Du 7 au 23 octobre 2019 à 19h 30 Séances VO & Art et Essai de Tropiques-Atrium
Zombi Child – Bertrand Bonello – France – 2019 – 1h43
Quinzaine des Réalisateurs
Roubaix, une lumière – Arnaud Desplechin – France – 2019 – 1h59
Sélection Officielle
Le Daim – Quentin Dupieux – France – 2019 – 1h17
Quinzaine des Réalisateurs
Bacurau – Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles – Brésil – 2019 – 2h12
Sélection Officielle – Prix du Jury
Le Jeune Ahmed – Jean-Pierre et Luc Dardenne – Belgique – 2019 – 1h24
Sélection Officielle
Atlantique – Mati Diop – France – 2019 – 1h45
Sélection Officielle – Grand Prix
Dans le cadre des Journées Nationales de l’Architecture
Les Bruits de Récife – Kleber Mendonça Filho – 2012 – Brésil – 2h11

1981 le Président de la République Française a libéré les ondes ce qui a permis à l’association APPELS de faire savoir à la population qu’il y a un grave problème de qualité de l’Eau distribuée. En 1994 après différentes tentatives, nous sommes parvenus enfin à avoir un débat télévisé sur le sujet Eau, puis en 1996 nous avons de nouveau communiqué sur l’absence de prise en compte des pesticides dans les analyses de l’Eau.
Exposition – ouvrage – colloque
L’Association Martinique Images (AMI) est née en 2015. Elle porte depuis 2018 les grands projets initiés par l’association VIRGUL’. VIRGUL’ a posé une empreinte décisive dans l’univers artistique et culturel Martiniquais, pendant plus de vingt ans. Au moyen du Conte, son principal vecteur d’actions envers la population, du bébé à la personne âgée ; le même Conte au coeur du projet de l’AMI.
Ceux qui veulent tout changer doivent arrêter de parler des autres. Ils doivent prendre le temps de nous expliquer comment ils comptent faire. Ils ont l’obligation de mettre sur la table les voies et les moyens de leur projet pour le pays. Au lieu de simplement dresser des constats et nous expliquer comment les temps ont changé, ce que tout le monde a bien compris, ils doivent prendre le temps d’expliquer leur propre vision des choses. Prendre le temps d’expliquer veut dire aussi prendre le temps d’écrire plus que des tribunes pour réagir mais écrire leur projet noir sur blanc de façon à ce que d’autres personnes comprennent un peu mieux pour soit les rejoindre ou éventuellement critiquer, amender leur vision. Le changement ne vient pas en se décrétant. Le changement ne vient pas non plus en étant exclusif. Soit se tourner vers l’avenir ou soit se tourner vers le passé. Le raisonnement intellectuel nous demande justement d’être nuancé.
Paris – Ce n’est ni un bretzel, ni un emoji, ni un alien… Longtemps caché, mal représenté et mutilé, le clitoris s’affiche grâce aux féministes de la nouvelle génération, qui cherchent à libérer la parole autour d’un sujet encore tabou, le plaisir féminin.
Fake news, « bots » ou « trolls » : les techniques de propagande numérique sont de plus en plus exploitées par les partis politiques et les gouvernements, selon une étude de l’Université d’Oxford. Au moins 70 pays ont été touchés au cours des dernières années, avec Facebook comme canal privilégié.


Une enquête préliminaire a été ouverte après des révélations sur de présumés stocks enfouis de
Au lendemain de la disparition de l’ancien président de la République, les réactions sont peu respectueuses des clivages politiques traditionnels. En Martinique, la droite lui sait gré d’avoir été un président gaulliste, à l’origine de plusieurs mesures positives pour les DOM dont deux des plus emblématiques furent la défiscalisation et l’extension du SMIG métropolitain. D’autres relèvent tout juste que l’ancien président de la République aimait nos accras et avait le bonheur de faire entrer le punch martiniquais à l’Elysée. D’autres encore, devenus marginaux, sont surtout arcboutés sur sa fameuse saillie sur les « bruits » et les « odeurs ». Cette tirade qui lui avait valu la réputation de raciste avait fait le miel de la gauche martiniquaise sur les murs et les discours pendant les campagnes électorales qui avaient suivi. Certains élus durent leur succès à ce facile argument.
Un ministère de la culture « plus proche des Français ». C’est l’ambition affichée par Franck Riester lors de sa présentation, vendredi 27 septembre, du budget de la culture pour 2020. Alors que le ministère créé par Charles de Gaulle fête ses 60 ans, le locataire de la rue de Valois a annoncé une hausse du budget de 73 millions d’euros pour l’année à venir, qui bénéficiera notamment à l’éducation artistique, à la protection du patrimoine, ainsi qu’au renforcement de l’offre culturelle de proximité dans les territoires. Voici un aperçu de ses projets.
13 novembre 2019, 14h30 – 16h30
— Présentation par Sophie Ravion d’Ingianni, commissaire d’exposition —
— Par Nathalie Augustine, Esther Dalmasie, Philippe Clarenc —
Comment innover dans le chocolat sans ajouter toutes sortes d’arômes ou d’ingrédients? En utilisant le fruit du cacaoyer, et rien d’autre. Le leader mondial du cacao Barry Callebaut a présenté vendredi une nouvelle façon de fabriquer du chocolat pour répondre aux défis d’une industrie qui cherche à se renouveler.
La cantatrice Jessye Norman, icône américaine de l’opéra, est décédée d’une septicémie lundi à New York à l’âge de 74 ans. Sa voix remarquable a inspiré le monde entier, notamment l’Europe où elle s’est installée à la fin des années 1960.
«
L’état de la planète est critique et nous en sommes responsables, nous rappelle
Greta Thunberg née le 3 janvier 2003 à Stockholm, est une militante suédoise pour la lutte contre le réchauffement climatique.
Elle avait une envie viscérale de comprendre le drame de la migration. Mais, elle avait peur d’aller dans la « jungle » de Calais pour appréhender l’état déplorable de l’Europe. Donc, la metteure en scène française Catherine Boskowitz a traversé une partie du continent en bus pour arriver en Grèce, le point de départ du périple européen de beaucoup de migrants. Ce qu’elle a vu et vécu avec eux a inspiré « Le pire n’est pas (toujours) certain », présenté en première aux Francophonies à Limoges, en France. Entretien.
Troisième roman de Diana Evans, Ordinary People décrit, à travers deux couples quarantenaires les failles et les errances d’hommes et de femmes issus d’une classe moyenne auxquels le pouvoir d’achat en baisse offre peu de perspectives. L’auteure anglaise plonge le lecteur dans la vie intime et domestique de deux cocons familiaux au bord de la rupture, celui de Michael et Melissa, rencontrés il y a plus de dix ans, parents de deux enfants, et de Damian et Stéphanie, mariés depuis bientôt quinze ans, trois enfants. Que devient le couple face aux ambitions personnelles et professionnelles déçues ? Aux longs trajets pendulaires ? À l’argent qui manque toujours un peu ? Diana Evans se fait l’observatrice de la vie conjugale confrontée au capitalisme et à la crise, et décrit minutieusement la fragile architecture amoureuse.