— Par Robert Saé, du CNCP —
Bien sur, il faut des règles et des lois pour régenter la vie en société. Évidemment, des institutions doivent être mises en place pour les faire respecter afin de garantir l’harmonie sociale. Une fois cela admis, qui peut ignorer que, dans la société, existent des classes sociales dont les intérêts sont divergents ? Qui ne sait pas que celles qui s’emparent du pouvoir par la violence imposent des lois visant à perpétuer leur domination sur les classes exploitées ? Le coup de force perpétré par le gouvernement Français pour imposer le saccage des retraites nous donne l’occasion de déconstruire la propagande menée par les classes dominantes pour légitimer leurs exactions.
Dans l’opinion publique, s’est imposée comme une évidence, l’idée que le respect de la Constitution, de « l’état de droit » et des lois ne peut ni ne doit, en aucun cas, être remis en cause. C’est le résultat d’un endoctrinement qui commence à l’école et qui est entretenu par la propagande de ceux qui contrôlent le pouvoir. Pourtant, la quasi totalité des lois régissant la propriété, les brevets, le droit des affaires, les rapports entre salariés et patrons, les relations commerciales entre pays (etc.)

Clichés , faux en écriture des chroniqueurs , falsifications et destructions des archives à des fins politiques et idéologiques surtout sous les révolutions et changement de régimes et des institutions, et stéréotypes racistes , des généralités incontournables qui sont le lot commun lorsque l’on s’imagine l’histoire des pays du monde . Cette loi d’airain n’échappe pas à ces imaginaires collectifs, fruits d’échos et d’illusions qui déforment souvent la réalité bien plus amère de ce pays Guadeloupe qui suscite tant de passions, comme si la Guadeloupe mythique des « luttes contre les discriminations sociales » ou des « mille et un rêves de liberté des esclaves » devait à tout prix assouvir nos chimères et nos fantasmes les plus envoutants. Mais il suffit de regarder à l’ombre du passé pour anéantir la légende des bienfaits de la colonisation : extermination, racisme structurel , pauvreté extrême, insalubrité, persécutions , discrimination ou viols impunis…
Un des géants des Grammacks, Anthony Curvin Serrant, ancien guitariste, auteur, compositeur, arrangeur et chanteur est décéd le 14 avril 2023.
La française Justine Triet fait partie des six réalistrices en lice pour la Palme d’Or lors de la 76e édition du Festival de Cannes.
L’Ensemble Chorégraphique est l’équivalent d’une compagnie professionnelle, mais dont les danseurs et danseuses de haut niveau sont en master d’interprètes au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, qui est une des meilleures écoles au monde.
Cinq lauréates du Grand Prix Martial Sinda de la poésie francographe
Le présent article s’inspire amplement de la lecture du livre « 
Dormez braves gens ! nous ferons DEMAIN le nécessaire et d’un seul coup… pas nous bien sûr, mais… nos enfants, car il faudra bien qu’ils se débrouillent s’ils veulent continuer des vies acceptables ! C’est le message que nous pouvons entendre dans la sournoiserie ambiante dans nos instances.
Le tout dernier ouvrage de l’écrivain martiniquais Jean-François Liénafa se présente comme à la fois un recueil de poèmes en (excellent) créole, et un petit condensé de proverbes, mots et expressions qui eux-aussi disent « l’âme créole ». Il est à noter que les mots créoles que recueille Liénafa sont aussi des prénoms. L’auteur s’intéresse à leur charge poétique (Atansioniz, Nowéliz…) ; il relève aussi des surnoms, parfois explicites, souvent énigmatiques (Agodom-dachin, Blengendenng, Bofio, Granzonng, Lotomangous, Twakadjab…). Le ti-non créole à partir d’un prénom peut être création, comme dans les exemples suivants : Mano (de Emmanuel), Fayo ou encore Afarel (de Raphael), Milo (de Émile), Silot (de Cécile) etc.
Il s’agit d’un sujet brûlant pour les outre-mer, l’aide à la continuité territoriale vise à ne pas isoler les territoires et découle du principe d’égalité entre les citoyens. Par définition, les outre-mer ne peuvent pas disposer d’une offre de services (qu’ils soient sportifs, économiques ou scolaires) équivalente à celle existante en métropole. Identifiée de longue date comme une solution, la continuité territoriale peine de plus en plus à produire les effets attendus. La faute principalement à un manque de budget de l’organisme chargé de faciliter la continuité territoriale, l’Agence de l’outre-mer pour la mobilité (LADOM). Pour les rapporteurs, Catherine Conconne, sénatrice socialiste de la Martinique, et Guillaume Chevrollier, sénateur Les Républicains de la Mayenne, la continuité territoriale est aussi un enjeu d’attractivité et de cohésion des territoires. Un sujet relativement transpartisan selon Stéphane Artano (RDSE), président de la délégation sénatoriale aux outre-mer, conçoit le rapport comme une « prise de pouls des territoires ». Ce dernier pointe la nécessité d’une réforme « systémique », pour « faire en sorte que la continuité territoriale ne soit pas perçue comme un facteur d’isolement ».
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A observer la macronie, les LR, et le Modem, tous ne jurent apparemment très sincèrement depuis l’écriture de la réforme des retraites pondue ces derniers mois, que par la répartition. On aurait même oublié la réforme par points – qui ouvrait largement la porte à la capitalisation – proposée en 2019 par Macron, tant lui et ses partisans apparaissent comme les plus ardents défenseurs de la répartition. Pourtant, lorsqu’a été créée la Sécurité sociale en 1945, tout ce que la droite comptait comme réactionnaires, a combattu celle-ci, précisément parce que c’était un système par répartition, à l’opposé de la capitalisation dans lequel c’est la capacité pécuniaire individuelle qui prime, et pas les besoins de chacun. Avec la Sécu et la répartition, on passait alors au moins partiellement, de « à chacun selon ses capacités » à « à chacun selon ses besoins ». Sauf que leur apparente sincérité tiendrait la route si tous, depuis des décennies, n’avaient pas combattu et cherché en permanence à casser la Sécu, au point de la rendre dans son état actuel, presque « hostile » aux intérêts du plus grand nombre.
La peur du débat et l
La ville capitale et Cinéwoulé invitent à la projection en plein air du film « Cry Macho ».
Selon cette étude Ifop-Fiducial réalisé pour Sud Radio, la proportion de croyants varie fortement en fonction de la tranche d’âge, le lieu d’habitation ou le niveau de revenus
Le capitaine Volkonogov s’est échappé
Un grand livre illustré d’une centaine de photographies, pour expliquer l’esclavage aux enfants.
À Madiana
Tropiques Atrium – Salle Frantz Fanon
À Madiana
À Madiana
Tropiques Atrium – Salle Frantz Fanon
Pierre Lacotte, né le 4 avril 1932 à Chatou (Seine-et-Oise à l’époque, Yvelines de nos jours) et mort le 10 avril 2023 à La Seyne-sur-Mer, est un danseur et chorégraphe français. Il est reconnu pour ses activités et ses chorégraphies, faisant revivre le patrimoine du ballet.
Tropiques Atrium – Salle Frantz Fanon