MOT pour mots, le festival littéraire du “Monde”, de “L’Obs”, de “Télérama” et de France Inter.
Se rencontrer, se voir, se parler… De cela, tous, auteurs autant que lecteurs, en ressentent un besoin pressant, une envie immense, après ces mois de solitude face aux livres ouverts, qui furent nos plus fidèles compagnons !
Jean Birnbaum, sur le site du journal Le Monde :
Depuis leur fondation, Le Monde, Télérama et L’Obs ont placé le livre au cœur de leur vocation. Le livre comme texte dont on rend compte dans les pages de critiques, bien sûr. Mais aussi le livre comme ressource essentielle, toujours à portée de main lorsqu’on veut éclairer telle ou telle actualité sociale, politique ou internationale. Bref, le livre comme univers de réflexes quotidiens, de gestes ordinaires, qui inscrit la mission d’informer dans l’espace de la mémoire, dans l’urgence d’une responsabilité. Nos lectrices et nos lecteurs le savent bien, qui ne manquent pas une occasion de nous rappeler la place centrale que le livre occupe dans nos traditions.
Avec l’actuelle pandémie, cette injonction a revêtu une nécessité particulière.

C’est la première fois qu’un Français remporte ce prix, décerné aux livres étrangers traduits et publiés dans l’année au Royaume-Uni ou en Irlande. David Diop a 55 ans. Né à Paris, il a grandi au Sénégal. 
An manman sé lé kat éléman
(Questionnaire du critique littéraire Dan Burcea)

Après des décennies d’absence dans le domaine de la fiction, durant
Paris – Jean Castex a annoncé mardi qu’il missionnait deux députés afin de « tirer toutes les conséquences » de la décision controversée du Conseil constitutionnel de censurer « l’enseignement immersif » en langues régionales, voté dans le cadre d’une proposition de loi à l’Assemblée.
Roman français – créole
Les poèmes et les romans de l’écrivain paraissent dans la Pléiade dans leur version originale, sous la direction d’Emmanuelle Lambert et Gilles Philippe. Pouvoir les lire tels qu’il les a écrits permet de revivre le choc causé lors de leur irruption en 1940 dans une littérature qu’il allait marquer durablement.
Après avoir été lauréate du Prix Nobel « alternatif » de littérature en 2018, l’écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé est de nouveau distinguée et recevra le 2 juin prochain de l’Institut de France, le prestigieux prix mondial Cino-Del-Duca 2021, le prix littéraire le mieux doté du monde après le Nobel de littérature. Une nouvelle consécration internationale pour celle, dont l’ambition est aussi de faire entendre la voix de la Guadeloupe.

Recension du livre «
Recueil des textes proposés par les candidat·e·s du concours organisé pour accompagner la présentation de la yole à l’
Présentation 
UI MÉ TALA…
… ! J’ai besoin d’un AVOCAT qui ne me trahira pas,
Faut-il être Noire pour traduire un poème écrit par un Noire ? Faut-il être arabe pour traduire un texte écrit par un arabe ? Faut-il être Algérien pour traduire l’œuvre d’un auteur algérien ? Ces questions font actuellement débat en raison de la polémique autour de la traduction en néerlandais du poème d’Amanda Gorman. Pour mémoire, cette jeune Afro-américaine avait fait sensation dans le monde entier en lisant son texte, The Hill We Climb, (La colline que nous gravissons) lors de la cérémonie d’investiture du président américain Joseph Biden en janvier dernier.
Réalisée par Cédric Aussir, cette adaptation du chef-d’œuvre de Voltaire est un bijou radiophonique. Enlevée, drôle et servie par une distribution de rêve.
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