— Le n°271 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Après 3 jours et 3 nuits de blocage de l’entrée de l’Usine de production d’eau potable de Vivé (Lorrain), les habitant.e.s du Morne Capot – regroupé.e.s au sein de leur association « DLO MON KAPO »- , ont pu faire valoir leurs légitimes revendications auprès…du « Président du Conseil Exécutif de Martinique »-, le Président de CAPNORD de recevoir les représentants de l’association.
Leurs revendications ? Identiques pratiquement à celles à celles exprimées en … 2021, et que les responsables de CAP NORD avaient été contraints d’examiner rapidement, suite au barrage inédit de l’entrée de l’usine. Immédiatement, 6 citernes remplies d’eau avaient alors été mises à la disposition des usagers.
Au mois d’octobre 2022, ils demandaient simplement le remplissage de ces 6 citernes asséchées, depuis un mois. Le problème, c’est que toutes les institutions impliquées dans ce dossier – principalement CAP NORD – se renvoient la balle de la dépense.
Plus fondamental encore, rappelons que dès 2021, promesse leur avait été faite de réparer la canalisation reliant la rivière du Lorrain à leur quartier au Morne Capot ; un raccordement qui jusqu’en… 1993, leur avait permis un accès direct à l’eau et en abondance… !

Aujourd’hui, environ deux cents prisonnier-ères politiques croupissent dans des conditions infâmes dans les geôles du Nicaragua. Ironie amère, parmi ces victimes se trouvent d’anciens héros, d’anciennes héroïnes de la révolution sandiniste de 1979 dont se réclame encore officiellement Daniel Ortega, l’actuel président.
Le 2 novembre, à l’occasion de la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes, l’UNESCO renouvelle son appel à prendre toutes les mesures nécessaires pour que les crimes commis contre les journalistes fassent l’objet d’enquêtes appropriées et que leurs auteurs soient identifiés et condamnés. Selon les nouvelles données de l’UNESCO, le taux d’impunité mondial pour les meurtres de journalistes s’élève à 86%.
Depuis juin 2021, 

Le 16 juillet dernier(
ANALYSE. Durant son mandat, Jair Bolsonaro n’a cessé de diffuser un discours populiste ancré dans une sorte de « post-vérité », notamment sur le dossier de l’Amazonie.
Le romancier, poète et essayiste Lyonel Trouillot, l’une des voix majeures de la littérature haïtienne contemporaine, s’est fait l’écho d’un large secteur de la société civile haïtienne en dénonçant, dans un texte récent diffusé d’abord par courriel le 18 octobre 2022, l’appui public du linguiste Michel DeGraff au cartel politico-mafieux du PHTK en Haïti. Artisan d’une œuvre littéraire forte et singulière élaborée dans les deux langues officielles du pays, le créole et le français, l’auteur de «
M pa antre nan deba lengwistik ayisyen an nan dimansyon teknik li. Mwen pa gen konpetans pou sa. Kòm sitwayen e kòm moun ki reflechi anpil sou enjistis ak inegalite sosyal, mwen gen pozisyon m sou ki politik lengwistik ki dwe patisipe nan kreyasyon yon sosyete ki va donnen plis jistis ak egalite, men se pa sou sa m ap pale jodi a.
Ingénieurs ou ouvriers, chercheurs ou main d’œuvre, que manque-t-il le plus à la Martinique ? C’est la question qu’on peut se poser après l’émission du 12 octobre 2022 sur Martinique-la-1
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt le témoignage de Monsieur
La question abordée par Yves-Léopold MONTHIEUX au sujet du
Sao Paulo – « Petit dictateur », « honte nationale »: les attaques ont fusé entre Lula et Jair Bolsonaro dimanche, lors du premier débat télévisé mettant face à face les deux adversaires du second tour de la présidentielle brésilienne, dans deux semaines.
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Une manifestation émaillée de violences a rassemblé des milliers de Haïtiens, lundi à Port-au-Prince, contre le gouvernement et son appel à la communauté internationale pour une « force spécialisée armée » afin de faire face à l’insécurité, à la crise humanitaire et à une épidémie naissante de choléra.
ENTRETIEN
Ou sont passés tous ces Blancs qui ont été accusés de « génocider » le peuple martiniquais depuis plus d’un demi-siècle ? On ne les voit pas dans les statistiques, on ne les voit pas non plus dans des cimetières dédiés. Le phénomène est pourtant inscrit dans le marbre de la conscience martiniquaise. Ainsi, chaque fois qu’est abordée la question de la baisse de la population en Martinique, chacun, de Ti Sonson au député du coin, y va de son couplet sur le «
A l’occasion de la visite du ministre de l’intérieur et des « Outre-mer », les syndicats de policiers et nos élus ont insisté sur l’accroissement de la délinquance en Martinique et, en particulier sur le trafic d’armes, le trafic de drogue et les homicides.