— Communique de presse de l’A3C —
L’Association des Consommateurs et des Citoyens de la Caraïbe a dernièrement rappelé que la seule chose à faire, face à la pandémie du coronavirus en Martinique, était de rester chez soi et de se confiner, le plus grand nombre possible, c’est-à-dire tout ceux qui ne sont pas nécessaires à la santé et au fonctionnement élémentaire d’une vie sociale et économique ramenée à sa plus simple expression.
A l’heure où nous écrivons ces lignes, la situation mondiale, et encore plus en Martinique, est gravissime.
-
Il est de plus en plus évident que la préoccupation première est le confinement du plus grand nombre pour ralentir la progression de la maladie. Tous les experts savent pertinemment que personne ne sait quand finira la pandémie, mais tous savent qu’elle ne sera finie ni en juin ni en juillet 2020 et que nous connaîtrons sans doute de nombreuses rechutes. Par ailleurs, ralentir la progression de la maladie n’est pas l’éteindre. Personne ne sait comment l’éteindre. Tout ce que l’on sait avec certitude est que la maladie progresse à toute vitesse, et qu’elle touche tout le monde.

Vous avez affiché la mention « Stop pub » sur votre boîte aux lettres et vous continuez à recevoir des publicités ? À partir de janvier 2021, il sera interdit d’y déposer des imprimés non adressés. C’est ce que prévoit la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire paru au Journal officiel du 11 février 2020.
La crise sanitaire met en lumière les travers d’une mondialisation dominée par les critères des marchés financiers, tout en relevant… un besoin inédit de coopérations internationales.
De nombreuses usines sont toujours à l’arrêt en Chine, l’atelier du monde. Des villes sont confinées sur l’ensemble du territoire Italien et les secteurs des transports( tant aériens que maritimes) et du tourisme souffrent sérieusement d’une crise qui vire à la psychose. Preuve de l’incertitude qui règne, les bourses mondiales s’écroulent et la panique gagne toute la sphère publique. Au micro d’Europe 1, Étienne Sebaux, associé au cabinet Kearney France, a mis en avant notre dépendance à la Chine et craint l’«effet domino». D’après lui, «c’est une crise économique majeure qui s’annonce».
Dans son offre initiale, l’homme d’affaires avait annoncé garder 114 des 235 salariés du groupe
Ce jour, les socioprofessionnels martiniquais ont réagi via un communiqué suite aux incidents dits xénophobes contre des touristes italiens et allemands en réaction à la peur de la contagion à l’épidémie de coronavirus.
Le Nigérian Kenneth Ize, le Camerounais Imane Ayissi ou le Sud-Africain Thebe Magugu présentent leurs collections aux côtés de Dior et Chanel.
Un nouveau virus particulièrement dangereux, le Tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV), s’attaque aux tomates, poivrons et piments. Alerté par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation émet des recommandations à l’attention des particuliers et des professionnels afin de prévenir le risque élevé d’introduction, de dissémination et d’impact pour les cultures.
Issue d’un long partenariat avec des organismes de recherche, celle nouvelle banane baptisée « Point d’Or » se veut une contre-attaque face aux bananes « bio » extra-communautaires, venues par exemple du Brésil ou de République dominicaine. En effet, celles-ci obtiennent des « équivalences bio » en entrant sur le marché européen, alors qu’elles « ne sont pas aux normes d’un produit bio européen », affirme l’Union des groupements de producteurs de bananes de Guadeloupe et Martinique (UGPBAN).
Les microfibres en plastique des vêtements peuvent représenter jusqu’à 31 % des plastiques qui se déversent chaque année dans les océans.
Bouteilles en verre ou en plastique transparent, cartons de pizza, boîtes de conserves… Les centres de tri recyclent de plus en plus d’emballages. Mais attention, tout dépend des consignes du lieu de tri et des matériaux des contenants.
Avec ce label « bio français équitable », qui garantit une rémunération juste à l’agriculteur, la Fédération de l’agriculture biologique veut se prémunir des risques liés à l’essor de l’agriculture biologique. Dont la guerre des prix et l’industrialisation de la production
Nous allons vers une reconfiguration totale de l’économie et du secteur bancaire en Martinique et Guadeloupe, car la banque est désormais à la croisée des chemins… . « La nécessité nous délivre de l’embarras du choix » disait Vauvenargues….
La décennie qui s’achève avec les nombreuses grèves et le règne des réseaux sociaux a vu les passions dévorer la raison. Le feu n’est pas qu’en France. Nombre d’affaires naissent désormais dans le monde sous des formes jusqu’au-boutistes. Le risque redouté par Tocqueville d’une civilisation individualiste qui se transforme en tyrannie n’est pas une crainte en l’air. Dans ce contexte, les esprits Antillais rationnels et modérés sont désemparés : En France, le retour de la violence politique risque de conduire à la préparation du pire des régimes autoritaires.
L’attitude insouciante des guadeloupéens face à l’avenir, risque d’hypothéquer le développement économique et social du pays Guadeloupe !
—Jean-Marie Nol, économiste —
Le montant d’une pension alimentaire évolue dans le temps. Sa révision est prévue à la date mentionnée dans le jugement du juge aux affaires familiales ou bien dans la convention. Son montant peut augmenter ou bien diminuer selon l’indice des prix à la consommation. Comment calculer cette réévaluation ?
— Par Audrey Tonnelier —
AUTM pousse un « grand coup de gueule » contre la CFTU, pour les inviter à aller au terme de leur engagement à servir les usagers.
En 2019, les plus riches ont capté plus de richesses que 4,6 milliards de personnes. Les inégalités explosent sur toute la planète. Ce creusement n’a rien de fatal, il est le résultat de politiques néolibérales dictées depuis le sommet des États.
— Par Jean- Marie Nol, économiste —
Trop de grève tue la grève !