Nom de famille, nom de naissance, nom patronymique, nom d’usage, nom de « jeune fille » ou encore nom marital : existe-t-il vraiment une différence entre tous ces termes ?
Oui et non répond Service-public.fr dans sa fiche concernant le nom de famille, le nom patronymique, le nom d’usage et le nom marital .
En effet, le nom de famille, le nom de naissance et le nom patronymique ont la même signification : il s’agit du nom inscrit sur votre acte de naissance.
Par contre, le nom d’usage est un nom utilisé dans la vie quotidienne. Il ne remplace pas votre nom de famille qui reste le seul nom mentionné sur vos actes d’état-civil.
Quant au nom marital, il s’agit en fait du nom de votre époux ou de votre épouse que vous décidez de prendre comme nom d’usage.

Jazz
Sylvie Chalaye est anthropologue et historienne, codirectrice de l’Institut de recherche en études théâtrales de la Sorbonne Nouvelle-Paris 3. Pascal Blanchard est historien, chercheur LCP/CNRS (Paris), codirecteur du Groupe de recherche Achac
Guerre civile du Suriname
La thèse de doctorat du linguiste haïtien Pradel Pompilus soutenue à la Sorbonne le 9 décembre 1961, « La langue française en Haïti » (Paris, Institut des hautes études de l’Amérique latine – Travaux et mémoires, VII) et publiée en 1981 aux Éditions Fardin constitue un document pionnier dans l’étude du français régional d’Haïti. À propos de cette thèse, le linguiste Hugues Saint-Fort pose en toute rigueur que « (…) c’est une pièce d’une valeur qui n’est pas encore dépassée. « La langue française en Haïti » de Pradel Pompilus représente actuellement, en 2011, le seul ouvrage de recherche qui décrive, dans les règles des principes et avancées universitaires de l’époque (fin des années 1950 et début des années 1960), le fonctionnement réel de la langue française en Haïti telle qu’elle est en usage par les locuteurs haïtiens. Le livre de Pompilus n’est absolument pas basé sur les notions de correction, de « bon usage », de purisme. » (Hugues Saint-Fort, «
Marialy Pacheco – Richard Bona & Alfredo Rodriguez
Collection Connaissance de l’Inconscient, Série Le principe de plaisir, Gallimard
Mike Birch est un navigateur canadien. Il est né le 1er novembre 1931 à Vancouver au Canada.
L’Eau, cet important constituant biologique, essentiel pour tous les organismes vivants, a été polluée en Martinique, par des résidus pesticides utilisés dans les bassins versants des captages des usines de production de notre Eau de boisson.
Un bus neuf de la société trinitéenne CTCN a été incendié volontairement samedi 23 novembre 2019 alors que cette entreprise effectuait sa mise en service que depuis deux semaines.
Le prix littéraire « Fetkann! Maryse-Condé » récompense depuis seize éditions la création littéraire des pays du sud. Créé par José Pentoscrope, Président du CIFORDOM, il intervient dans le cadre de l’application de la loi Taubira du 10 mai 2001 qui reconnaît la Traite négrière et l’Esclavage comme crimes contre l’Humanité. Texte de loi Il met l’accent sur les principes républicains « Liberté, Égalité, Fraternité » et favorise le travail de Mémoire des pays du Sud et de l’Humanité toute entière. Ce concours récompense les ouvrages, recueils, travaux de recherche et essais qui mettent l’accent sur l’affirmation des droits de l’homme et favorisent le travail de Mémoire des pays du Sud et de l’Humanité toute entière.
«Du temps de l’esclavage dans les isles-à-sucre, il y eut un vieux-nègre sans histoires ni gros-saut, ni manières à spectacle. Il était amateur de silence, goûteur de solitude. C’était un minéral de patiences immobiles. Un inépuisable bambou. On le disait rugueux telle une terre du Sud ou comme l’écorce d’un arbre qui a passé mille ans. Pourtant, la Parole laisse entendre qu’il s’enflamma soudain d’un bel boucan de vie.
Charles Poncet de Brétigny est un explorateur français du xviie siècle. Il est le fondateur de la Compagnie de Rouen et de la colonie de Cayenne en Guyane.
Alors que la National Gallery de Londres consacre une exposition aux portraits de Paul Gauguin, le « New York Times » a publié ce lundi 18 novembre un article invitant à revoir l’héritage du peintre à l’aune de ses relations avec des Polynésiennes de 13 et 14 ans.
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
Emmanuel Macon a été « bouleversé par la justesse » des « Misérables » et a demandé au gouvernement d’agir pour améliorer les conditions de vie dans les quartiers.
Le temps d’une soirée, le Théâtre de la Michodière à Paris s’est transformé en cour d’assises pour juger un drame inspiré de plusieurs faits divers.
« Je ne suis pas votre escalave ». Ces mots peuvent suffire à déchaîner la haine et la violence dans certains villages de la région de Kayes, dans le sud-ouest du Mali, où « l’esclavage par ascendance » continue de se pratiquer, et condamne des personnes à être considérées inférieures par d’autres. Mais ils sont de plus en plus à s’opposer à cette tradition. Nous sommes allés à leur rencontre.
Il y a une guerre contre les femmes et cette guerre ne connait pas de trêve. Les victimes sont indénombrables : elles sont nous toutes les femmes. Cette guerre a pour champs de bataille les foyers, les berceaux, l’espace public, les trottoirs, les médias, les œuvres littéraires… Elle ne connait pas de cessez-le-feu. La nuit, le jour, de la naissance au cercueil : on nous tue, on nous viole, on nous découpe, on nous humilie, on nous déshabille, on nous séquestre, on nous exploite. Par amour, par passion vous dites ? Nous sommes libres, nous sommes belles, nous sommes cruelles… dites-vous ? Ce discours des classes dominantes qui nous berce et nous désarme, un jour bientôt, demain, n’aura plus d’écho.
Le gwoka (ou gwo ka) est un genre musical de la Guadeloupe. Il est principalement joué avec des tambours appelés « ka », famille d’instruments de percussion. Les autres instruments sont le chacha (une sorte de maraca) et le tibwa (instrument formé de deux baguettes de bois qu’on frappe sur l’arrière d’un tambour ou sur un morceau de bambou)1, qui lui, ne fait pas partie du gwoka guadeloupéen mais du bèlè martiniquais. Le gwoka authentique, pratiqué en Guadeloupe, est joué sans les baguettes de bois pour frapper à l’arrière du tambour ou du bambou .
Très librement adaptée des Mille et une nuits
Texte français de Myriam Tanant et Jean-Claude Penchenat