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Des parlementaires écologistes et indépendantistes se mobilisent aux côtés des marins‐pêcheurs Martiniquais
Suite à la réunion organisée le mardi 15 janvier 2013 au ministère des Outre‐Mer sur les problèmes des marins‐pêcheurs et sur le développement de la pêche en Martinique, des parlementaires écologistes et indépendantistes, des représentants de MODEMAS‐Ecologie (Mouvement démocratique pour une Martinique souveraine) et des marins‐pêcheurs Martiniquais se sont réunis ce mercredi 16 janvier 2013 au Sénat.
Aline ARCHIMBAUD, Sénatrice EELV de Seine‐Saint‐Denis et membre de la délégation sénatoriale à l’Outre‐Mer, a exprimé sa « totale solidarité avec les marins‐pêcheurs » et a réaffirmé « l’urgence des enjeux économiques, sociaux, sanitaires, démocratiques et bien sûr environnementaux de ce drame du chlordécone ».
Monsieur Georges‐Emmanuel GERMANY, porte‐parole du MODEMAS, a déclaré que « l’Etat reprend d’une main ce qu’il a donné de l’autre », compte tenu des discussions sur les critères d’attribution de l’aide d’urgence accordée aux victimes du chlordécone, initialement prévue pour être attribuée sans conditions.
Jean‐Philippe NILOR, Député de Martinique, s’est montré extrêmement préoccupé que « l’on s’enfonce dans une approche coloniale des choses », avec un État qui « désigne ses interlocuteurs ».




Les résultats provisoires de l’étude sur le recensement de 2008 menée par Maks Banens et Éric Le Penven montrent une concentration des couples de même sexe dans les villes ; plus celles-ci sont importantes, plus le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Dans l’agglomération parisienne, 7,4 couples sur 1.000 sont de même sexe, soit 19.000 couples. À Paris intra-muros, 2,4 % des couples sont homosexuels. Plus la ville est petite et moins le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Avec des exceptions. Comme à Montpellier où, pour 1.000 couples, 6,8 sont de même sexe. « Pour les couples de lesbiennes, Montpellier est la première ville de France », relève Maks Banens, avec 2,7 couples de femmes pour 1.000, contre 2,4 pour 1.000 à Paris.










Poursuivi pour injures raciales par un collectif antillais, l’humoriste Nicolas Bedos s’est déclaré « peiné que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », mercredi 9 janvier sur France info. « Il faut apprendre à lire un papier qui est l’inverse exactement de ce qu’ils ont compris. Cela me fait de la peine que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », s’est insurgé l’humoriste, assurant qu’il a écrit « une satire du touriste gros con facho qui vient justement dans les îles pour se dorer la couenne ».




Michèle Barrière, historienne de la gastronomie, revient sur une tradition héritée de l’antiquité où se mêlent rite païen et culture chrétienne.
