À la rentrée, une attestation d’assurance scolaire vous est demandée par l’école, le collège ou le lycée de votre enfant. Est-il utile de souscrire une telle assurance ? Est-elle indispensable ou même obligatoire ? Que couvre-t-elle exactement ? Service-public.fr vous répond.
L’assurance est facultative pour toutes les activités scolaires obligatoires, c’est-à-dire celles inscrites dans l’emploi du temps de l’élève. Exemple : une sortie à la piscine ou au gymnase.
En revanche, elle est obligatoire si votre enfant :
- participe à des activités facultatives organisées par l’établissement : visite d’un musée, séjour linguistique, classes de découverte…
- fréquente la cantine ;
- participe aux activités organisées par les communes après le temps scolaire (études surveillées, activités culturelles ou sportives).
L’assurance scolaire couvre à la fois les dommages dont l’enfant serait l’auteur (responsabilité civile) et ceux qu’il pourrait subir (assurance individuelle-accidents corporels).
Pour connaître plus précisément quelles sont les garanties couvertes et comment souscrire à une assurance scolaire, consultez notre fiche À quoi sert l’assurance scolaire ?
Et aussi
Pour en savoir plus
- https://www.economie.gouv.fr/particuliers/assurance-scolaire#
Ministère chargé de l’économie
- Ce qu’il faut savoir sur l’assurance scolaire
Institut national de la consommation (INC)
- Les assurances scolaires
Ministère chargé de l’éducation
Publié le 25 août 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

En Guadeloupe, les collectivités locales demandent un report de la rentrée scolaire, en raison de la situation sanitaire actuelle.
Dans le Nevada, une “Alliance des familles” a demandé, début juin, que les professeurs d’école portent des
– par Janine Bailly –
Chemin de Desbrosse la Vallée, Fort-de-France.
Information
Un proviseur est accusé d’agression sexuelle par une élève et aussitôt un comité de soutien constitué d’enseignant·es se crée pour le défendre.
Le collectif La Friche [
Ce lundi 7 mai 2021 a marqué le retour de l’ensemble de la communauté scolaire, alors que la circulation du virus repart à l’école.
Vive le subjonctif
Paris – Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a officiellement proscrit l’utilisation de l’
Vous avez moins de 30 ans ? Vous souhaitez connaître les aides adaptées à votre situation ? Culture, emploi, logement, santé, permis de conduire… En 5 minutes, répondez aux questions en ligne pour trouver instantanément toutes les aides auxquelles vous avez droit. Ce simulateur à destination des jeunes vient d’être mis en ligne par le ministère du Travail dans le cadre du « plan 1 jeune, 1 solution ». Le détail avec Service-Public.fr.
Paris – Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a annoncé mercredi soir que pour l’épreuve de philosophie de la session 2021 du baccalauréat, les élèves de Terminale pourront conserver la meilleure note entre celle de l’épreuve et celle du contrôle continu.
Réalisée par Cédric Aussir, cette adaptation du chef-d’œuvre de Voltaire est un bijou radiophonique. Enlevée, drôle et servie par une distribution de rêve.
L’Association des Consommateurs et des Citoyens de la Caraïbe est très concernée par la situation au sein des collèges et des lycées. Dire que tout va bien dans les écoles maternelles et primaires est un euphémisme mais la crise, majeure, se tient dans les établissements scolaires du second degré, collèges comme lycées. Nous avons dénoncé il y a peu la rupture d’égalité, et l’impossibilité de répondre à l’obligation scolaire pour de nombreuses familles coincés par l’absence de cantine et l’organisation en présentiel. La grève actuelle place rectorat, représentants de parents et CTM dans une situation de blocage vis-à-vis des élèves. Pourtant des établissements arrivent à nourrir les élèves en les prenant en charge, comme le lycée Schoelcher et le distanciel est une réponse pour ceux qui ne le pourraient pas.
Les semaines se suivent et se ressemblent pour beaucoup d’élèves du LP Place d’ARMES : C’est toujours le même calvaire pour rentrer chez eux, une fois les cours terminés à 12h30. Leur lycée, faute de restauration scolaire possible, fonctionne en demi-journée, et les transports, prévus que les matin et soir, n’ont pas adapté leur offre pour les ramener chez eux.
Ce qui a commencé comme une simple collecte solidaire s’est changé en une armée de 450 bénévoles. L’association Co’p1 qu’a fondée cet étudiant lutte en première ligne. Pas sur le front sanitaire, mais sur celui, tout aussi brûlant, de la précarité étudiante.
— Par Marie-Hélène Léotin (*) —
Depuis la rentrée en confinement des établissements scolaires de la Martinique, où le présentiel est maintenu mais sans cantine pour la plupart et en alternance de groupes, c’est à un désordre important que sont confrontés parents d’élèves et élèves déjà ébranlés après le changement radical des études lycéennes du fait de la réforme anxiogène des lycées.
Depuis la reprise, nous voyons fleurir toute sorte de propositions farfelues, pour essayer de justifier l’irresponsable : Ouvrir les établissements scolaires et davantage, le champ des contaminations.
Lorsque la République française, et donc l’Etat français, célèbrent le Bicentenaire de la mort de Napoléon 1er, ils ne célèbrent pas Austerlitz, le sacre du 2 décembre 1804, le décret rétablissant l’esclavage dans les colonies (1802), ils ne célèbrent surtout pas le dos et le tres de Mayo en Espagne, ils ne célèbrent pas le conquérant, le général, le Premier Consul ou l’Empereur.
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— Par Yvon Joseph-Henri —
Le SNUEP Martinique, à l’instar de la FSU, dénonce cette réouverture irresponsable des écoles de notre île.