— Collectif —
Plus de cinquante spécialistes des questions environnementales, parmi lesquels Samuel Cazenave, Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte, Serge Tisseron ou Ophélie Gaillard, expliquent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut réviser les attributions du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, qui ne font aucune mention à l’éducation à la transition écologique.
Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé, le 16 avril, à Marseille que son quinquennat « sera écologique ou ne sera pas », en affichant le projet de « faire de la France une grande nation écologique », nous, citoyennes et citoyens engagés pour l’atteinte des Objectifs du développement durable (ODD) [adoptés en 2015 par les Nations unies], souscrivons à ce projet et souhaitons singulièrement appeler l’attention du chef de l’Etat sur l’outil éducatif.
La « nation écologique » a pour préalables indispensables une nation-école et une école écologique.
Ce qui suit est l’objet d’une première démarche collective de réflexion d’acteurs de l’éducation au développement durable et à la transition écologique. Et nous connaissons l’intérêt d’Emmanuel Macron pour l’école, qui vient d’en donner un nouveau témoignage en Sorbonne devant les recteurs, peu avant la rentrée scolaire [le 25 août].

Les images qui nous arrivent du Pakistan sont effroyables et terrifiantes. Des vagues d’eau brunâtre qui s’engouffrent dans des lits de rivière trop étroits, des montagnes liquides qui débordent détruisant tout sur leur passage. Rien ne résiste, les bâtiments, les ponts, les routes sont engloutis et déjà le bilan humain dépasse les 1 000 morts. Depuis le mois de juin, le pays est victime d’inondations monstres provoquées par les pluies de mousson. Avec un tiers du Pakistan actuellement sous les eaux, personne n’échappe à la catastrophe. Il y a ceux touchés directement et qui ont tout perdu. Ils sont plus de 33 millions dans ce cas, soit un Pakistanais sur sept. Mais l’ensemble de la population en subit les conséquences. Les routes coupées, les infrastructures fragilisées compliquent la vie dans tout le pays. Les approvisionnements sont réduits, les produits alimentaires de base voient leurs prix grimper en flèche. Et la situation pourrait encore s’aggraver.
Ensemble restons prudents afin d’éviter les erreurs du passé, à propos du permanent débat sur l’Eau, dont l’objectif politique local est d’arriver à terme à une assemblée et un tarif unique de l’Eau. Le prix de l’Eau est fixé par les 34 Maires qui ont confié aux 3 EPCI la gestion de sa production et sa distribution, lors des renouvellements de marché de CAP-NORD et d’Espace- Sud, les tarifs se sont rapprochés avec une légère différence que les politiques peuvent aligner.
Europe Écologie-Les Verts, dont le prochain congrès doit avoir lieu avant la fin de l’année, doit devenir « le grand parti de la décroissance populaire dont nous avons un impérieux besoin », soulignent, dans une tribune au « Monde », les membres d’un collectif d’élus et militants écologistes.
Paris – Rouler moins vite, anticiper ses freinages, mais surtout ne pas se coller aux camions sur l’autoroute: quelques pratiques de bon sens suffisent sur la route pour économiser du carburant et polluer moins.
La politique publique en Martinique est très souvent gérée dans l’urgence, ou par mimétisme avec ce qui se passe au niveau national. En ce moment l’actualité nous informe sur les effets du dérèglement climatique qui agit sur la France et dans le monde entier.
En France, ouvrir un robinet afin d’obtenir de l’eau potable est un geste du quotidien particulièrement facile. Un geste qui nous donne accès à une eau d’une très bonne qualité microbiologique. Ce qui peut s’avérer bien utile, surtout avec les chaleurs estivales… 
Auteur principal : Anne Desrochers
Matanzas (Cuba) – Cuba a reçu des offres d’assistance de nombreux pays après son appel à l’aide pour faire face au gigantesque incendie d’un dépôt pétrolier frappé par la foudre qui a engendré des explosions dans lesquelles au moins une personne a été tuée, 121 blessées et 17 encore portées disparues. 

Les techniques d’incendies aborigènes aident à gérer les forêts, à protéger la biodiversité et à prévenir les feux de brousse catastrophiques. Faut-il s’en inspirer sous nos latitudes ?
La sortie de notre article ‘’L’Île aux perroquets savants’’ a suscité de nombreuses réactions, aussi afin de porter l’éclairage basé sur des éléments factuels, nous tenons à préciser que c’est suite aux interpellations de différentes personnes composant notre société que nous rendons public ce qui suit :
Depuis fin mai, treize tortues marines ont été retrouvées mortes sur une plage où elles étaient venues pondre, dans la commune de Rémire-Montjoly, en Guyane française. Elles ont été tuées par des chiens non surveillés par leurs maîtres. Une association locale s’inquiète de l’impact de ces attaques – plus nombreuses que les années précédentes – sur les pontes des tortues, des espèces protégées et « déjà fragilisées », et dénonce l’inaction de la commune face au problème. 
Paris – La reconnaissance par le tribunal administratif de Paris de « négligences fautives » de l’Etat dans le dossier du chlordécone, utilisé comme pesticide dans les Antilles, représente une avancée décisive pour les personnes touchées par la pollution, même si les demandes d’indemnisation des plaignants pour préjudice d’anxiété ont été rejetées.
Présentation
Réalisez vos propres créations avec nos artisans : bijoux à partir de capsules de café avec La fée des Caps, ustensiles naturels avec Sylvain, cosmétiques déodorants avec Les petits savons de Steph et Afrique originale.
Le Prêcheur (France) – « Peut-être qu’à la prochaine houle, ces gens-là seront obligés de laisser leur maison », soupire Jean-Guy Gabriel, marin-pêcheur au Prêcheur, au nord-ouest de la Martinique, symbole de la menace pressante de la montée des eaux sur l’île.
Selon un rapport publié par l’Université de Chicago, la population mondiale perd 2,2 années d’espérance de vie à cause de la pollution aux particules fines. La situation est particulièrement critique en Asie du Sud.
Joseph Gustave est formel. Petit, il y avait plusieurs dizaines de mètres à parcourir sur le sable noir si l’on voulait aller se rafraîchir dans la mer des Caraibes. On pouvait même jouer au football sur la plage. Aujourd’hui, il voit chaque année la mer gagner du terrain sur la plage et régulièrement envahir son restaurant, malgré l’enrochement mis en place par ses propres soins. Dans la ville du Prêcheur où il se trouve, au Nord-Ouest de la Martinique, la situation est critique et la démarche de relocalisation des populations du littoral, d’ores et déjà entamée par le maire écologiste Marcellin Nadeau.