— Par Florent Melach —
Un article de journal est paru la semaine dernière sur mon quartier : l’Anse Mitan aux Trois-Ilets. Chaque fois qu’il est question de mon quartier, je ne peux que rebondir sur ce qui est dit.
Il est question dans cet article de la vive réaction de résidants vis-à-vis du propriétaire d’un restaurant en raison des nuisances sonores de son établissement. Celui-ci se considère victime d’un harcèlement de la part des riverains et des forces de l’ordre !?
En lisant attentivement l’article je ne peux m’empêcher de relever des contradictions de la part du restaurateur-victime.
Le restaurateur se plaint des visites répétées des gendarmes qui lui demandent de baisser le niveau sonore de la musique. Il dit s’y soumettre. Si la maréchaussée repasse pour le même ordre c’est que celui-ci n’est pas respecté une fois qu’elle n’est plus présente. Il est étrange qu’il ne vienne pas à l’idée de ce Monsieur que, s’il se pliait aux injonctions, il se ferait oublier et que ses clients ne seraient pas l’objet de contrôles excessifs.
Les gendarmes font simplement leur travail qui est de faire respecter l’ordre.