« Je ne sais pas si c’est tout le monde », un film de Vincent Delerm 

Dimanche 26 juillet 2020  19h à Madiana V.O.

/ 0h 59min / Documentaire
De Vincent Delerm
Avec Jean Rochefort, Aloïse Sauvage, Alain Souchon
Nationalité Français

Synopsis :
Pour son premier film, Vincent Delerm prolonge son travail ultrasensible sur l’intime, la mémoire et le rapport aux autres. Qu’est-ce qui nous construit ? Que ressentent les gens autour de nous ? Nos émotions et sensations n’appartiennent-elles qu’à nous ?
Chaque personnage, célèbre ou anonyme, livre à Vincent Delerm quelque chose de lui, définissant sa sensibilité et sa manière de voir l’existence.
Témoignages qui font sourire parfois, serrent le coeur souvent, conjuguent l’intime et l’universel.
En filigrane, les propres émotions de l’auteur se dessinent le long d’un film musical, photographique, dont la narration est comme un fil invisible.

La presse en parle :

Télérama par Valérie Lehoux
Album audacieux, Panorama, et premier film poignant, Je ne sais pas si c’est tout le monde… Une plongée douce dans les souvenirs dont l’artiste a le secret.

Le Nouvel Observateur par Grégoire Leménager
Le principe : des gens célèbres (Alain Souchon, Vincent Dedienne, Emmanuel Noblet…) et anonymes (un petit garçon, une jeune femme, un ouvrier proche de la retraite…) confient tour à tour un souvenir, un rêve ou une émotion très personnelle. Avec, en point d’orgue, dans une rue sombre de Saint-Ouen, l’ultime et bouleversant dernier tournage de l’irremplaçable Jean Rochefort.

Ouest France par Thierry Chèze
Vincent Delerm prolonge son travail sur l’intime et la mémoire qui traverse son parcours de chanteur. Avec cet art de magnifier par sa poésie facétieuse ces apparents petits riens qui constituent l’essence de nos vies.

Les Inrockuptibles par Ludovic Béot
[Le film] rév[èle], à la manière d’Agnès Varda, ce que la banalité du quotidien a de beau, ce que l’apparente simplicité renferme comme poésie. A cet égard, bien plus qu’une remarquable sortie de route, [il] peut être considéré comme l’accomplissement théorique et sensible de l’œuvre de Delerm.

L’Express par Antoine Le Fur
Étrange et assez décousu, le bien nommé « Je ne sais pas si c’est tout le monde » peut lasser le spectateur à force de chercher à tout prix l’expérimentation et l’abstraction du propos. Reste une certaine émotion qui se dégage de ce film délicat et résolument inclassable.