— Par Ismael Clark Arxer —
Il existe certainement une relation sensible entre ces questions délicates mais, au-delà de sa simple constatation, le plus important est sans doute de ce demander : Quel est le caractère de celle-ci ? Quelle est son évolution prévisible ?
Le Monde est confronté une situation particulière depuis quelque temps, dans laquelle les prix des denrées alimentaires augmentent progressivement d’année en année et il paraît que cette tendance se maintiendra dans le futur. Plusieurs facteurs interviennent dans ce panorama complexe, s’entrelaçant et se combinant pour conformer une image généralement adverse.
L´un de ces facteurs négatifs est la réduction observée dans certaines cultures essentielles. Par exemple, c’est un fait que lors de l’année 2012 on a enregistré une diminution de la production mondiale de blé, de l´ordre de plus de cinq pour cent.


« J’appartiens à la race blanche, vous appartenez à la race noire. » Ainsi Eric Zemmour traçait-il, en novembre 2008, sur Arte, une ligne de démarcation entre lui et son interlocutrice, la militante antiraciste Rokhaya Diallo. L’écrivaine Nancy Huston et le biologiste Michel Raymond (CNRS) viennent aimablement d’offrir au polémiste, cinq ans plus tard, une formidable caution scientifique et intellectuelle.






Anniversaire, commémoration, journées mondiales …
Que nous soyons tous différents, selon nos origines, nos conceptions politiques, religieuses, idéologiques, nos âges ou nos expériences diverses, quoi de plus normal dans toute société démocratique ? Mais il arrive que les démocraties se perdent, dans des expériences négatives. Cela se produit lorsque nous oublions le sens du bien commun, surtout quand l’Etat et les partis politiques n’ont guère le souci d’un sens plus élevé de la politique. C’est ce qui s’est produit avec la tragédie de la chlordécone. Des intérêts particuliers ont prévalu sur le bien public. Il appartient donc aux différentes composantes de la société civile de se révolter et de réaffirmer le sens du bien public c’est-à-dire de l’intérêt général. Telle la tache de l’heure, celle qui nous dicte de manifester le premier juin contre la reprise de l’épandage aérien. Et nous devons le faire pour plusieurs raisons :








