Les femmes ne sont que 34 % à étudier dans les grandes écoles, 38 % dans les classes préparatoires et les instituts universitaires de technologie, des filières qui bénéficient des ressources financières publiques et privées les plus élevées.
Elles ont beau être plus nombreuses que les hommes à intégrer une formation de l’enseignement supérieur, les femmes restent sous-représentées dans les filières et les disciplines bénéficiant des meilleures conditions d’études. En résulte une disparité de genre, totalement liée aux choix d’orientation, que documente précisément une note publiée fin octobre par l’Institut des politiques publiques (IPP).
Dépenses d’enseignement supérieur : quelles disparités selon le genre des étudiants ?
Résumé :
Grâce à de nouvelles données sur le coût des formations de l’enseignement supérieur en France, associées à une enquête sur les ressources et conditions de vie des jeunes adultes, cette note documente les disparités de dépenses d’enseignement supérieur selon le genre. En raison d’une forte sous-représentation des femmes dans les filières bénéficiant des ressources les plus importantes (classes préparatoires aux grandes écoles, instituts universitaires de technologie, grandes écoles, etc.) ainsi que dans les disciplines scientifiques – plus coûteuses en raison de taux d’encadrement plus élevés, les dépenses d’enseignement supérieur consacrées aux étudiantes sont inférieures de 18 % à celles allouées à leurs homologues masculins.

Lancée au début de l’été 2022, la plateforme de l’association Women for women France se pose en référence de l’accompagnement des femmes étrangères victimes de violences conjugales, notamment grâce à ses déclinaisons en 16 langues. Les femmes peuvent y trouver des informations sur les moyens d’obtenir une aide matérielle mais aussi sur les démarches judiciaires qu’elles peuvent engager contre leurs conjoints violents.
L’unanimité du soutien au mouvement « Femme, vie, liberté » né en Iran face aux mollahs ne saurait cacher les remous au sein des réseaux féministes, affirme Corinne Narassiguin, secrétaire nationale à la coordination du PS, dans une tribune au « Monde ».
L’avocate Samia Maktouf, connue pour avoir représenté plusieurs parties civiles au procès des attentats du 13 novembre, appelle à défendre les droits des femmes partout dans le monde. Voici sa tribune, parue ce jour dans le JDD :
Résumé
Au Nicaragua depuis juin 2021, Dora María Téllez, dirigeante politique de l’opposition à la dictature d’Ortega-Murillo, est emprisonnée dans des conditions inhumaines et torturée comme plus de 30 autres prisonnier•ères politiques. Elle a entamé une grève de la Faim.

— Par Collectif —
Dans le cadre du mois du Matrimoine, Culture Égalité et la ville de Rivière-Pilote invite sa population à découvrir et redécouvrir l’histoire de l’Insurrection du Sud, sur les traces de la
Au rythme où évolue la situation actuellement, il faudra probablement près de 300 ans pour parvenir à l’égalité des sexes, prévient l’ONU dans un nouveau rapport publié mercredi.
Selon le ministère de l’Intérieur, 143 morts violentes au sein du couple ont été recensées en 2021, 122 femmes et 21 hommes.
La mort violente de Mme
L’UFM est solidaire des associations féministes turques et de toutes les organisations qui manifestent contre la sortie de la TURQUIE de la Convention d’Istanbul : ce traité constitue un cadre juridique international par lequel les 36 Etats signataires s’engagent à lutter contre toutes les formes de violences à l’égard des filles et des femmes, et la violences domestique, et à promouvoir l’égalité. 


L’association féministe Culture Egalité ouvre ses portes aux femmes. Nous avons un
Le président brésilien Jair Bolsonaro a qualifié d’«inadmissible» le fait qu’une enfant de 11 ans ait interrompu sa grossesse légalement après avoir été victime d’un viol, dans un pays où le droit à l’avortement est encore très restreint.
Les associations soussignées de Martinique et de Guadeloupe condamnent fermement la décision de la cour suprême états-unienne de révoquer le droit à l’IVG au niveau fédéral qui existait depuis 1973.
La position actuelle tyrannique, archaïque, rétrograde des États-Unis concernant les droits des femmes est très dangereuse pour nous toutes et doit nous pousser à réagir vivement !