut d’originalité, la méthode fait preuve d’une férocité de trait réjouissante, idéalement calée entre réalisme implacable et digressions B à travers les agissements d’une mante religieuse machiavélique ou d’un tueur amateur de tripes.

Télérama par Jérémie Couston
Habile et réjouissant jeu de massacre sud-coréen.

Le Nouvel Observateur par François Forestier
Ce premier film est un polar amphétaminé : le ton est cynique, le monde l’est aussi, et le fric domine. C’est de la Série Noire, sans temps morts. Régalant.

Première par Christophe Narbonne
Si l’impression de déjà vu est vivace, elle est escamotée par le plaisir coupable pris devant cette débauche de mauvais goût diablement mise en scène par Kim Yong-hoon.

Télé 7 Jours par Laurent Djian
Ludique et savoureux.

Voici par La rédaction
Un premier film qui joue avec talent des codes du genre.

Critikat.com par Josué Morel
Petite comédie policière sous influence, « Lucky Strike » ne se résout pas à ne tenir que sur un prétexte ; quand bien même l’édifice repose sur ses figures bigarrées, il lui faut les enserrer dans un carcan.

Le Monde par Philippe Ridet
L’histoire se traîne un peu et la liberté que prend le réalisateur avec la chronologie dérange plus qu’elle ne stimule.

Paris Match par Fabrice Leclerc
Pas désagréable mais déjà vu.