— Le n°267 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
En 1979 et dans les années 80, le G.R.S. a soutenu avec enthousiasme, la révolution antidictatoriale et antiimpérialiste qui a chassé par l’insurrection armée, le tyran Somoza. Cette révolution était dirigée par le Front Sandinsiste de Libération Nationale (FSLN). Daniel Ortega était l’un des 9 « commandant-e-s » de la direction, alors très collégiale de l’époque.
Ce processus révolutionnaire très prometteur réalisa très tôt, des mesures de réforme agraire, de nationalisation des biens spoliés par le clan Somoza, de soutien aux classes pauvres en matière de santé, d’éducation. Elle s’inspirait des principes de l’economie mixte. Avec des limites et des contradictions, elle réalisait la sortie des griffes de l’impérialisme et faisait preuve de solidarité avec les révolutionnaires d’Amérique Centrale.
Malgré la guerre civile entretenue par les USA, le pouvoir sandinsiste parvenait à un haut niveau de combinaison de démocratie économique et de démocratie politique.
Mais la pression militaire et terroriste orchestrée par la C.I.A.

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Une manifestation émaillée de violences a rassemblé des milliers de Haïtiens, lundi à Port-au-Prince, contre le gouvernement et son appel à la communauté internationale pour une « force spécialisée armée » afin de faire face à l’insécurité, à la crise humanitaire et à une épidémie naissante de choléra.
ENTRETIEN
Au Nicaragua depuis juin 2021, Dora María Téllez, dirigeante politique de l’opposition à la dictature d’Ortega-Murillo, est emprisonnée dans des conditions inhumaines et torturée comme plus de 30 autres prisonnier•ères politiques. Elle a entamé une grève de la Faim.
Ou sont passés tous ces Blancs qui ont été accusés de « génocider » le peuple martiniquais depuis plus d’un demi-siècle ? On ne les voit pas dans les statistiques, on ne les voit pas non plus dans des cimetières dédiés. Le phénomène est pourtant inscrit dans le marbre de la conscience martiniquaise. Ainsi, chaque fois qu’est abordée la question de la baisse de la population en Martinique, chacun, de Ti Sonson au député du coin, y va de son couplet sur le «
A l’occasion de la visite du ministre de l’intérieur et des « Outre-mer », les syndicats de policiers et nos élus ont insisté sur l’accroissement de la délinquance en Martinique et, en particulier sur le trafic d’armes, le trafic de drogue et les homicides.
Il est soupçonné d’être l’actionnaire de l’usine ouverte en 2020, en pleine crise liée au Covid-19, grâce à une subvention de 450.000 euros.
Haïti a demandé une « assistance internationale » pour faire face à la crise de sécurité causée par les bandes criminelles, que la police haïtienne ne peut résoudre seule, a indiqué vendredi à l’AFP Bocchit Edmond, ambassadeur d’Haïti aux États-Unis.
Certains d’entre vous se souviennent peut-être de l’affaire « des éoliennes1 du Macouba
URGENCE ABSOLUE. 
Le SNUEP FSU Martinique a pris connaissance d’une motion des élus de l’assemblée territoriale de Martinique, en date du 27 septembre 2022. ( Voir ci-dessous )
La question de la « responsabilisation », c’est-à-dire la participation plus grande de tous les acteurs d’un territoire aux choix et orientations de leur avenir paraît un enjeu qui parcourt l’histoire des peuples.
Rio de Janeiro – Les électeurs de l’ex-président Lula (2003-2010) attendent de lui qu’il replace la lutte contre la pauvreté et les discriminations au sommet des priorités, selon les témoignages recueillis par l’AFP à Rio de Janeiro, Sao Paulo et Salvador de Bahia.
Quelle société résisterait à une politique dont l’objectif d’évolution in
Rio de Janeiro – Dans le quartier défavorisé de Penha, à Rio de Janeiro, la Brésilienne évangélique Giociani Lucio agite un fanion à l’effigie de deux candidats bolsonaristes à la députation, aux côtés du célèbre pasteur qui les soutient.
Rio de Janeiro – Les électeurs de l’ex-président Lula (2003-2010) attendent de lui qu’il replace la lutte contre la pauvreté et les discriminations au sommet des priorités, selon les témoignages recueillis par l’AFP à Rio de Janeiro, Sao Paulo et Salvador de Bahia.
Réduction de la dépense publique, Inflation, récession, bulle immobilière, avec risque d’éclatement en 2023, accélération de la hausse des taux d’intérêt, tous ces facteurs représentent un tournant inédit qui va peut-être bouleverser l’équation économique et très certainement sociétale de la Guadeloupe.. Cette nouvelle donne est d’importance dans un proche avenir de crise budgétaire de l’État français.
La Martinique a accueilli des consulats dès le XVIII