— Par Pascal Jouary et Audrey Loussouarn —
 Chaque passage du polémiste dans une émission vaudrait une condamnation. En quête d’audience, les journalistes continuent à l’inviter, reprenant à peine ses inepties.
Chaque passage du polémiste dans une émission vaudrait une condamnation. En quête d’audience, les journalistes continuent à l’inviter, reprenant à peine ses inepties.
Les conférences d’Éric Zemmour, au moment de la sortie de son nauséabond Suicide français, ont fait le plein en 2014. De studios de radio en plateaux de télévision, les médias lui ont déroulé le tapis rouge. Nouveau livre, même schéma. Et pour Un quinquennat pour rien, à chaque passage, la même observation : le polémiste crache son monologue anti-islam sans quasiment aucune reprise, par manque de préparation des journalistes ou tout simplement par recherche du buzz potentiel.
Premier exemple, le 6 septembre, dans C à vous sur France 5. Anne-Sophie Lapix, entourée de son équipe, a bien du mal à lui opposer des arguments solides : la journaliste le provoque sur l’islam, cherchant mine de rien à lui faire dire le pire. Pari gagné. Dans ses propos, rien de moins que des appels à la haine et une réinterprétation du Coran et de l’histoire, invérifiables parfois. Face à lui, Patrick Cohen est décontenancé.

 La Guadeloupe est en crise et la Martinique n’avance pas car elle est en panne : Nos régions se vident de leurs forces vives , nos villes débordent de manifestations quotidiennes de violence et notre cohésion sociale est mise à mal .La crise sociétale actuelle en Guadeloupe et la crise larvée en Martinique mettent en lumière un phénomène préoccupant : l’exil des jeunes diplômés couplé avec la délinquance d’autres jeunes restés au Pays . Avec cette crise de société , c’est un fait, de plus en plus de jeunes sont tentés par la délinquance et l’oisiveté alors que d’autres préfèrent aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Depuis les années 2000, l’expatriation des Guadeloupéens et Martiniquais est ainsi en croissance régulière, de l’ordre de 5 à 6% chaque année . La première des grilles d’analyses relève de la sphère économique. Nos pays respectifs ont incontestablement une difficulté avec leur jeunesse.La faute est à cet exode des jeunes qui a commencé au milieu du 20e siècle avec le BUMIDOM et qui s’est poursuivi pendant les années de crise avec nos jeunes qualifiés .La
La Guadeloupe est en crise et la Martinique n’avance pas car elle est en panne : Nos régions se vident de leurs forces vives , nos villes débordent de manifestations quotidiennes de violence et notre cohésion sociale est mise à mal .La crise sociétale actuelle en Guadeloupe et la crise larvée en Martinique mettent en lumière un phénomène préoccupant : l’exil des jeunes diplômés couplé avec la délinquance d’autres jeunes restés au Pays . Avec cette crise de société , c’est un fait, de plus en plus de jeunes sont tentés par la délinquance et l’oisiveté alors que d’autres préfèrent aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Depuis les années 2000, l’expatriation des Guadeloupéens et Martiniquais est ainsi en croissance régulière, de l’ordre de 5 à 6% chaque année . La première des grilles d’analyses relève de la sphère économique. Nos pays respectifs ont incontestablement une difficulté avec leur jeunesse.La faute est à cet exode des jeunes qui a commencé au milieu du 20e siècle avec le BUMIDOM et qui s’est poursuivi pendant les années de crise avec nos jeunes qualifiés .La — Par Lilian Truchon Philosophe —
— Par Lilian Truchon Philosophe — « Tout ce que je fais c’est du rap. Mon plus gros crime c’est de parler fort, de ne pas fermer ma gueule » . Ce sont les paroles de Tupac alors qu’il se tenait à l’extérieur du tribunal où son procès avait lieu courant 1994 ou 1995. Il a aussi dit : « Je sais être responsable de ce que j’ai fait mais je ne sais pas être responsable des actes de tous les hommes noirs au Etats-Unis. Ce n’est plus mon procès. C’est le procès du rap, de ma personnalité » .
« Tout ce que je fais c’est du rap. Mon plus gros crime c’est de parler fort, de ne pas fermer ma gueule » . Ce sont les paroles de Tupac alors qu’il se tenait à l’extérieur du tribunal où son procès avait lieu courant 1994 ou 1995. Il a aussi dit : « Je sais être responsable de ce que j’ai fait mais je ne sais pas être responsable des actes de tous les hommes noirs au Etats-Unis. Ce n’est plus mon procès. C’est le procès du rap, de ma personnalité » . Tous les matins en allant travailler je regarde le couloir de bus du TCSP et je suis aigrie.
Tous les matins en allant travailler je regarde le couloir de bus du TCSP et je suis aigrie.
 Tous les indicateurs montrent aujourd’hui que la Guadeloupe et la Martinique ne vont pas bien et cela peut inciter en effet la masse croissante des laissés-pour-compte, des précaires, des jeunes aux diplômes dévalorisés, des éternels stagiaires, à cesser d’attribuer leurs échecs à des causes personnelles ou psychologiques, pour les rapporter à des évolutions collectives découlant des prochaines élections présidentielles en France hexagonale . Il va falloir moins de 2 ans pour mettre clairement en évidence cette nouvelle dynamique de déclassement de la classe moyenne en Guadeloupe et Martinique , non encore installée dans les réalités objectives , et que notre capacité de déni nous empêche de voir clairement . Ce retournement dynamique apparaît aujourd’hui dans un contexte où, pendant des décennies, la classe moyenne a fait figure de maillon le plus solide et le plus dynamique de la société Antillaise . Elle est considérée comme une classe de confort avec le bonus de salaire des 40% de vie chère , protégée et choyée, stable, située fort loin au-dessus de l’écume des difficultés des classes populaires en maîtrisant son destin social et partageant une culture de sécurité et de confiance dans l’avenir .
Tous les indicateurs montrent aujourd’hui que la Guadeloupe et la Martinique ne vont pas bien et cela peut inciter en effet la masse croissante des laissés-pour-compte, des précaires, des jeunes aux diplômes dévalorisés, des éternels stagiaires, à cesser d’attribuer leurs échecs à des causes personnelles ou psychologiques, pour les rapporter à des évolutions collectives découlant des prochaines élections présidentielles en France hexagonale . Il va falloir moins de 2 ans pour mettre clairement en évidence cette nouvelle dynamique de déclassement de la classe moyenne en Guadeloupe et Martinique , non encore installée dans les réalités objectives , et que notre capacité de déni nous empêche de voir clairement . Ce retournement dynamique apparaît aujourd’hui dans un contexte où, pendant des décennies, la classe moyenne a fait figure de maillon le plus solide et le plus dynamique de la société Antillaise . Elle est considérée comme une classe de confort avec le bonus de salaire des 40% de vie chère , protégée et choyée, stable, située fort loin au-dessus de l’écume des difficultés des classes populaires en maîtrisant son destin social et partageant une culture de sécurité et de confiance dans l’avenir . Écrite par Julie Dachez et illustrée par mademoiselle Caroline, fait passer de façon divertissante beaucoup de connaissances sur l’autisme.
Écrite par Julie Dachez et illustrée par mademoiselle Caroline, fait passer de façon divertissante beaucoup de connaissances sur l’autisme. Le français en liberté. Frenglish ou diversité, de Patricia Latour et Francis Combes. Le Temps des cerises, 165 pages, 12 euros.
Le français en liberté. Frenglish ou diversité, de Patricia Latour et Francis Combes. Le Temps des cerises, 165 pages, 12 euros. Incroyable ! A les entendre tous aujourd’hui et ces derniers jours,la société Guadeloupéenne serait menacée d’implosion du fait de la violence ambiante !Le pire, c’est qu’ils sont aujourd’hui tous sincères dans leur lamento et leurs cris d’orfraie pour réclamer la visite urgente du ministre de l’intérieur , comme si cela pouvait changer la donne tant il est vrai que c’est la Guadeloupe qui est malade d’elle même de ses politiques et intellectuels .La Guadeloupe menacée ? La Martinique en panne ? Oui, ou pire encore… Avec la crise économique qui persiste et qui va aggraver le phénomène de l’accroissement des inégalités , celle en vue de la révolution numérique , la violence des jeunes , ces désastres qui vont mettre , l’un après l’autre , à mal l’idée même du projet guadeloupéen et de gran samblé en Martinique , la situation est sans précédent , avec pour couronner le tout une image d’impuissance de nos intellectuels !
Incroyable ! A les entendre tous aujourd’hui et ces derniers jours,la société Guadeloupéenne serait menacée d’implosion du fait de la violence ambiante !Le pire, c’est qu’ils sont aujourd’hui tous sincères dans leur lamento et leurs cris d’orfraie pour réclamer la visite urgente du ministre de l’intérieur , comme si cela pouvait changer la donne tant il est vrai que c’est la Guadeloupe qui est malade d’elle même de ses politiques et intellectuels .La Guadeloupe menacée ? La Martinique en panne ? Oui, ou pire encore… Avec la crise économique qui persiste et qui va aggraver le phénomène de l’accroissement des inégalités , celle en vue de la révolution numérique , la violence des jeunes , ces désastres qui vont mettre , l’un après l’autre , à mal l’idée même du projet guadeloupéen et de gran samblé en Martinique , la situation est sans précédent , avec pour couronner le tout une image d’impuissance de nos intellectuels !
 – Les fonctionnaires, médecins, avocats, commerçants et les « bonnes à tout faire ».
– Les fonctionnaires, médecins, avocats, commerçants et les « bonnes à tout faire ». Le 15 mai 2012, François Hollande était élu président de la République française. Depuis, avec l’aide de ses différents gouvernements, il n’a cessé de multiplier les actions, les lois et les déclarations contraires à ce qu’il avait annoncé – et, surtout, contraires à l’idée la plus élémentaire de ce que peut être la gauche. Quarante intellectuels et écrivains se sont donc réunis pour dresser la chronique de ces trahisons et pour raconter, à rebours de l’épilepsie médiatique favorisant notre amnésie, quelque chose de la condition politique du présent. Du programme présidentiel au projet de loi El Khomri, des déclarations de Manuel Valls contre toute tentative d’explication au passage en force de la constitutionnalisation de l’état d’urgence, de la gestion de la jungle de Calais, jusqu’aux dictateurs invités par l’Élysée, à la lutte contre les prostituées et à la démission de Christiane Taubira, ce sont quatre années invraisemblables qui viennent de s’écouler. Ce n’est pas la première fois que la gauche a trahi la gauche, mais celle-ci pourrait bien être la dernière.
Le 15 mai 2012, François Hollande était élu président de la République française. Depuis, avec l’aide de ses différents gouvernements, il n’a cessé de multiplier les actions, les lois et les déclarations contraires à ce qu’il avait annoncé – et, surtout, contraires à l’idée la plus élémentaire de ce que peut être la gauche. Quarante intellectuels et écrivains se sont donc réunis pour dresser la chronique de ces trahisons et pour raconter, à rebours de l’épilepsie médiatique favorisant notre amnésie, quelque chose de la condition politique du présent. Du programme présidentiel au projet de loi El Khomri, des déclarations de Manuel Valls contre toute tentative d’explication au passage en force de la constitutionnalisation de l’état d’urgence, de la gestion de la jungle de Calais, jusqu’aux dictateurs invités par l’Élysée, à la lutte contre les prostituées et à la démission de Christiane Taubira, ce sont quatre années invraisemblables qui viennent de s’écouler. Ce n’est pas la première fois que la gauche a trahi la gauche, mais celle-ci pourrait bien être la dernière. Depuis trente ans, la France a sacrifié sa jeunesse plus que n’importe quelle autre économie développée pour conserver un modèle social que nous serons incapables de transmettre à nos enfants. Ce choix du passé au détriment de l’avenir est à la source d’une spirale de déclassement et d’inégalités nouvelles : en minant la « civilisation de classes moyennes » qui définissait le projet des démocraties modernes, il réduit à néant l’ambition de laisser à la génération suivante un monde meilleur. Pourtant, ces réalités criantes font l’objet d’un formidable déni : les classes moyennes, affirme-t-on, seraient relativement épargnées par la crise ; la paupérisation des jeunes serait quant à elle concentrée sur les moins diplômés et les solidarités familiales compenseraient les difficultés transitoires des autres. A partir de données et de comparaisons internationales inédites, Louis Chauvel récuse définitivement ces argumentaires convenus et dénonce les illusions qui les sous-tendent. Il ne s’agit pas de substituer aux inégalités de classes la fracture des générations, mais de montrer la complémentarité de leur dynamique : à raison du creusement des inégalités patrimoniales, les écarts au sein des nouvelles générations sont appelés à se radicaliser entre héritiers protégés par leurs « garanties » familiales et détenteurs de diplômes dévalorisés.
Depuis trente ans, la France a sacrifié sa jeunesse plus que n’importe quelle autre économie développée pour conserver un modèle social que nous serons incapables de transmettre à nos enfants. Ce choix du passé au détriment de l’avenir est à la source d’une spirale de déclassement et d’inégalités nouvelles : en minant la « civilisation de classes moyennes » qui définissait le projet des démocraties modernes, il réduit à néant l’ambition de laisser à la génération suivante un monde meilleur. Pourtant, ces réalités criantes font l’objet d’un formidable déni : les classes moyennes, affirme-t-on, seraient relativement épargnées par la crise ; la paupérisation des jeunes serait quant à elle concentrée sur les moins diplômés et les solidarités familiales compenseraient les difficultés transitoires des autres. A partir de données et de comparaisons internationales inédites, Louis Chauvel récuse définitivement ces argumentaires convenus et dénonce les illusions qui les sous-tendent. Il ne s’agit pas de substituer aux inégalités de classes la fracture des générations, mais de montrer la complémentarité de leur dynamique : à raison du creusement des inégalités patrimoniales, les écarts au sein des nouvelles générations sont appelés à se radicaliser entre héritiers protégés par leurs « garanties » familiales et détenteurs de diplômes dévalorisés. Depuis ce jeudi, les fabricants d’électroménager mettent à la disposition des consommateurs deux tableaux récapitulant la durée de disponibilité des pièces détachées pour l’ensemble des marques de petit et gros électroménager.
Depuis ce jeudi, les fabricants d’électroménager mettent à la disposition des consommateurs deux tableaux récapitulant la durée de disponibilité des pièces détachées pour l’ensemble des marques de petit et gros électroménager. À l’Espace Oscar Niemeyer
À l’Espace Oscar Niemeyer Ainsi donc, l’affaire du Green Parrot a été dépaysée à la demande du procureur général de la Martinique. N’est-ce pas un succès des partisans d’AMJ et de ses défenseurs ? En effet, la défense ne s’était pas privée de fournir les arguments qui auraient pu manquer à la Cour de Cassation pour prendre cette décision. Pour preuve la plainte déposée contre le procureur de la République, « Maitre Corbeaux », ainsi moqué par le chef de file des avocats. On aurait pu s’attendre à une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux et dans la presse, les uns favorables, les autres hostiles, comme celles qui ont fusé au lendemain de phénomènes récents. Tout le monde est prudent car aucun parti politique ne se croit en situation de pouvoir tirer profit d’une éventuelle inéligibilité du président de l’exécutif de la CTM.
Ainsi donc, l’affaire du Green Parrot a été dépaysée à la demande du procureur général de la Martinique. N’est-ce pas un succès des partisans d’AMJ et de ses défenseurs ? En effet, la défense ne s’était pas privée de fournir les arguments qui auraient pu manquer à la Cour de Cassation pour prendre cette décision. Pour preuve la plainte déposée contre le procureur de la République, « Maitre Corbeaux », ainsi moqué par le chef de file des avocats. On aurait pu s’attendre à une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux et dans la presse, les uns favorables, les autres hostiles, comme celles qui ont fusé au lendemain de phénomènes récents. Tout le monde est prudent car aucun parti politique ne se croit en situation de pouvoir tirer profit d’une éventuelle inéligibilité du président de l’exécutif de la CTM. Nous n’allons pas expliciter les raisons de cet article en fonction d’une opportunité voulue par le Pouvoir. En effet il y a des lustres que subrepticement, efficacement surtout, les anciens et actuels gérants de la France s’entraînent à froisser et injurier les Martiniquais en utilisant le langage le plus raciste qui soit, avec la bénédiction et les silences de nos politiciens, « élus » locaux. Un discours de F. Fillon, ancien 1er ministre de droite vient s’ajouter à ce déluge de mauvaises manières ! Un excellent article de Lisa David en fait l’analyse. Constatons d’abord un épuisement de cette gauche plurielle si fragile et l’incapacité pour elle d’assumer le Pouvoir réel sans ajouter des raisons puériles à leurs difficultés d’assumer. Ici comme en France
Nous n’allons pas expliciter les raisons de cet article en fonction d’une opportunité voulue par le Pouvoir. En effet il y a des lustres que subrepticement, efficacement surtout, les anciens et actuels gérants de la France s’entraînent à froisser et injurier les Martiniquais en utilisant le langage le plus raciste qui soit, avec la bénédiction et les silences de nos politiciens, « élus » locaux. Un discours de F. Fillon, ancien 1er ministre de droite vient s’ajouter à ce déluge de mauvaises manières ! Un excellent article de Lisa David en fait l’analyse. Constatons d’abord un épuisement de cette gauche plurielle si fragile et l’incapacité pour elle d’assumer le Pouvoir réel sans ajouter des raisons puériles à leurs difficultés d’assumer. Ici comme en France Frédéric Lordon est l’une des figures de Nuit Debout. Très peu bavard dans les médias, l’économiste, directeur de recherche au CNRS, a accepté de répondre au Bondy Blog dans un long entretien. Au menu : Nuit debout, mort d’Adama Traoré, héritage de Michel Rocard. Interview.(Dessin du site
Frédéric Lordon est l’une des figures de Nuit Debout. Très peu bavard dans les médias, l’économiste, directeur de recherche au CNRS, a accepté de répondre au Bondy Blog dans un long entretien. Au menu : Nuit debout, mort d’Adama Traoré, héritage de Michel Rocard. Interview.(Dessin du site Bonjour à tous !
Bonjour à tous ! ACTES DE LA RECHERCHE EN SCIENCES SOCIALES (n° 213). Éditions du Seuil, juin 2016. 16,20 euros.
ACTES DE LA RECHERCHE EN SCIENCES SOCIALES (n° 213). Éditions du Seuil, juin 2016. 16,20 euros. Heidegger et le Golem du nazisme, de Maurice Ulrich. Éditions Arcane 17, 154 pages. 14 euros.
Heidegger et le Golem du nazisme, de Maurice Ulrich. Éditions Arcane 17, 154 pages. 14 euros. Cette intervention est une réaction à une partie du discours de François Fillon tenu le 28 août 2016 à Sablé sur Sarthe.
Cette intervention est une réaction à une partie du discours de François Fillon tenu le 28 août 2016 à Sablé sur Sarthe. A Sablé-sur-Sarthe, ce dimanche 28 août, l’ancien premier ministre, François Fillon, candidat à la candidature présidentielle aux primaires de la droite et du centre s’est est pris aux programmes scolaires dont il pense le plus grand mal. Ce faisant, il s’intéressait à ce qui nous importe.
A Sablé-sur-Sarthe, ce dimanche 28 août, l’ancien premier ministre, François Fillon, candidat à la candidature présidentielle aux primaires de la droite et du centre s’est est pris aux programmes scolaires dont il pense le plus grand mal. Ce faisant, il s’intéressait à ce qui nous importe. Toute personne développe en elle ce que lesAméricains appellent un « belief system » , c’est-à-dire un système de croyances, de valeurs, et de convictions, qui se révèle dans son comportement individuel, aussi bien dans le domaine religieux, que dans ses particularismes culturels et politiques. À cet égard, la différenciation est essentielle, pour former, à la Martinique, une communauté démocratique, sachant rester solidaire et ouverte. C’est pourquoi chaque Martiniquais s’efforce de se comporter en citoyen responsable, cherchant à maintenir le lien interne de la communauté de vie.
Toute personne développe en elle ce que lesAméricains appellent un « belief system » , c’est-à-dire un système de croyances, de valeurs, et de convictions, qui se révèle dans son comportement individuel, aussi bien dans le domaine religieux, que dans ses particularismes culturels et politiques. À cet égard, la différenciation est essentielle, pour former, à la Martinique, une communauté démocratique, sachant rester solidaire et ouverte. C’est pourquoi chaque Martiniquais s’efforce de se comporter en citoyen responsable, cherchant à maintenir le lien interne de la communauté de vie.